samedi 2 mai 2009

Fwd: Explications des morts aux plus hauts niveaux, cherchez à qui les crimes profitent ?









Pourquoi le Taux Directeur de la BCE est-il une vaste escroquerie financière ?
... - 03h55 - Posté par junon moneta - 82.***.133.***

Fichier:Wim Duisenberg.jpg

Wim DUISENBERG

Un accord verbal conclu à sa nomination prévoyait qu'il céderait sa place au Français Jean-Claude Trichet en 2002, à la moitié de son mandat de huit ans. Mais le gouverneur de la Banque de France, énarque, était poursuivi dans l'affaire du Crédit lyonnais, et n'a accédé au poste qu'en 2003 après avoir été blanchi. À cette époque, Wim Duisenberg refuse que le mandat de huit ans à la présidence de la BCE soit coupé en deux. « Le travail dure huit ans. J'ai maintenant 62 ans et j'ai encore beaucoup de temps devant moi », avait-il argué.

Ses positions ont-elles provoqué sa mort ?

D'autres noyades célèbres...

Le pseudo "cerveau" du 11 septembre a enduré 183 "noyades"
C'est ce qu'indique une des notes rendues publiques par Washington détaillant les tortures pratiquées à Guantanamo

C'est une méthode pour faire parler et faire dire des secrets, méthode qui peut finir mal...

Voir l'histoire de la Vendée rebelle qui se poursuit avec les massacres de Nantes tristement célèbres à cause des noyades organisées par l'armée.

Carrier s'est rendu honteusement célèbre par ses noyades occultes...

Louis II, Roi de Bavière, protecteur des arts et bâtisseur de châteaux extraordinaires, se suicida selon la version "officielle" après avoir étranglé son médecin dans le lac de Starnberg, près de Munich....

Paul Celan s'est "jeté" dans la Seine le 20 avril 1970 ? Il avait dans sa poche deux billets de théâtre non utilisés pour En attendant Godot.
On ne retrouvera son corps que le 1er mai.

Pour qui veut découvrir Paul Celan il serait dommage de faire l'impasse sur l'Entretien dans la montagne, écrit en 1959 après la parution de Grille de parole, son troisième recueil. Occupant une place centrale dans son œuvre il s'agit de l'un des rares écrits en prose de Celan. L'Entretien dans la montagne fut écrit en souvenir d'une rencontre manquée avec Theodor W. Adorno. Ce dont il s'agit ici, c'est de répondre à la formule qu'avait risquée Adorno, estimant qu'il était «barbare» d'écrire des poèmes après Auschwitz. «Pour Celan au contraire, écrit Stéphane Mosès, le langage frappé au plus intime de ses pouvoirs peut renaître, mais à condition d'assumer jusqu'au bout sa propre culpabilité

Entre autres nombreuses correspondances, celle qu'il échangea avec Gisèle Celan-Lestrange, sa femme, peut aider à s'imprégner plus profondément de la bouleversante fragilité de Paul Celan et à situer les circonstances dans lesquelles tel ou tel poème a pu surgir. Il y a sans doute peu de correspondances aussi émouvantes que celle que Paul et Gisèle Celan ont échangée durant toute leur liaison. Ces lettres retracent toute une vie ; de l'émerveillement de la rencontre à la dégradation de l'état psychique de Celan, en passant sa confrontation avec l'antisémitisme les époux ne cesseront de se réaffirmer leur amour l'un envers l'autre.

Sources :
Site Internet : http://www.anti-rev.org/.
Andréa Lauterwein, Paul Celan, Collection voix allemandes. Belin.

Paul Celan a cherché toute sa vie les causes de l'horreur de la shoah...et a voulu assumer jusqu'au bout sa propre culpabilité et celle de son peuple. Il a voulu aimer la langue allemande et a découvert les racines de cette horreur dans les abus de la cupidité d' usuriers sans limites et des fauteurs de guerres encore responsables de la mort de millions d'innocentes victimes, notamment les frères Warburg qui étaient des deux côtés de la table de négociation au traité de Versailles...voir les démonstrations ci-dessous...

Cher ami,

Un des grands principes de ALTER-EUROPA, c'est justement d'essayer d'expliquer ce qui se passe...

Comme les sujets monétaires et financiers sont volontairement enrobés de mystère, il est tout à fait normal que des gens intelligents (comme vous) disent : "C'est mystérieux, je ne comprends pas !".

Je prends donc le temps de vous expliquer, par respect pour vous qui avez réagi à notre ami "bencal" : les États, les Régions et les Administrations sont OBLIGÉES de passer par les banques pour emprunter de l'argent. Ce n'était pas le cas avant les années 1980 (avant 1986 en France).

Donc, si la BCE - qui est la banque des banques - décrète que le Taux Directeur minimum sera de 4,25%, les banques prêteront à 4,25% + marge... Pour des prêts sur dix ans, les taux ont donc grimpé à plus de 5% depuis février.

Et qui paie à votre avis? Et bien, nous tous, puisque ce sont nos finances publiques qui prendront un coup dans l'aile.

Pourquoi ce Taux Directeur est-il anormal? A l'échelle de la Zone Euro, le Taux Directeur devrait être moins cher que celui du JAPON (très endetté) et donc, inférieur à 0,5% (taux du Japon).

