Pour Franck Hériot, qui, à la suite de Thierry Deransart, avait mené l'enquête pour Valeurs actuelles et qui vient de publier chez Plon un récit décisif (AZF, l'enquête assassinée), le doute ne tient pas : si l'on ne peut dire avec certitude que la deuxième explosion a été provoquée par la première, il est pratiquement acquis que celle-ci est venue de la SNPE.
Une entreprise soumise au secret défense, au sein de laquelle, on l'imagine, les investigations ont été réduites au minimum.
...
Lisez tout l'article et publiez-le, et envoyez-le à tous vos correspondants ; l'enregistrement lors de la réunion d'un comité d'entreprise au centre de Toulouse (à 3 kilomètres du Hangar 221), contenant les débats au vif, entrecoupés par les deux explosions ; ce qui fait normalement sauter en éclat, à la fois la dite justice de ce pays et les gouvernements successifs, et ceci de 1991 à ce jour, qui sont ...de vrais criminels...
Joseph FERRAYE
De vrais criminels étatiques qui cachent la vérité pour ne pas devoir assumer leurs responsabilités sous le couvert du secret défense et de la raison d'État....comme trop d'autres affaires passées ou en cours...Trop, c'est trop...
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