samedi 2 mai 2009

France 2, la manipulation de trop...La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d’Etat !

Successivement, en 2003, puis en 2008, deux journalistes, Dominique Labarrière et Éric Raynaud, après enquêtes, signent chacun un livre dans lequel ils prennent parti pour la thèse de l'assassinat, affirmant que Bérégovoy aurait menacé de révéler des informations explosives[8].

Ces informations explosives sont notamment l'affaire Ferraye, alias Clearstream 1, la vraie...

La fameuse liste des corrompus est aussi notamment celle de Ferrayé.

http://ferraye.blogspot.com/2009/04/la-vraie-liste-remise-pierre-beregovoy.html

http://ferraye.blogspot.com/2009/04/beregovoy-t-il-ete-assassine-pour-rien.html

« Bérégovoy avait-il un rendez-vous fatal »  ?


"....la mort voulue de Pierre Bérégovoy...." selon M. Mitterand lui-même...voulue par qui ? 

"Je n'ai pas le pouvoir, la France comme le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout."
François Mitterand, cité par la Tribune de Genève, le 22.11.2007 dans l'article au sujet de Danielle Mitterand par M. van Berchem, Paris.

DOMINIQUE LABARRIÈRE : « Bérégovoy avait un rendez-vous fatal » 

La thèse de l'assassinat de Pierre Bérégovoy est relancée

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Opération business ou nouveaux éléments sur la tragique disparition de Pierre Bérégovoy, le journaliste Eric Raynaud développe dans un livre sorti dernièrement (La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d'Etat ?), la thèse d'un suicide maquillé. Il s'appuie sur une photo d'archives de l'Yonne Républicaine qui ferait apparaître deux traces de balle.

Personnage attachant, enfant de la République à l'extraordinaire parcours, Pierre Bérégovoy ancien ouvrier tourneur-fraiseur devenu Premier ministre de François Mitterrand est retrouvé mort le 1er mai 1993 au bord d'un canal à Nevers. La France est sous le choc. Officiellement, il s'est suicidé d'une balle dans la tempe en dérobant l'arme de service de son garde du corps qui était déposée dans la boîte à gants de sa voiture.

La droite a emporté les élections législatives à l'issue d'une campagne féroce pendant laquelle les médias qui lui sont favorables ont multiplié les attaques personnelles mettant en cause l'intégrité d'un Premier ministre né sans fortune et qui pour s'acheter son logement principal, un appartement, a bénéficié d'un prêt sans intérêts d'un riche ami de François Mitterrand. A gauche ce n'est guère mieux, des voix imputent opportunément la défaite électorale au seul Premier ministre. Autant dire que le sentiment de culpabilité est partagé d'autant qu'on décriait Pierre Bérégovoy peu avant sa mort comme très déprimé et affecté des attaques dont il avait été victime.

C'est ce climat particulier oublié, si détestable, qui explique les mots très durs de François Mitterrand aux obsèques de son ancien compagnon d'armes : « Toutes les explications du monde ne justifieront pas que l'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme... » Pour autant, derrière le courroux présidentiel, on n'a pas le sentiment d'une volonté forte de lever les zones d'ombre qui entourent la mort de Pierre Bérégovoy. La version officielle du suicide, trop simple, fait jaser d'autant que cette période est marquée par un réel affairisme (vente de frégates à Taiwan, vente de la raffinerie Elf-Leuna, décentralisation...) On murmure que « Béré » en savait trop, lui, l'intègre devenu gênant avec ses scrupules de pauvre. L'éternelle thèse du complot...

Il faut attendre 2003 pour qu'Eric Raynaud, journaliste en poste dans la Nièvre depuis 1981, la partage. « En mai 2003, à l'occasion du dixième anniversaire de la mort de Béré, j'ai regardé les archives de mon journal. J'ai été intrigué par une photo publiée le 2 mai 93 où l'on voit le député maire allongé sur une civière. On y constate nettement un trou sur le sommet du crâne. Rien à voir avec une balle tirée dans la tempe. Il y aurait eu deux balles. Donc une de trop. » La contre-enquête démarre. Comme d'autres, le journaliste réfute cette dépression qui aurait affecté Pierre Bérégovoy. Même usé par les mois passés à Matignon, « Béré » était un combattant. Et puis, dans la débâcle socialiste, le maire de Nevers a sauvé son siège de député.