Combien coûte ce racket financier en Zone Euro? Pour un endettement de nos administrations publiques en Zone Euro, nous payons donc des frais financiers aux banques et aux assureurs qui sont TOTALEMENT ANORMAUX : 7.000 milliards d'euros X 5% par an = 350 Milliards d'euros. C'est cinq fois trop cher ! Et ce sont les pays les plus endettés (France et Allemagne, notamment) qui sont rackettés par la Haute Finance, à cause de ce simple taux "mafieux". Et donc, c'est toute la mécanique budgétaire qui déraille : M. FILLON déclare qu'il est à la tête d'un Etat en faillite ! Il faut donc faire des réformes, beaucoup de réformes... Euh, pardon, il faudra faire des sacrifices, beaucoup de sacrifices, partout dans l'Education, dans la Santé, dans les entreprises, dans les Administrations... Pour mémoire, la France paie des frais financiers à la Haute Finance à hauteur d'environ 8 milliards d'euros par an. Le "trou de la SECU" qui est dû aux exonérations de charges sociales en faveur du CAC40 et est dû aux frais financiers, c'est "ENAURME", nous dit François FILLON : entre 10 et 12 MD€. Eh ben, Monsieur FILLON, ALTER-EUROPA vient de vous trouver des économies de 6 à 7 milliards d'euros, d'un coup de baguette magique : il vous suffit de téléphoner à J.C TRICHET (l'homme toujours fatigué) et il suffit de lui dire que ses TAUX DIRECTEURS SONT cinq fois trop chers (je me répète) !

Car ce racket, c'est à cause de qui? A cause de TRICHET, tout simplement.... Pour mémoire, il faut savoir que Wim DUISENBERG (son prédécesseur hollandais) n'a jamais voulu obéir aux banques et assurances : il a donc fait baisser ce taux à moins de 2%. Cela n'a pas plu à la Haute Finance : il a été "remercié" au bout de 4 ans (au lieu de 8). Pour information, toujours, Wim DUISENBERG est mort "noyé " dans sa piscine de la Drôme provençale. Dommage, nous aurions pu le faire revenir...

Avec nos respectueuses salutations à tous et à toutes, J.M

Fait à 3H00 du matin : les idées de ALTER-EUROPA peuvent être claires, même à cette heure-là...



Explications des morts bizarres aux plus hauts niveaux, cherchez à qui les crimes profitent ?


Pourquoi le Taux Directeur de la BCE est-il une vaste escroquerie financière ?

samedi 19 juillet 2008 (14h10)
4 commentaires

Pourquoi le Taux Directeur de la BCE est-il une vaste escroquerie financière ?

A. Le Taux Directeur de la BCE : en hausse !

UNE FOIS PAR MOIS, LE CONSEIL DES GOUVERNEURS SE REUNIT pour commenter l'actualité en termes sibyllins et annoncer « la » décision capitale : quel sera le taux directeur ? Or, comme nous l'avons déjà souligné, ce taux de refinancement à trois mois des grandes banques a augmenté régulièrement depuis la nomination de J.C TRICHET au poste de gouverneur de la BCE puisqu'il est passé de 2% (le 6/6/2003) à 4% (le 13/06/2007) et à 4,25% le 2/07/2008. La presse financière laisse même planer le doute sur de futures augmentations pour le second semestre 2008, et même en 2009, « pour combattre l'inflation, principale source d'inquiétude de la BCE ».

Pendant ce temps, les Etats-Unis ont réduit, et le Japon a maintenu à un niveau très faible, leur taux de refinancement des grandes banques à court terme (trois mois). Cette politique a permis de contenir les taux à dix ans, principale source de financement des Administrations Centrales, alors que leur situation respective d'endettement est bien plus inquiétante que celle de la Zone Euro : ±55% du PIB[1] pour la Zone Euro (amélioration constante) ; ±50% pour les Etats-Unis (dérapage depuis fin 2007) ; ±160% pour le Japon (contre 120% en fin 2000, mais amélioration en 2007).

Pour souligner l'absurdité de cette situation, le gouvernement japonais peut se financer (à dix ans) au taux de ±1,6%, tandis que les gouvernements « eurolandais » et américains doivent se financer à plus de 4,5%.

Or, rien ne justifie que les gouvernements européens doivent se financer auprès des banques commerciales à des taux si élevés.

CETTE FIXATION ARBITRAIRE DES TAUX CONDUIT A UNE VERITABLE ASPHYXIE DES PAYS EUROPEENS LES PLUS ENDETTES.

En effet, un taux directeur de 4,25% conduit à faire un cadeau annuel à la Haute Finance et aux rentiers de 3,3% de notre PIB (et même de 4,0% si l'on tient compte de l'endettement de toutes les administrations) : ± mille euros par an et par citoyen, dans les pays les plus endettés, qu'il soit nouveau-né ou mourant.

Il est donc facile de comprendre que « la lutte contre une reprise (réelle) de l'inflation en Zone Euro » représente l'argument favori de la Haute Finance pour imposer une prédation de cette ampleur.

En clair, cette « politique monétaire », c'est toujours plus de produits financiers pour ces grands prédateurs, et toujours plus de sacrifices pour les peuples européens (ne résidant pas dans les paradis fiscaux).

Autrement dit, c'est la la « CROISSANCE ZERO GARANTIE »… pour les peuples…

B. Le Taux Directeur de la BCE : un taux qui ne dirige rien du tout !

PREMIER ETAGE DE LA PREDATION : LE TAUX DIRECTEUR.

Si la BCE fixe le taux de refinancement des grandes banques à trois mois, c'est bien sûr pour prêter plus de sept mille milliards d'euros aux administrations européennes à des taux encore plus élevés, soit à ±5%, toutes administrations confondues.

Pour les grands bonimenteurs d'un « marché où la concurrence est libre et non faussée », la prédation n'est jamais satisfaisante : les entreprises et les particuliers sont les victimes de choix de la Haute Finance.

DEUXIEME ETAGE DE LA PREDATION : LIBERTE TOTALE DES BANQUES.

Pour simplifier les analyses dans le contexte d'une Zone Euro où il existe une bonne centaine de taux de référence, nous retiendrons deux taux qui « encadrent » généralement les pratiques bancaires : le Taux de Base Bancaire et les Taux d'Usure, ou taux usuraires.

Par contre, si l'exemple suivant concerne la France, il faut très vite relever que la plupart des pays européens ne fixent aucune limite à l'usure…

En France, les banques commerciales peuvent fixer librement leur Taux de Base Bancaire (TBB). Et donc, malgré une baisse, puis une hausse du Taux Directeur de la BCE, le TBB moyen pratiqué par les banques françaises est resté « cloué » à 6,60% depuis décembre 2002 (venant de 7,10% avant 2002).

