vendredi 12 avril 2019

Vaccins et mensonges, des preuves !

Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) : Rétablissons la vérité
Beaucoup de mensonges sur ce vaccin (Gardasil®) sont sans cesse proférés par nos autorités sanitaires sous l’influence de soi-disant experts ou leaders d’opinions dont l’indépendance est pour le moins douteuse.
1er mensonge : « C’est un vaccin contre le cancer du col de l’utérus »
Or il s’agit d’un vaccin dirigé contre deux membres d’une famille de virus qui peuvent être associés, dans de rares cas, au cancer du col de l’utérus.
Dans cette famille de virus on dénombre plus de 150 membres dont une bonne vingtaine peut être associée au cancer. Les souches 16 et 18 sont associées à près de 70% des cancers, mais ses deux souches ne représentent, dans les pays industrialisés que 2.3% des infections par le HPV¹.
2e mensonge : «Le cancer du col de l’utérus est le 2e cancer le plus fréquent chez la femme »
Or en Suisse, il se situe en 15e place et est en constante diminution, déjà bien avant l’introduction de la vaccination.
Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la fréquence des cancers du col de l’utérus est passée de 397 cas à 240 cas par an².
Selon les statistiques du canton de Vaud, l’incidence de ce cancer est passée de 13.1 à 4.1 pour 100'000 femmes en trente ans, soit une baisse de près de 70%.
Ce n’est que la 21e cause de mortalité par cancer chez la femme en Suisse.
Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la mortalité des cancers du col de l’utérus est passée de 178 cas à 85 cas par an³.
3e mensonge : « Ce vaccin est d’une efficacité remarquable »
Or aucune étude n’est en mesure de mesurer l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des cancers du col et ceci pour la bonne raison qu’il faut un recul de 15 à 20 ans, laps de temps nécessaire pour qu’une infection par le papillomavirus évolue, dans de rares cas, vers un cancer.
4e mensonge : « Ce vaccin a démontré une grande efficacité contre les lésions précancéreuses de stade 2 et 3»
C’est vrai pour les lésions précancéreuses associées aux souches virales 16 et 18 contenues dans le vaccin. Mais si on regarde les chiffres globaux de l’ensemble des lésions précancéreuses, indépendamment de la souche virale, il n’y a aucune diminution des lésions précancéreuses. Ce chiffre global est la seule valeur pertinente pour juger d’un éventuel bénéfice du vaccin.
5e mensonge : « Ce vaccin est sûr »
On peut lire dans la monographie du Gardasil® publiée par Merck que « dans les études cliniques, Gardasil® a été généralement bien toléré comparativement au placebo». Cette affirmation est pour le moins surprenante quand on sait que dans l’histoire des vaccinations, il n’y a jamais eu d’études vaccin versus placebo, alors que de telles étudessont obligatoires pour tout médicament souhaitant obtenir une AMM (Autorisation de mise sur le marché).
Par définition, un placebo doit être une substance neutre sans principe actif, ne comportant que des composants chimiques neutres. Or le soi-disant placebo utilisé contient de l’aluminium, du borax…, soit l’entier de l’adjuvant !
Aux Etats-Unis, le VEARS(Vaccine Adverse Event Reporting System) dénombrait (début novembre) plus de 30'000 effets secondaires déclarés (principalement des troubles cardiaques, des troubles du système nerveux et des troubles vasculaires)
Des craintes se font jour sur la possibilité d’une altération de la fertilité. Quelques cas, encore rares, d’insuffisance ovarienne ont été décrits (avec pour conséquence une stérilité). Ces cas ont été publiés notamment dans le Journal américain d’immunologie et de la reproduction. La fréquence de ces cas peut être masquée par le fait que les jeunes filles vaccinées sont souvent sous contraception. C’est d’autant plus préoccupant que le Gardasil® contient un adjuvant appelé borax (ou borate de sodium) classé en 2008 par la réglementation européenne comme toxique avec les indications suivantes :
R60 (peut altérer la fertilité)
R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant)
En conclusion
-        Il n’existe aucune donnée sur une éventuelle efficacité du Gardasil®sur la prévention de cancer du col de l’utérus.
-        Les données actuelles démontrent une absence d’efficacité dans la réduction du nombre total des lésions précancéreuses.
-        De nombreux effets secondaires, potentiellement graves, ont été décrits dans la pharmacovigilance.
-        Ce vaccin est donc non seulement inutile, mais éthiquement non défendable, ce d’autant que, selon le docteur Véronique Chabernaud, oncologue et ancien cadre dirigeant d'un grand groupe pharmaceutique, si toutes les femmes suivaient les recommandations d’un dépistage par frottis tous les trois ans entre 25 et 65 ans, 90% des cas de cancer du col de l’utérus serait évité.
Groupe médical de réflexion sur les vaccins
  1. JAMA.2007; 297: 876-878
  2. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Incidence_1984-2008.pdf
  3. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Mortality_1985-2009.pdf
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23902317

Dialogue intéressant à plusieurs au sujet de plusieurs vaccins et surtout d' adjuvants toxiques:

jeudi 11 avril 2019

Dialogues sur les vaccins


VERDICT notamment d’un tribunal italien :

l’autisme du petit garçon a été causé par le vaccin

La Repubblica.it, 25 novembre 2014

Une indemnité à vie a été accordée à un enfant autiste qui avait précédemment reçu le vaccin hexavalent.