Le journaliste reprend donc l'idée du combat d'un homme qui en savait trop, prêt à faire des révélations, qu'il faut « neutraliser ». Eric Raynaud s'appuie sur le discours de politique générale prononcé par l'ancien Premier ministre devant l'Assemblée nationale le 8 avril 1992 : « J'entends vider l'abcès de la corruption (...) J'ai ici une liste de personnalités dont je pourrais éventuellement vous parler », dit-il en brandissant une feuille de papier.

Selon Eric Raynaud, un commissaire des Renseignements généraux, Hubert Marty-Vrayance, aurait lui aussi enquêté sur l'affaire avant d'être contraint de l'enterrer. Pour le policier, Pierre Bérégovoy aurait bien été assassiné : « La balle retrouvée dans le crâne de la victime était de petit calibre, probablement du 6,35, dit-il. Rien à voir avec les dégâts provoqués par le 357 magnum du garde du corps. » Ce nouveau livre rejoint complètement la thèse et les arguments développés dans l'ouvrage de Dominique Labarrière, Cet homme a été assassiné, publié par Denis Tillinac (éditions de La Table Ronde) en 2003, selon lequel Pierre Bérégovoy aurait été assassiné à la suite d'un rendez-vous qui aurait mal tourné.

Le mystère reste entier et notre attachement au souvenir de Pierre Bérégovoy intact.

La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d'Etat ? par Eric Raynaud aux éditions Alphée. 270 pages, 19,90 €

Relance dans un livre de la thèse de l'assassinat

DENIS TILLINAC y croit. « Je publie ce livre parce que le suicide de Pierre Bérégovoy m'a toujours semblé suspect. Il n'y a jamais eu d'enquête sérieuse, et comme le délai de prescription est proche, j'estime que c'est le moment d'en ouvrir une », nous indique le patron de la Table ronde.
Le plus chiraquien des éditeurs parisiens publie le livre de Dominique Labarrière, une enquête de plusieurs années sur la mort de Pierre Bérégovoy (*), le dernier Premier ministre socialiste de François Mitterrand, mort à Nevers en 1993.

Quelle est votre thèse sur la mort de Pierre Bérégovoy ?
Dominique Labarrière. Je suis convaincu qu'il a été assassiné. Je pense même que le 1 e r mai 1993, le long du canal, il avait rendez-vous avec quelqu'un. A cet endroit, protégé par quelques mètres de bois, on rejoint une route juste derrière. D'après moi, cette rencontre a mal tourné.

Quelles preuves avez-vous ?
Il y a un faisceau d'indices troublants. Pierre Bérégovoy n'a laissé aucun mot d'adieu, alors qu'il est très proche de sa famille. Son carnet a disparu. On sait qu'il notait tout sur ce carnet et qu'il l'avait dans sa poche une demi-heure avant sa mort. Je pense donc qu'il y avait sur ce carnet la trace du dernier rendez-vous.
On voit aussi, sur l'unique photo du mort sur le brancard, que l'orifice sur le sommet du crâne n'est pas très grand et ne ressemble pas à la trace que laisse, dans la majorité des cas, un 357 Magnum. Il aurait fallu faire une expertise balistique.
La famille a toujours réclamé en vain le rapport d'autopsie. En fait, il n'y a pas eu d'enquête. Sous la pression politique, en un quart d'heure, une vérité officielle s'est imposée, celle du suicide d'un homme désespéré.

« Ses proches attestent qu'il avait des projets, qu'il allait mieux » Pourtant tout le monde a décrit un Pierre Bérégovoy profondément dépressif...
Oui, même son chauffeur et son garde du corps sont venus dire qu'il avait fait d'autres « tentatives » dans la journée du 1er mai 1993. Alors pourquoi l'avoir laissé seul avec l'arme dans la boîte à gants ? On a beaucoup brodé sur la « déprime » de Bérégovoy, pour mieux cacher le « lâchage » dont il avait été victime de la part de l'Élysée.
D'accord, deux mois avant, au moment de son départ de Matignon, il n'était pas bien. Mais il avait remporté les élections législatives dans sa ville de Nevers et tous ses proches attestent qu'il avait des projets, qu'il allait mieux.
Plus troublant : des témoins ont entendu deux coups de feu. Tous les psychiatres que j'ai consultés voient mal un désespéré tirer un premier coup pour essayer l'arme, puis tirer une seconde fois pour se tuer. Ce cas de figure n'arrive jamais.