Les ententes (illicites) sont donc évidentes au sein de cet oligopole parfaitement hermétique, regroupé au sein de l'Association Française des Banques (AFB).

Or, ces TBB sont eux-mêmes à la base d'une multitude de taux de référence dans chaque banque : pour tous les prêts, les taux pratiqués varient en fonction des emprunteurs, des durées, des montants et des garanties offertes.

Les banques françaises sont mêmes libres de fixer les sommets qu'elles peuvent frôler, mais ne pas dépasser, puisque c'est la Banque de France, leur banque, qui détermine la liste des taux usuraires.

Au sommet de cette pyramide se trouve le taux usuraire le plus élevé, celui des prêts à la consommation accordés aux petites gens (prêts inférieurs à 1.524€) ; depuis janvier 2008, il est à 20,60% hors frais de dossiers de toutes sortes.

Pour les entreprises, c'est le découvert autorisé qui est le taux le plus élevé : il est « limité » à 14,29% mais les banques peuvent quand même facturer un supplément d'agios avec la règle du « plus gros découvert utilisé ». Un seul jour de découvert utilisé (autorisé par contrat), et les entreprises paient généralement un mois de frais financiers… C'est légal puisque c'est « leur » loi.

TROISIEME ETAGE DE LA FUSEE « INSTITUTIONNELLE » QUI FAIT GRIMPER LES TAUX D'INTERET.

La BCE donne des statistiques sur les Taux Moyens Mensuels (TMM) pratiqués par les banques pour chaque catégorie de crédit, de découvert et de prêt. Et là, c'est le bonheur complet : les taux pratiqués par les banques sont toujours très inférieurs aux taux usuraires (s'ils existent).

Que se passe-t-il donc ? En fait, les taux usuraires servent de référence aux Sociétés de Crédit qui sont (généralement) les filiales de ces mêmes banques. Et celles-ci sont spécialisées (dans le racket) pour toutes sortes de financement (crédits, prêts, LOA, crédit-bail), pour toutes sortes de clients (administrations, entreprises, particuliers), pour toutes sortes de biens (consommation, équipement, immobilier) et pour toutes sortes de services (affacturage, crédits grand public, crédits automatiques par découverts). Bien sûr, elles interviennent pour toutes les durées possibles, y compris pour les crédits permanents (revolving) par cartes bancaires et pour les crédits à vie (trente ans, et même cinquante ans, pour les crédits immobiliers). Dans ce contexte de « légalisation » du racket en faveur des Sociétés de Crédit, il est facile pour un banquier de refouler les demandes d'intervention de ses clients (déposants) vers les « sociétés spécialisées » tout en donnant l'image du banquier vertueux, « populaire », « mutuel », « coopératif » et même « agricole » (des gens de la campagne). Les spots télévisés sont d'ailleurs très révélateurs de l'image sympathique que veulent donner les banquiers… pour nous emprunter de l'argent ou pour nous vendre des placements et des assurances… Mais surtout pas pour nous prêter de l'argent, car c'est bien plus rentable pour la Haute Finance de refouler nos demandes vers les Sociétés de Crédit.

Nous venons de parler essentiellement de la France, mais c'est bien pire dans d'autres pays : Espagne, Italie, Portugal, Grèce, Allemagne, Belgique… Dans la plupart de ces pays, il n'y a même plus de fixation de « taux usuraires »… Or, c'est bien le Pouvoir Politique, et donc le Parlement Européen au sein de toute l'Union Européenne, qui devrait « encadrer » et « harmoniser » les pratiques de la Haute Finance, notamment en plafonnant (à des niveaux très bas) les taux d'usure. Dans la réalité, les Banques Centrales, chacune dans son pré carré, ont le droit de publier, ou de ne pas publier, ce type de taux à ne pas dépasser… Et quand elles publient ces taux, c'est tout simplement pour institutionnaliser un système de racket particulièrement bien organisé…

C. Peut-on chiffrer le racket financier ?

Pour toutes les Administrations de la Zone Euro, les frais financiers (±5%) s'élèveront, durant l'année 2008, à environ 350 milliards d'euros, soit un peu plus de 225 MD€ pour les Etats les plus endettés, et un peu moins de 125 MD€ pour les autres administrations.

Pour les entreprises résidentes, les frais financiers représenteront plus de 750 MD€ (une masse de crédits et de prêts de ±10.000 MD€, soumise à un taux moyen de 7,5%), mais ce n'est qu'une (petite) partie seulement des ponctions réalisées par la Haute Finance à tous les niveaux de la vie économique et au sein de l'Economie Réelle : marchés boursiers, marchés obligataires, marchés des matières premières, marchés du foncier et de l'immobilier, commissions sur tout ce qui bouge, et même « consulting » obligatoire (à des tarifs mafieux) pour les entreprises sous leur contrôle.

Pour les particuliers, dont les sociétés en nom propre font partie, le racket n'est pas réellement chiffrable car les banques centrales ne publient aucune statistique sur les sociétés de crédit… alors que ces dernières occupent une place grandissante (40%) dans le total des crédits et des prêts accordés aux résidents (location et crédit-bail compris)… De plus, les Sociétés de Crédit se sont multipliées pour « spécialiser » leur racket, pour optimiser leurs bénéfices et pour dissimuler leur vraie puissance, en s'implantant dans les paradis fiscaux.

Même les sociétés de recouvrement de créances sont aujourd'hui les filiales des banques, des organismes de crédit, des caisses interprofessionnelles du logement et des groupes d'assurance : elles « rachètent » les crédits impayés à vil prix et mettent à l'abri (dans les paradis fiscaux) les recouvrements de ces « impayés »… Pour ces sociétés, les recouvrements de créances deviennent des plus-values non imposables, certaines alimentant les caisses noires des dirigeants et des ex-dirigeants… La Justice « locale » de leurs (malheureux) clients les protège, c'est la règle, et elle leur donne même le droit d'exercer leur forfait pendant trente ans. Tout confondu, le chiffrage des prestations de ces Sociétés de Crédit et de Recouvrement (pour les seuls frais financiers) représente plus de 500 MD€ à l'échelle de la Zone Euro.