Par Alessandra Corica et Franco Vanni

Milan - Le Ministère Italien de la Santé devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie.

C’est en 2006 que le petit garçon a été vacciné avec le vaccin hexavalent de routine fabriqué par la multinationale GlaxoSmithKline. Il s’agit du verdict émis par le Tribunal industriel de Milan présidé par le juge Nicola Di Leo. Selon ce juge,  l’existence d’un lien causal entre la vaccination et la maladie a été établi. Qui plus est, en se référant au rapport de l’expert judiciaire et médical Alberto Tornatore désigné par le tribunal : «  Le petit garçon a probablement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. Il est donc probable que son autisme ait été provoqué par le vaccin Infanrix Hexa. »

INTERVIEW  « décision incroyable » affirme l’expert

Le vaccin hexavalent est administré en trois injections au cours de la première année de vie. Il protège contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et les infections du type haemophilus influenza type b.

En 2011, avant d’aller au tribunal,  la famille du petit garçon de neuf ans qui avait été diagnostiqué autiste en 2010 avait introduit une requête auprès du Ministère, mais leur requête fut rejetée. Dans la suite, les parents ont porté plainte. « Le Ministère avait 60 jours pour faire appel après le prononcé du 23 septembre. Mais aucun appel n’a été déposé » affirme Alessandra Genovési, l’avocate du petit garçon. Le jugement a donc été considéré comme res judicata (= ayant force de la chose jugée). La famille a émis le souhait que dans le futur, on se soucie de prendre plus de précautions avec ces vaccins. L’enfant va recevoir un dédommagement bimestriel (= tous les deux mois) de 1.683 euros plus un payement ponctuel.

BLOG  - Les vaccins et la logique inversée par Michele Bocci

Le rapport de 18 pages de l’expert médical désigné par la Cour se réfère à « un document confidentiel de poids de GlaxoSmithKline » traitant des «  soi-disant effets secondaires de l’Infanrix Hexa, signalés pendant les essais cliniques et après la pré-autorisation, entre octobre 2009 et octobre 2011. Selon le témoignage de l’expert, il y a apparemment eu « cinq cas d’autisme rapportés au cours des essais, mais ces cas sont restés non cotés ou ont été omis de la liste des effets indésirables remise aux autorités avant l’autorisation de mise sur le marché. »

Le verdict a aussi précisé – en conformité avec les conclusions de l’expert médical – que le vaccin avait « une propension spécifique à provoquer l’autisme, quoique théoriquement faible si elle est calculée sur la base des essais cliniques pré-autorisation, mais qui en réalité était sous-estimé, en raison de l’existence récemment confirmée par les autorités sanitaires australiennes, de lots de vaccins contenant un désinfectant à base de mercure, désormais interdit en raison de sa neurotoxicité démontrée. »

Rien n’indique que l’Agence italienne du médicament ait dans la suite lancé des contrôles sur le vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline. « Aucune enquête particulière n’est en cours sur ce médicament qui, comme tous les vaccins, doit subir une surveillance post-marketing », explique l’Agence, ajoutant : « Il n’existe aucune preuve à l’heure actuelle qu’un changement soit intervenu dans la situation : les avantages de ce produit  l’emportent encore sur les risques. »

Les liens présumés entre la vaccination et l’autisme ont fait l’objet d’un débat international considérable pendant un certain nombre d’années. En 2012, une peine prononcée par la Cour de Rimini a établi un lien entre le vaccin trivalent ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et le syndrome de Kenner (Autisme).

A l’époque, le Conseil scientifique du Calendario Vaccinale de la Vita – un groupe rassemblant médecins de famille, pédiatres et associations spécialisées de santé publique a publié cette déclaration : «  Ce verdict pourrait déclencher une perte de confiance en un outil de prévention qui protège la santé de nos enfants et l’ensemble de la population italienne ! », encourageant le Ministère de la santé à faire appel. Le verdict de la cour de Rimini se référait à une étude publiée dans le Lancet en 1998, et établissant un lien entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Quelques années plus tard, cette recherche a été retirée du journal, car elle était considérée comme peu fiable. Une enquête similaire à celle de Rimini à nouveau sur le lien présumé entre le vaccin ROR et l’autisme a été lancée par le bureau du procureur de Trani.

Au cours des trois dernières années, l’alarmisme ambiant – que les autorités de la santé estiment injustifié – a provoqué une diminution du nombre d’enfants vaccinés. En mars dernier, Movimento 5 Stelle (le Mouvement des cinq étoiles) de Lombardie a déposé un projet de loi en vue de suspendre la vaccination obligatoire, «  compte tenu des niveaux de vaccination déjà élevés en Lombardie. Ce mouvement précise qu’il est temps de permettre le consentement libre et éclairé à propos de la vaccination. » La réponse de la Société de Santé publique a été assez sèche : « Il s’agit d’une perspective dangereuse pour la santé publique. »
Source : La Repubblica.it

Toutes les victimes de tous les pays devraient à chaque fois exiger l’exhumation de ces documents existants mais ô combien gênants et accablants qui sont pour cette raison enfouis sous le sceau de la confidentialité et du "secret des affaires" pour couvrir les responsables de morts ou d'handicapés à vie !.