Mais qui aurait voulu l'assassiner ?
Des milieux d'affaires pouvaient craindre que l'ancien Premier ministre témoigne un jour. Pierre Bérégovoy était un honnête homme. Libéré des contraintes du pouvoir, il aurait témoigné devant la justice dans un certain nombre de dossiers.
J'ai découvert aussi que James Andanson, l'ancien photographe paparazzi, était à Nevers ce 1er mai 1993. Il connaissait très bien Bérégovoy et je suis très étonné qu'il ne se soit pas manifesté. James Andanson, d'après moi, aurait pu jouer un rôle dans le rendez-vous fatal, peut-être une simple mise en relation. Quand on sait que le même Andanson, (impliqué aussi dans l'affaire de Lady Dy) a été retrouvé « suicidé » dans sa voiture le 6 mai 2000, on se pose des questions.

Pourquoi réveiller ces doutes dix ans après ?
Je sais que des gens disposent d'indices inédits qu'ils ont peur de communiquer. Le 1er mai prochain, cela fera dix ans et les faits seront prescrits. J'aimerais qu'une enquête officielle soit enfin menée.
(*) « Cet homme a été assassiné », de Dominique Labarrière, aux Editions la Table ronde.
Propos recueillis par Laurent Valdiguié, Le Parisien, samedi 15 février 2003, p. 15

http://blog.francetv.fr/EUROPE195720072057/index.php/2008/11/15/87223-pierre-beregovoy-assassine-pour-un-mauvais-exemple

Personnage attachant, enfant de la République à l'extraordinaire parcours, Pierre Bérégovoy est ancien ouvrier tourneur-fraiseur devenu Premier ministre de est retrouvé mort le 1er mai 1993 au bord d'un canal à Nevers. Il ne s'y promenait jamais et n'étais pas un as de la nature. La France est sous le choc.

Officiellement, il s'est suicidé d'une balle ou de deux balles dans la tempe en dérobant l'arme de service de son garde du corps qui était déposée dans la boîte à gants de sa voiture. Finalement un complot d'état, il savait tout et allait balancer ...(toute l'affaire Ferrayé aux médias). Deux hommes grenouilles.... l'ont achevé par deux balles dans la tête par l'arme de service de son garde du corps.

Comme Coluche a qui ont a dit qu'il roulait vite et psychologiquement était un vrai motard, on a dit que Pierre Bérégovoy était sous l'emprise des dépresseurs et en plus d'un carnet rose. .Des questions se posent. Le matin de son assassinat , il allait bien et voulait tout balancer depuis des mois....

Devant l'Assemblée, le premier Ministre a brandit la liste des corrompus qui ont été payés ...(par les escrocs de M. Ferrayé),

La droite a emporté les élections législatives à l'issue d'une campagne féroce pendant laquelle les médias qui lui sont favorables ont multiplié les attaques personnelles mettant en cause l'intégrité d'un Premier ministre né sans fortune et qui pour s'acheter son logement principal, un appartement, a bénéficié d'un prêt sans intérêts d'un riche ami , coup fatal finement monté. A gauche ce n'est guère mieux, des voix imputent opportunément la défaite électorale au seul Premier ministre comme par hasard. Autant dire que le sentiment de culpabilité est partagé d'autant qu'on décriait Pierre Bérégovoy peu avant sa mort comme très déprimé et affecté des attaques dont il avait été victime. Faux. Rien qu'une défaite ne peut être l'occassion d'une mort annoncée, il fallait sauver le Président et installer durablement le socialisme en France.