Au total, le racket financier au sein de la Zone Euro se monte (pour les seuls frais financiers) à plus de 1.600 MD€ par an, soit plus de 5.000€ par an et par habitant. CQFD : c'est la croissance zéro garantie… pour les peuples européens !

D. Conclusion

Sur « un marché où la concurrence (doit être) libre et non faussée », nous venons de découvrir l'institution la plus anti-démocratique (la BCE) que l'Histoire Européenne ait jamais engendré : elle est gérée uniquement par des Hauts Fonctionnaires, « jamais élus, jamais responsables, jamais coupables », adoubés par la Haute Finance (il faut avoir un passé de banquier).

Personne n'a le droit d'ingérence dans leurs décisions et dans le contrôle de leurs activités ; et pourtant, quand ils octroient des crédits et des prêts aux banques commerciales, c'est l'argent des peuples qu'ils gèrent, et ce sont les peuples qu'ils endettent.

De plus, toutes les pratiques bancaires et financières sont gérées par un système d'ententes illicites qui ont pour but d'encourager les « enrichissements sans cause », condamnés par ARISTOTE, par toutes les religions chrétiennes et par l'Islam pendant plus de cinq siècles.

La liberté ? C'est celle d'un racket bien organisé !

Merci de réagir, et surtout de faire réagir le plus grand nombre d'entre nous,

ALTER-EUROPA

Pour une Autre Europe…

Et (bien sûr) pour un Autre Euro…

JUNON MONETA

http://groups.google.be/group/alter-europa/web/pourquoi-le-taux-directeur-de-la-bce-est-il-une-vaste-escroquerie-financire?hl=fr



De : ALTER-EUROPA
samedi 19 juillet 2008


Petite histoire des Warburg ( UBS-Warburg, le cheval de Troie qui est en train de détruire la Suisse...)


« La Troisième Guerre mondiale doit éclater par l'amplification des
différences, fomentée par les Agentures (agents espions) des Illuminati,
et existant déjà entre le Sionisme politique, Israël, et les chefs du
monde musulman.

D'après les plans écrits entre 1859 et 1871, cette "guerre "doit être
dirigée de manière que l'Islam, le monde arabe incluant le mahométisme,
et le Sionisme politique, incluant l'Etat d'Israël, et par conséquent,
les Etats-Unis, se détruisent les uns les autres. Les nations restantes,
divisées et donc belligérantes seraient forcées, à l'issue de cette
"guerre ", de se battre entre elles... »

(Rédigé le 26 juin 1945 par W.G. Carr, ancien agent des services secrets
canadiens.)

La délégation américaine à Versailles était représentée par Paul
Warburg, l'émissaire des Rothschild, et représentant la branche
américaine d'I.G. Farben.

En face, la délégation allemande incluait son frère, Max Warburg... qui
allait devenir le banquier d'Hitler. Leur hôte en France, durant la
conférence de « Paix», n'était autre que le baron Edmond de Rothschild.
Et ce dernier n'oubliait pas le plan que le « Comité X » devait mettre
en oeuvre !

Le baron Edmond de Rothschild n'était pas seulement le haut financier
qui, dans l'ombre, imposait les négociations et les résolutions du
traité de Versailles ; il était aussi celui qui mit en oeuvre le « plan
ISRAEL ».

D'ailleurs, à sa mort, en 1934, ne l'appelait-on pas le « Père d'Israël » ?

En fait, le baron Edmond de Rothschild avait commencé à esquisser la
troisième partie du plan Pike dès les années 1880.

Grâce à son immense fortune, il aidait financièrement les juifs russes à
établir des communautés en Palestine. Plus précisément, il s'agissait de
fermes et d'usines que les livres d'histoire appellent «Yishuv».

La marge de manoeuvre des ces pauvres gens était très faible. Par
exemple, la puissance bancaire khazare imposait aux fermiers juifs
jusqu'aux grains à semer !

Aussi, des plaintes ne tardèrent pas et en 1901, les colons contestèrent
la dictature imposée par les khazars. La réponse du Baron Rothschild ne
tarda pas : « J'ai créé le Yishuv, moi seul. Donc aucun homme, même
colon ou organisation n'a le droit d'intervenir dans mes plans... »

Cette réponse exprime parfaitement le cynisme de ces personnages envers
le «peuple juif», et bien sûr, la population humaine en général.

D'après le livre de Simon Schama, Les deux Rothschild et la terre
d'Israël (Collins, London, 1978), les Rothschild ont acquis 80 % de la
surface d'Israël...

En 1913, Paul Moritz Warburg dirige le petit groupe sélect qui réussit un des plus gros hold-ups de toute l'histoire de l'humanité : la création de Federal Reserve Bank. Il y avait déjà près de 75 ans que les banquiers de toutes les moutures tentaient le coup. Les présidents Lincoln, McKinley et Garfield ont été assassinés pour s'y être opposés. Je vais tenter de vous expliquer la chose.

Petite histoire du fric mou
À l'origine, les possédants déposaient leur or dans la voûte d'un orfèvre. Pour chaque dépôt, celui-ci remettait une quittance, équivalente au poids de l'or qui lui était confié, d'où le nom de Livre, Pound, Peso, Lira, etc. Rapidement, les gens se mirent à s'échanger ces quittances, plus pratiques à transporter que des kilos de métal encombrant, pour régler leurs achats ou leurs dettes. Éventuellement, les orfèvres se rendirent compte que plus personne ne venait chercher cet or, qui changeait de main de nombreuses fois mais dormait tout ce temps à la cave. Ils eurent l'idée d'acheter des propriétés à revenu avec cet or, puisqu'il ne servait à rien. Puis, ils réalisèrent qu'ils pouvaient prêter plusieurs fois l'équivalent du véritable magot en leur possession et en tirer un intérêt, sans jamais se faire prendre. La banque était née. Cependant, lorsqu'un orfèvre possède 10 livres d'or et met en circulation 100 livres de quittances, il dévalue la quittance de 90% dans le monde réel. C'est-à-dire que si tous les dépositaires viennent un après-midi reprendre leur or, leurs 100 livres de quittance ne leur permettront pas d'obtenir un kopek de plus que les 10 livres d'or reposant sur la tablette du coffre et il y aura ce qu'on appelle un Crash.