C'est ce climat particulier oublié, si détestable, qui explique les mots très durs de François Mitterrand aux obsèques de son ancien compagnon d'armes : " Toutes les explications du monde ne justifieront pas que l'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme... "

Même Helmut Kohlh accepta de l'argent noir des socialistes français ...(dans l'affaire Leuna bien connue de M. Ferrayé.).... Pour autant, derrière le courroux présidentiel, on n'a pas le sentiment d'une volonté forte de lever les zones d'ombre qui entourent la mort de Pierre Bérégovoy. La version officielle du suicide, trop simple, fait jaser d'autant que cette période est marquée par un réel affairisme (déjà les ventes de frégates à Taiwan, vente de la raffinerie Elf-Leuna, décentralisation...) On murmure que " Béré " en savait trop, lui, l'intègre devenu gênant avec ses scrupules de pauvre. 

Il faut attendre 2003 pour qu'Eric Raynaud, journaliste en poste dans la Nièvre depuis 1981, partage ces quelques doutes sur la "vérité" officielle.

En mai 2003, à l'occasion du dixième anniversaire de la mort de Béré, j'ai regardé les archives de mon journal. J'ai été intrigué par une photo publiée le 2 mai 93 où l'on voit le député maire allongé sur une civière mouillé. Pierre Bérégovoy avait été attrappé par les 2 hommes grenouilles et s'était échappé : il avait fait de la boxe durant sa jeunesse.  On y constate nettement un trou sur le sommet du crâne, non deux.. Rien à voir avec une balle tirée dans la tempe. Il y aurait eu deux balles. Donc une de trop. Bérégovoy n'était pas assez con pour se donner 2 balles dans la tête, c'est impossible. La thèse du complot comme JFK est née et c'est la vérité aujourd'hui.. La contre-enquête démarre. Comme d'autres, le journaliste réfute cette dépression qui aurait affecté Pierre Bérégovoy comme Coluche. Vous ne savez même pas ce que les socialistes ont fait subir à ELLE 007.

Même usé par les mois passés à Matignon, " Béré " était un combattant. Et puis, dans la débâcle socialiste, le maire de Nevers a sauvé son siège de député. Et puis la défaite électoral dure que 5 ans. Bérégovy voulait devenir président de la France comme Coluche. Les socialistes ne partagent pas le pouvoir et rien du tout.

Le journaliste reprend donc l'idée du combat d'un homme qui en savait trop, prêt à faire des révélations, qu'il faut " neutraliser ". Eric Raynaud s'appuie sur le discours de politique générale prononcé par l'ancien Premier ministre devant l'Assemblée nationale le 8 avril 1992 : " J'entends vider l'abcès de la corruption (...) J'ai ici une liste de personnalités dont je pourrais éventuellement vous parler ", dit-il en brandissant une feuille de papier. Cette feuille imaginaire, Pierre Bérégovoy savait tous les noms que le Président lui donna. ...

Selon Eric Raynaud, un commissaire des Renseignements généraux, Hubert Marty-Vrayance, aurait lui aussi enquêté sur l'affaire avant d'être contraint de l'enterrer. Pour le policier, Pierre Bérégovoy aurait bien été assassiné : " La balle retrouvée dans le crâne de la victime était de petit calibre, probablement du 6,35, dit-il. Rien à voir avec les dégâts provoqués par le 357 magnum du garde du corps. Ce nouveau livre rejoint complètement la thèse et les arguments développés dans l'ouvrage de Dominique Labarrière


Encore plus de faits...

Cet homme a été assassiné, publié par Denis Tillinac (éditions de La Table Ronde) en 2003, selon lequel Pierre Bérégovoy aurait été assassiné à la suite d'un rendez-vous qui aurait mal tourné avec deux hommes grenouilles. Des témoins ont entendu deux coups de feu, Bérégovoy n'aimait pas la nature, ni l'eau et les promenades au bord du canal. Personne ne doit lui volé son assassinat.

Pourquoi Pierre bérégovoy s'est rendu au bord du canal alors qu'il n'y allait jamais.

Pourquoi 2 hommes grenouilles , des agents secrets : qui sont -ils ?. Si tu comprends bien tu as un Nom des 2 hommes grenouilles, mènes l'enquête et tu seras un Colombo.

Pourquoi 2 coups de feux entendus par des témoins.

Le mystère reste entier et notre attachement au souvenir de Pierre Bérégovoy intact : il voulait quand même balancer des hommes ...corrompus ....

..

La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d'Etat tout simplement.

A la manière de Boulin, d'un ministre de Pompidou, des irlandais de Vincennes, le cabinet noir allait monter une machination d'état ...

...

Sa mort un premier Mai : la fête des syndicats, un exemple pour les ouvriers, quel exemple ? Bravo Toton et sa clic.

Tous les dirigeants socialistes le savaient et se sont tus...

Les 2 hommes grenouilles ont attrappé Pierre Bérégovoy pour le noyer.. Ils auraient mis son corps dans la voiture comme le ministre de Pompidou et auraient mis en scène une noyade par suicide par voiture.

Merde Bérégovoy avait fait de la boxe, on l'a achevé par deux balles dans la tête pour ne pas le louper.

...

Tu as vu la police française faire une enquête sur la mort de Coluche, de Balavoine, de Bérégovoy et d'EL. L'enquête sur Lady Diana, des enfoirés, elle a été bafoué tout simplement pour des raisons d'état et de complot. Qui était au pouvoir cette année là. Je crois que ce sera votre plus grosse bavure d'avoir assassiné Lady Diana.

La mort de Pierre Bérégovoy, le 1er mai 1993, reste un mystère. La police et la presse de l'époque ont conclu au suicide. Mais en 2003, dix ans après sa mort, les mêmes médias révèlent que plusieurs proches de Mitterrand sont morts à cette même époque, citant les noms de René Lucet, François de Grossouvre et Pierre-Yves Guézou.

Une liste impressionnante de morts suspectes...


La liste des personnes ayant eu affaire avec ce dossier, mais qui sont aujourd'hui décédées est édifiante.

Comme l'a dit Julien COURBET dans son émission
Sans aucun doute
on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu'un État a des intérêts qui sont reliés par d'autres États "



Bérégovoy Pierre :



» Premier Ministre. Suicidé de 2 coups de feu... Bizarrement, il n'y a pas eu d'autopsie réelle et son Épouse n'a pas pu prendre l'hélicoptère qui a rapatrié le corps et qui a pris un temps infini pour arriver à destination, comme si on voulait être sûr qu'il décède dans le transport.... Elle n'a même pas pu le voir... Comme d'autres, elle doute du suicide de son mari.



» Pierre Bérégovoy avait succédé à Edith CRESSON. Il avait connaissance du complot Ferraye et a voulu le dénoncer par sa fameuse liste...
Finalement, on sort du chapeau une pseudo autopsie douteuse comme celles de Lady Dy et du juge Borel...

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de Grossouvre :
François
» ex-éminence grise du président de la République il se serait suicidé au Palais dans des conditions qui en ont surpris plus d'un, comme Jean Montaldo. Il est mort d'une balle dans la tête. Personne n'a entendu de coup de feu dans le palais.




» Des gendarmes de la présidence ont fouillé en douce son appartement de fonction, avant que la police judiciaire perquisitionne. le coffre-fort où il rangeait les notes confidentielles n'a pas été retrouvé...
» Le rapport d'autopsie précise que le corps présentait "une luxation avant de l'épaule gauche et une ecchymose à la face". Il n'est pourtant pas tombé, il a été retrouvé assis dans son fauteuil.
» Son prédécesseur, mort lui aussi, était aussi responsable administratif à ELF International...
Fluri Jacques :
» De nationalité Suisse, responsable administratif de ELF International. il est mort à l'âge de 39 ans au Pérou. Son corps n'a pas été retrouvé et non rapatrié. Le Contrôle de la population de Genève l'a pourtant déclaré "décédé à Genève" Pourquoi ce faux dans les titres de l'Etat de Genève ? Une plainte a été déposée à Nîmes, sans aucune suite.



» Son prédécesseur, mort lui aussi, était aussi responsable administratif de ELF International...

^
Colne Paul :
» Président de la société P.B.E OIL SA, il a été retrouvé mort dans sa cellule de la prison de Nice. Meurtre ou Suicide ?