Là où ça devient franchement dingue, c'est quand on crée une banque centrale, ou fédérale. Cette institution est censée émettre des notes (les billets) représentant la valeur du trésor en possession du gouvernement. Pour simplifier, si le gouvernement a un actif de 100 livres d'or, de lampadaires, ou de bouteilles scotch, il peut théoriquement émettre 100 billets d'une livre, qui serviront aux citoyens dans leurs transactions quotidiennes. Mais la réalité est toute autre.

Les banques fédérales n'appartiennent jamais aux gouvernements (donc à la population), mais aux banques les plus influentes du pays. Voici comment ça fonctionne : le gouvernement sera actionnaire à 20 % de la banque, et déposera donc 20 livres d'or. Quatre banques seront également actionnaires, à part égale avec le gouvernement. Cependant, seul l'état déposera véritablement son or, puisque les banques se prêteront à elles mêmes le montant de leur mise de fond, en investissant les 20 livres que le pauvre blaireau de peuple vient de leur donner. Donc, dès le départ, le capital qui devait être de 100 livres n'est en réalité que de 20. Dévaluation. Il y a pire. Cette banque fédérale a maintenant le droit d'imprimer de la monnaie. Elle va décider du nombre de billets à imprimer. Eh bien, ces dénominations représenteront la somme totale de la DETTE que le gouvernement aura envers la banque centrale. Si, si ! Ils fabriquent une piastre en papier pour quelques sous, puis la louent au gouvernement pour la somme nominale inscrite sur sa face, soit 1, 2, 10, 1000 livres, etc. « Pourquoi, bon sang, paierions-nous ce montant absurde ? » C'est ainsi. Les peuples de la Terre le permettent. C'est simplement une subtile continuité de la monarchie héréditaire, avec un masque souriant.

Bon, combien de billets vont-ils émettre, ces experts de la finance ?! Le trésor prétend posséder 100 livres (alors qu'il n'y en a que 20), vous vous dites : « simple ! ils impriment 100 billets de 1 livre ». Eh bien… Euh… Non. C'est à eux que revient le choix de la quantité de devises en circulation. Ce qui veut dire qu'une fois les 100 premières notes distribuées, la banque fédérale peut à loisir en imprimer 900 nouvelles. Avec comme résultat que votre pinte de lait qui coûtait 2¢, vaut maintenant 20¢. Le lendemain, nos amis de la banque centrale peuvent décider de garder dans la voûte 95% de l'argent qui leur passe entre les mains. Au bout de quelques jours, il n'y a plus que 50 notes de 1 livre en circulation. La même pinte de lait s'achète désormais 1¢, parce que chaque note représente le double de la somme symbolique représentée au départ. Vous trouvez ça scandaleux ? Pensez-y, ces messieurs peuvent sans ambages profiter de leur contrôle de cette respiration de l'inflation et de la récession pour constamment acheter la pinte de lait à 1¢ et vous la revendre à 20 ! Tout le monde a travaillé très fort ? Plein d'heures supplémentaires ?! Vous êtes devenus riches ?! Il suffit à la banque d'imprimer encore 1000 billets et de les mettre en circulation, c'est-à-dire d'acheter eux-mêmes des valeurs sur le marché (le camion de lait, par exemple), alors qu'ils ne possèdent pas un traître sou d'actif, pour que les 10 billets qui dorment dans votre poche perdent la moitié de leur valeur. Dans les faits, la banque vient d'aller prendre 5 livres dans votre poche. C'est un hold-up subtil. Le hold-up international de tous les habitants de la Terre par un petit groupe de banquiers et d'industriels.

Vous ne me croyez pas, hum ?! je sens que j'ai besoin d'aide… En voici : L'inflation aux États-Unis depuis 1913, année de la création de la Federal Reserve Bank par Paul Warburg, JP Morgan, Rockefeller et leurs potes : 2950% !

La plupart des Américains ne comprennent pas vraiment l'opération des prêteurs d'argent internationaux. Les comptes du Système de la Réserve Fédérale n'ont jamais fait l'objet d'une vérification. La FED opère sans le moindre contrôle du Congrès et manipule le crédit des Etats-Unis.
— Le Sénateur Barry Goldwater (Rep. AR)

C'est une bonne chose que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que s'ils y arrivaient, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin.
— Henry Ford, industriel

Les banques fédérales ne sont pas des agences gouvernementales mais sont des corporations privées, indépendantes, contrôlées localement.
— Lewis contre le gouvernement des États-Unis, 1239, procès du 9e circuit, 1982

Nous avons, dans ce pays, une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connues. Je parle de la Federal Reserve Bank. Cette institution maléfique a appauvri le peuple des États-Unis et a pratiquement ruiné le gouvernement. Ce crime a été commis par les charognards de fric qui la contrôlent. Il n'y a pas un seul homme ici, à portée de voix qui ignore que ce pays est gouverné par des banquiers internationaux.
—Louis T. McFadden, Congressman 1932 (Rep. Pa)

Lorsque vous et moi signons un chèque, les fonds suffisants doivent être présents dans votre compte pour couvrir le montant du chèque, mais lorsque la Réserve Fédérale signe un chèque, il n'y a pas de dépôt bancaire y correspondant. Lorsque la Réserve Fédérale signe un chèque, elle crée de l'argent.
— Manuel d'utilisateur des services, Federal Reserve Bank de Boston