» Il aurait signé le VRAI-FAUX contrat enregistré le 15 novembre 1991 par P.B.E OIL SA à la Chambre du Commerce et de l'Industrie de Koweït City sous le Certificat N° 15512 / 17701.
» C'est surprenant sachant que le Tribunal de Commerce d'Epinal avait converti le Redressement Judiciaire de la P.B.E OIL SA, en Liquidation Judiciaire le 7 mars 1989 soit plus de deux ans auparavant... et que la société P.B.E OIL SA avait ainsi cessé toute activité le 7 avril 1989. La Société n'existait donc plus au moment où ce soi-disant contrait aurait été signé...
» Cette Société sortie d'outre-tombe... semble avoir été ressucitée pour conclure une opération financière mafieuse ! Qui en sont les bénéficiaires ? L'Etat est impliqué à tous les coups. Certains noms figurent sur ce contrat :
- AL KHARAFI Adel Mussaed - P.O. Box 14012 Kowait-City K
- AL ADASANI Moustapha - Hauts-Vaugreniers - Villeneuve-Loubet F
- TILLIE Etienne - Rte St-Paul 336 - Colle/Loup F
- COLONA François - Rue Maîstre 11 - Nice F
- BASANO Christian - Rue des frères Picco 4 - Menton F
- ARAMCO Crude Oil Sales - Dharam


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Sanchez André :
» Le 24 juillet 2001, "Le Matin" Journal suisse, publie : Sa voiture explose : meurtre ou suicide ? ...



» Le Directeur de la société de Lausanne est décédé dans des circonstances troublantes. L'homme craignait pour sa vie. Mais, André SANCHEZ avait enregistré une cassette avant sa mort....
Le Juge d'instruction vaudois
Jean-Marie RUEDE
bien connu pour ses dysfonctionne-ments, n'a pas enquêté sur les intrigues financières qui ont conduit à cette mort
» André Sanchez, homme d'affaires français basé à Lausanne, meurt dans l'explosion de sa voiture à Essertines-sur-Rolle. Son nom figurait avec celui de Joseph Ferrayé, sur une convention qui devait permettre le transit de l'argent du golfe par la société de Sanchez.

» Sanchez était en relation avec Michel VENEAU, le Détective privé qui l'a amené chez Me Pierre MOTTU, notaire à Genève pour signer les conventions au nom de la société HOLDING FINANCIERE DE GESTION ET DE PARTICIPATION - BCS FINANCE SA.
» C'est au travers de cette Société que les fonds revenant à Joseph Ferrayé pour paiement de l'utilisation de ses brevets devaient transiter. RUEDE n'a jamais entendu Pierre MOTTU !



» Dans son audition du 19 novembre 2002, Me Eric DE LA HAYE ST-HILAIRE parle de cette Société BCS sur laquelle personne ne veut enquêter.

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Levavasseur :
Daniel

» Le 2 février 2003, des randonneurs ont découvert le cadavre de Daniel Levavasseur, 55 ans, ex-officier de la DST (services secrets français). Il se serait pendu à 15 mètres au-dessus du sol en faisant de la varappe, au Dramont près de Saint Raphaël.



» Il était l'un des quatre signataires d'une convention signée le 18/01/1996 chez Me Pierre Mottu, notaire à Genève.

» Il devait rencontrer Joseph FERRAYE le matin même pour lui transmettre les preuves des détournements opérés...
» Le cabinet d'investigation Kroll lui avait demandé de travailler à l'identification d'un certain nombre de comptes, en raison de ses compétences sur les fiduciaires et manipulations financières.
» Il avait ainsi identifié une liste de comptes dont la globalité des comptes impliqués ou liés atteignait un total de 97 milliards de dollars.
» Une partie des sommes sont bien arrivées sur des comptes en Suisse, au Canada, voire même aux USA ou au Moyen Orient. Certains comptes ont été bloqués sur intervention de la DEA américaine.
» L'ex-inspecteur Levavasseur signale à Nice en novembre 2002 à Joseph Ferrayé et à son associé Christian Basano, qu'il avait des informations complémentaires.
» Il déclare qu'il devait rencontrer Loïc Le Floch Prigent, ex-PDG d'ELF, qui "connaît bien l'affaire des puits de pétrole du Koweït et surtout les bénéficiaires des rétro-commissions".
» Daniel Levavasseur aurait dû être réentendu par la juge suisse Christine Junod avec un autre signataire de ce dossier qui lui, a été entendu fin février 2003.
» Levavasseur n'était plus là pour répondre aux questions. Quant à la "juge" Christine Junod, elle a été corrompue depuis...