De toutes les inventions imaginées pour voler les classes ouvrières de l'humanité, aucune n'a été aussi efficace que celle qui les mystifie grâce à l'argent de papier.
— Daniel Webster, secrétaire d'État, É.-U., 1841


14-18
Une des idées du Kaiser Wilhelm II, toujours conseillé par Max Warburg, est d'accéder au pétrole mésopotamien en construisant une ligne de chemin de fer reliant Berlin à Bassora (l'Irak d'aujourd'hui). La Couronne britannique, dont la flotte a abandonné le charbon en 1904 au profit du pétrole, ne peut laisser le monopole de sa Royal Dutch Shell s'effriter. En 1914, quelques mois avant que le projet ne soit complété, la guerre est déclarée sous un prétexte bidon, l'assassinat du Duc Franz Ferdinand. Les banquiers de toutes parts se frottent les mains. Pour eux, c'est noël !…


Alors que les Bolcheviques ne contrôlent qu'une fraction infime du territoire Russe (parcelle qu'ils passent près de perdre à l'été 1918), la American League to Aid and Cooperate with Russia est organisée à Washington D.C. pour augmenter le support offert au groupe de Lénine et Trotski, déjà soutenu par Jacob Schiff. Il s'agit d'un consortium regroupant General Electric, Baltimore & Ohio Railroad, et surtout, la Federal Reserve Bank, bref, un lobby des Warburg.

Lors du traité de Versailles en 1919, des réparations sévères sont exigées par les alliés à l'Allemagne et à ses alliés. Parmi celles-ci, mentionnons que Royal Dutch Shell, pétrolière appartenant à la Couronne britannique, reçoit les champs pétroliers de tout le Moyen Orient en cadeau. 75 % des liquidités nécessaires aux lourds paiements imposés à l'Allemagne sont prêtés au gouvernement Berlinois par des banques US dont la Federal Reserve Bank dirigée par Paul Warburg. C'est donc le peuple américain qui va payer avec ses impôts les réparations allemandes de la première guerre aux grandes entreprises qui ont organisé le conflit d'un bout à l'autre. Cette situation contribue à créer la lourde dette nationale qui assure aux banques leur ascendant sur la politique américaine. Voilà qui jette un éclairage prosaïque sur le « miracle » de la reprise allemande, et sur la légendaire efficacité du régime nazi, qu'on continue de nous vanter jusqu'à nos jours sous diverses formes.

1920 : malgré les cendres encore chaudes et l'horreur cuisante avec laquelle le Monde regarde l'hécatombe qui vient de s'achever, Wall Street commence déjà à faire la promotion d'une politique de la revanche en Europe Centrale et à préparer l'avènement d'une nouvelle guerre entre la France, l'Allemagne et la Russie.

Création à New York du Council on Foreign Relations (sorte de ministère américain des affaires étrangères, échappant à tout contrôle gouvernemental, appartenant à des banques et des trusts industriels). Sa direction est confiée à Paul Moritz Warburg. Il en reste un membre influent jusqu'à sa mort, en 1932. Il fonde également en 1921 la International Acceptance Bank of New York (banque de réception de capitaux étrangers), qui fusionne ensuite avec la Banque de Manhattan. Il est de surcroît fondateur, actionnaire important, et directeur de I.G. Farben USA, compagnie soeur de la I.G. Farben allemande, dirigée par son frérot Max Warburg. I.G. Farben et Vereinigte Stahlwerke ont produit à elles deux 95 % des explosifs utilisés par les forces de l'Axe au cours de la seconde guerre mondiale.

La Hamburg-Amerika line a pour banque (donc créancier) la M.M. Warburg de Hambourg. Dans le cadre des « réparations », c'est donc Warburg lui-même qui organise son transfert au trust de Averell Harriman et George Herbert Walker, dont le bras américain de sa banque, détenu par ses frères Félix et Paul Warburg, est partiellement propriétaire. Résumons le trajet du fric. Le blaireau américain paie son impôt, qui se ramasse à la Federal Reserve Bank de Paul Warburg et cie. Cet argent passe ensuite en prêt à l'Allemagne, en réalité à la Reichsbank de Max Warburg et cie. Le fric transite encore une fois vers la Union Bank de Harriman, dont Felix Warburg est un actionnaire important. Cet argent (ou ce qu'il en reste) est ensuite utilisé pour compléter la transaction cédant une immense flotte de navires, la Hamburg-Amerika, de la M.M. Warburg à la Union Bank, toujours propriété partielle des Warburg. Résultat, l'argent volé à un blaireau, l'Américain, a servi à déposséder un autre blaireau, l'Allemand, et les gouvernements des deux pays encourent de lourds intérêts, alors qu'une gigantesque flotte de navires a semblé changer de mains. Pour compléter la boucle, en 1933, le même Max Warburg devient le directeur du conseil d'administration de la Hamburg-Amerika line.


La Montée des Crapules
James Paul Warburg, fils de Paul Moritz, oeuvre aux postes de vice-président, puis président des banques de son papa, les International Acceptance Bank, et Manhattan, de 1921 à 1934, tout en devenant conseiller auprès de divers présidents des États-Unis dont Franklin Delano Roosevelt.

En 1922, Max Warburg offre son concours à l'établissement à Berlin d'un réseau d'investissement aussi puissant que discret. Les dirigeants en sont Averell Harriman, fils de E.H. Harriman, et George Herbert Walker.

Dans les années 20, les banquiers de Wall Street cherchent en Europe Centrale sur qui miser pour s'assurer d'une guerre le plus tôt possible. Paul Moritz Warburg se rend en Allemagne en 1929 et en 1930, pour y représenter la International Acceptance Bank, intéressée à financer et organiser le parti National Socialiste de Adolf Hitler. Il représente également le Guaranty Trust de J.P. Mogan dans le même contexte.