^
Sirven Alfred :
» Le 12 février 2005, Alfred Sirven décède à Deauville d'une crise cardiaque ou d'une rupture d'anévrisme.



» Il avait commencé à confier ses mémoires à un Journaliste. Le soir qui a précédé sa mort, il a mangé au restaurant et était en pleine forme...
» Alfred Sirven a été le point central de l'affaire ELF et le responsable dans les détournements FERRAYE au travers de ELF, sur la place de Genève
» Mme Evelyne DUVAL, la secrétaire de M. STRAUSS KAHN, dirigeait le complot à Genève en collaboration avec Alfred SIRVEN. Engagée par l'Etat français, Evelyne Duval recevait une partie de son salaire par une filiale d'ELF, sans contrepartie officielle réelle pour le groupe pétrolier français...




^
Stern Edouard :
» Assassiné le 2 mars 2005. Crime sexuel selon le "juge d'instruction" genevois Michel-Alexandre Graber.

» Nous n'avons jamais entendu parler dans l'enquête du "juge" Graber, sur les raisons qui ont conduit la Police française à questionner Joseph FERRAYE et Christian BASANO, sur leurs liens avec M. STERN...
» Il était question de Jean-Marie GHISLAIN et de EVERTON Enterprise Ltd une entreprise chargée des transferts de fonds, sur laquelle le Président du Crédit Suisse, Rainer E. GUT, avait la signature...
» Peu avant sa mort, M. STERN avait eu des contacts avec Jean-Marie GHISLAIN, administrateur de la Sté WELDROSE qui représentait les associé de Joseph FERRAYE MM. Christian Basano, Etienne Tillié et Cesari Roch Colona.
» La renégociation des relations capitalistiques entre L'Oréal et Nestlé c'était aussi lui... Or, L'Oréal et Nestlé, c'est aussi Rainer E. GUT, qui avait la signature sur les comptes de EVERTON Enterprise Ltd, la société au travers de laquelle ont transité les détournements de fonds au détriment de Joseph FERRAYE ! Rainer E. GUT, c'est aussi l'initiateur du détournement de SWISS International Air Lines au profit de LUFTHANSA, au travers d'un complot magistral... Voir le dossier.
» Alors, Edouard STERN crime sexuel, c'est de la pure intox !
» Le plus surprenant, c'est que la Famille STERN ait confié la défense de ses intérêts à Me Marc BONNANT. Si l'assassinat d'Edouard STERN est lié d'une manière ou d'une autre aux détournements FERRAYE, il y a de fortes chances que le défenseur ait été l'un des instigateurs...
» Dans ce cas, les commanditaires de ce meurtre peuvent dormir sur leurs deux oreilles...

James Andanson, l'ancien photographe paparazzi, était à Nevers ce 1er mai 1993. Il connaissait très bien Bérégovoy et je suis très étonné qu'il ne se soit pas manifesté. James Andanson, d'après moi, aurait pu jouer un rôle dans le rendez-vous fatal, peut-être une simple mise en relation. Quand on sait que le même Andanson a été retrouvé « suicidé » dans sa voiture le 6 mai 2000, on se pose des questions. ( Impliqué aussi dans l' Affaire de Dody et Lady Dy ).

Voir aussi les connections de M. Ted Maher, le meurtrier de M. Safra...

Stern Edouard :
» Assassiné le 2 mars 2005. Crime sexuel selon le "juge d'instruction" genevois Michel-Alexandre Graber....jugé en juin 2009...à suivre...


à suivre...
Vous avez reçu ce texte parce qu'une de vos relations a pensé que notre esprit pouvait vous intéresser et nous a suggéré de vous écrire ou vous a personnellement fait suivre ce message. Si vous ne désirez plus rien recevoir de notre part, nous vous remercions de répondre par courriel avec la simple mention « refusé ». Si cette adresse figure au fichier, nous l'en ôterons de suite. Avec nos excuses.

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