CRASH



En 1929, les banquiers en contrôle de la Federal Reserve Bank organisent un coup d'état économique en créant de toutes pièces un effondrement de la bourse. Les principales entreprises impliquées se sont discrètement retirées du marché boursier au cours des mois précédents. Ils en profiteront ensuite pour reprendre les affaires les plus profitables, liquider les autres, et mettre la main sur d'immenses terres (plus des deux tiers des fermes indépendantes à l'Ouest du Mississippi), que les fermiers états-uniens sont forcés de laisser aller, faute de liquidités. C'est sur ces terrains que sera construite la grande utopie américaine de la planète Suburbia, au cours des 30 années suivantes.
Le crash de 1929 n'a rien eu d'accidentel. C'est un événement soigneusement planifié. Les Banquiers internationaux ont cherché à engendrer ici une condition désespérée, de façon à devenir nos maîtres à tous.
— Louis T. McFadden, Chairman of the House Banking and Currency Committee, 1933.

PRISE DE POUVOIR
Imbibé de fonds et d'appuis provenant de toutes parts (Wall Street, la City de Londres, les Thyssen, les Schacht, les Krupp), Adolf Hitler et ses S.A., armés de 400 000 mitraillettes par Rockefeller et J.P. Morgan, s'emparent du pouvoir après un coup d'état déguisé, en janvier 1933.

À compter de 1933, Max Warburg participe à la direction financière de l'état Nazi en siégeant au CA de la Reichsbank, sous Hjalmar Schacht de qui il est très proche. Il est parallèlement un des grands actionnaires et dirigeants de la partie allemande de l'immense conglomérat chimique nazi I.G. Farben (américano-germanique), tristement célèbre pour la création et la vente du Zyklon B (le poison employé dans les camps d'extermination), mais également fournisseur de l'armée allemande en gaz toxiques, ersatz pétroliers et produits divers, dont évidemment, des explosifs. I.G. Farben a un parti pris très clair dans la guerre qui se prépare, puisque la branche américaine de la firme bloque l'accès de l'armée U.S. à ses brevets comportant des applications militaires, en réservant l'exclusivité au côté Nazi.

Le 29 mars 1933, Erich, le fils de Max, envoie un télégramme à son cousin, Frederick Warburg, alors directeur d'une branche du réseau ferroviaire des Harriman. Il y demande à Frederick d'user de toute son influence pour stopper les activités anti-nazies en Amérique. En fait, les Warburg ont le contrôle politique et financier du American-Jewish Committee et du B'nai B'rith, qui publient en 1933 une déclaration commune déconseillant toute action de protestation ou de boycott envers l'Allemagne Nazie et allant jusqu'à proposer d'empêcher la tenue de réunions, de manifestations et de toutes formes d'agitation à l'encontre du régime de Adolf Hitler.

La même année, Max Warburg négocie un important pacte pour la création d'un trust chargé de l'exportation de tous les produits Allemands vers les États-Unis. Ce trust regroupant 150 entreprises est mené par la Harriman International & Co., dirigée par Oliver Harriman, cousin de Averell. Les tractations réunissent Hjalmar Schacht, le ministre nazi de l'économie, Max Warburg, Kurt Von Schroeder et l'avocat attitré des principales banques nazies tout au long des années 30, un américain nommé John Foster Dulles.

Opposé au New Deal de FDR, James Paul Warburg quitte le gouvernement des États-Unis en 1934. Il réintègrera le gouvernement en 1942 en tant qu'assistant spécial au Coordonateur de l'Information, William Joseph Donovan. Il aura alors l'occasion de travailler en compagnie d'un certain Edward Bernays, de qui on reparlera.

Seconde Guerre mondiale
En 1938, il devient étrange pour les racistes Nazis d'exhiber un banquier juif à la tête de leur complexe économique, militaire et industriel. Max Warburg est « chassé » d'Allemagne, cesse de siéger sur les conseils d'administration des entreprises nazies, abandonne ses fonctions dans l'appareil d'état du Troisième Reich et part s'installer à New York. Cette année-là, Erich Warburg, le fils de Max, fonde Warburg Pincus à New York.

Le réseau construit par les Warburg, les Harriman et leurs acolytes continue d'opérer, jusqu'en 1942 dans certains cas, et jusqu'en 1945 dans d'autres. Le profits engrangés sont astronomiques. Contrairement à Schiff, résolument ému par le sort de ses congénères et toujours prêt à se porter à leur secours, les Warburg semblent dotés d'une indifférence ahurissante aux souffrances des êtres humains en général, mais des juifs en particulier. Ont-ils été dupés ? Peut-être étaient-ils anti-sémites eux-mêmes ?! Ou alors plutôt détachés de leur admirable culture ancestrale et simplement avides de capitaux, de contrôle, de puissance. Abasourdissant mystère.





Erich Warburg s'engage dans l'armée américaine pendant la guerre, avec le grade de lieutenant-colonel. Malgré sa place modeste dans la hiérarchie militaire et les graves risques d'apparence de conflit d'intérêt, on le laisse déployer son influence pour garder Hambourg, la ville familiale, dans la zone Britannique lors de la partition de l'Allemagne. C'est lui qui sera chargé de l'interrogatoire de Herman Göring en 1945. Cette année-là, le dirigeant par intérim de la banque des Warburg depuis le départ de Max en 1938, Rudolf Brinckmann, redonne le contrôle de la M.M. Warburg à Erich.

Max Warburg s'éteint à New York en 1946. La même année, en Angleterre, le petit-fils de Moïse Warburg, Siegmund George Warburg, fonde la S.G. Warburg & Co.

Erich M. Warburg consacre le reste de sa vie au rapprochement entre l'Allemagne et les États-Unis après la seconde guerre mondiale. Pour ses efforts en ce sens, on lui octroie en 1988 une récompense prestigieuse, le prix Erich M. Warburg !… La liste des autres récipiendaires inclut quelques grands hommes, dont le Dr. Henry Kissinger (architecte du génocide cambodgien), le général Klaus Naumann (en charge des bombardements de l'OTAN dans les Balkans) et Monsieur George Herbert Walker Bush.





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Sources :

The Warburgs: The Twentieth-Century Odyssey of a Remarkable Jewish Family ; par Ron Chernow

WALL STREET AND THE RISE OF HITLER ; par Antony C. Sutton

Histoire de la Révolution Russe, Volume Un : Le renversement du Tsarisme ; par Léon Trotski.

Jacob Henry Schiff: A Biographical Sketch ; Adler, Cyrus (1921).

Year of Crisis, Year of Hope: Russian Jewry and the Pogroms of ; Stephen M Berk.

Wall Street's Fascist Conspiracy ; John L. Spivak

What Really Happened
http://www.whatreallyhappened.com/ARTICLE2/doodoo.html

Kennedy


Wikipedia

« Nous subissons dans le monde entier l'opposition d'une conspiration monolithique et sans pitié, qui étend sa sphère d'influence par des moyens dissimulés — qui préfère l'infiltration à l'invasion, la subversion aux élections, l'intimidation au libre-arbitre, la guérilla nocturne aux armées en plein jour. Il s'agit d'un système ayant consacré d'immenses ressources humaines et matérielles à l'élaboration d'une machine bien huilée, d'une grande efficacité, combinant des opérations militaires, diplomatiques, secrètes, économiques, scientifiques et politiques. Ses préparatifs sont dissimulés, jamais publiés. Ses erreurs sont tues, plutôt qu'en première page. Ses dissidents sont réduits au silence, plutôt que complimentés. Aucune dépense n'est remise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret n'est révélé.

La simple mention du « secret » est répugnante pour une société libre et ouverte. Nous sommes, en tant que peuple, historiquement et intrinsèquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, et aux cérémonies secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers représentés par la dissimulation abusive et incontrôlée de faits importants sont largement plus graves que ceux évoqués pour la justifier. »

— John F. Kennedy, Président des États-Unis
New York, 27 avril 1961

Ce discours a été prononcé :
• Dix jours après l'invasion ratée de Cuba par la CIA désobéissant à ses ordres (Playa Giron)
• Deux mois avant qu'il n'interdise toute action paramilitaire à la CIA (National Security Action Memoranda 57)
• Quatre mois avant qu'il ne mette à la porte toute la direction de la CIA, dont son directeur, Allen Dulles, et promette de la démanteler entièrement et de répandre ses cendres aux quatre vents
• Un an avant son refus d'un affrontement nucléaire contre Cuba (crise des missiles)
• Deux ans avant son refus catégorique d'une escalade au Viêt Nam
• Deux ans avant son traité avec l'URSS pour limiter les armes nucléaires (Partial Test Ban Treaty -5 août 1963 )
• Deux ans et demi avant son assassinat à Dallas, (le 22 novembre 1963)

Épilogue
Le 29 novembre 1963, son grand ennemi Allen Dulles est nommé à la commission d'enquête sur son assassinat. Les livres d'histoire officielle qualifient ce fait d'« ironique ». Parfois, les historiens officiels, euh…

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Haïder ou Uwe Barschel II ?

October 13th, 2008 · Commenter (Pas de commentaire)

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Coïncidence ? Haïder meurt le même jour que Uwe Barschel, 21 ans après. Le 11 octobre 1987, Uwe Barschel est retrouvé mort dans la baignoire de l'hôtel Beau-Rivage à Genève. En Allemagne, il est considéré comme le successeur du chancelier Helmut Kohl. Ce drame met fin de manière abrupte à sa carrière fulgurante. 20 ans après sa mort, le mystère demeure : suicide? Meurtre? Frank Garbely a repris l'enquête, et met en lumière de nombreux faits troublants, voire accablants.

On appelle Uwe Barschel le Kennedy du Nord. A 25 ans, il devient président de parti ; à 27, député ; à 35, ministre et à 38, Ministre-président de Schleswig-Holstein. A peine entré en fonction comme Ministre-président à Kiel, on le considère déjà comme le successeur du Chancelier Helmut Kohl. Mais, 5 ans plus tard, sa mort tragique met fin de manière abrupte à sa carrière fulgurante.

11 octobre 1987. Des reporters du magazine Stern trouvent Uwe Barschel mort, dans la baignoire de la chambre 317 de l'hôtel Beau-Rivage, à Genève. Avant même que son corps ne soit transféré à l'Institut médico-légal, les spéculations vont bon train : meurtre, suicide, meurtre déguisé en suicide…

Le lendemain, les enquêteurs donnent des informations sur les circonstances du décès : « Uwe Barschel ne s'est pas noyé ; sur le corps du défunt, il n'y a aucune trace de violence ». La juge d'instruction, Claude-Nicole Nardin, déclare : « Meurtre, suicide ou mort naturelle, tout est possible ». En même temps, la veuve de Barschel et son frère Eike parlent également à la presse et disent : « Le meurtre est pour nous la seule version imaginable ».

Deux jours plus tard, les enquêteurs genevois dévoilent les résultats de l'autopsie : « Uwe Barschel est mort intoxiqué suite à une overdose de médicaments. Le suicide est probable ».

Au début de l'année 1988, Claude-Nicole Nardin clôt l'enquête. Conclusion de ses investigations : Barschel s'est suicidé. La famille Barschel s'oppose à la fermeture de la procédure en portant plainte pour meurtre.

Aujourd'hui, 20 ans après la mort de Barschel, le secret de la chambre 317 n'a toujours pas été percé. Ce film reprend l'affaire.

Il raconte ce qui a entravé la résolution de l'affaire : les pannes les plus improbables, les incidents les plus surprenants – des photos du lieu du crime inutilisables, des pièces à conviction falsifiées, des protocoles d'enquête arrangés, des témoins introuvables…

Procureurs, proches de Barschel (sa veuve), experts, témoins… tous disent comment ils ont vécu l'affaire et nous permettent d'enfin comprendre ce qui a empêché d'élucider la mort de ce « Kennedy du Nord »…

Les boucles sont bouclées...

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