lundi 17 novembre 2008

Qui sont les vrais artisans d' un krach provoqué ?


http://www.accountingsolver.com/wp-content/uploads/2008/03/recession.jpg

Leur devise écrite dans leurs loges, Ordo ab Chaos, l'ordre par le Chaos...

Ils nous ont fait croire que la terre est surpeuplée, ce qui est faux.

http://desiebenthal.blogspot.com/2008/10/le-grand-krach-2008-dj-annonc-par-crit.html

Le but réel des grands manipulateurs: limiter drastiquement la population par un
État mondial quasiment totalitaire amené par un chaos économique planifié:

Les illuminati veulent une terre sous leur pouvoir absolu et que pour eux. Les autres sont de trop...Certains veulent faire mourir ceux qui sont "de trop" pour eux, par des guerres, épidémies, révolutions, crises...

http://www.michaeljournal.org/images/Compte-Goutte.gif

Comme le disait M. Alain-Gérard Slama, journaliste au Figaro, France Culture, 23-8-2008.

« Les mesures de décroissance programmées par les partis écologistes supposent, pour changer de fond en comble les modes de consommation et les mœurs, un État quasiment totalitaire»

Geneviève Ferone, directrice du développement durable du groupe Veolia Environnement, auteure de 2030 : le krach écologique, Éditions Grasset. Elle, 10-3-2008.
« Magazine ELLE : La solution, c'est la décroissance ?
Geneviève Ferone : Si on était un milliard d'individus sur terre comme au début du XVIIIe siècle, si l'on vivait localement en consommant peu de ressources, ça pourrait marcher... Mais à 7,5 milliards d'individus, ça ne sert plus à rien ! Et puis accepter de consommer moins, c'est un luxe qui concerne une poignée de nantis et de bien éduqués. À l'échelle de la planète, c'est ridicule. Allez parler de décroissance aux deux tiers de la planète qui cherchent à sortir de la misère ! »

Olivier Jay, directeur délégué de la rédaction du Journal du dimanche (groupe Lagardère), chronique sur France Culture le 27 octobre 2007.
« Ce Grenelle de l'environnement c'est d'une certaine manière la fin des ayatollahs. Voilà sa grande réussite. On s'est parlé, on a débattu, les idées se sont confrontées. La fin des ayatollahs c'est évidemment la fin des ayatollahs verts les défenseurs de la décroissance ; du retour au passé, d'une protection un peu malthusienne de la société. Ils admettent désormais la nécessité de produire plus et d'abord pour donner à manger à l'ensemble du monde. »

Jacques Attali, Europe 1, 24 octobre 2007.
« Opposer écologie et croissance est une bêtise intellectuelle profonde. En réalité on ne peut pas améliorer l'environnement sans croissance. Ce n'est pas la croissance qui pollue, c'est la production. Si on veut changer le nature de la production il faut évidemment croître. Croître autrement, pour transformer la production. » Lire la réponse d'Hervé Kempf du Monde

Jean-Marie Le Pen, président du Front national, discours sur l'écologie à Nantes (11-2-2007).
« Une idéologie anime les partis politiques écologistes, partout en Europe. Cette idéologie, née en 1972 avec les thèses du Club de Rome, préconise, pour sauver la planète de la surpopulation et de la surproduction, l'arrêt de la croissance. (...) Cette idéologie, d'apparence bucolique, est en réalité plus criminelle que celles qui ont ensanglanté le siècle dernier, puisque sa mise en œuvre impliquerait la mort de milliards d'hommes. (...) Ce n'est pas en freinant la croissance économique de nos nations que nous protègerons notre environnement. Ce sont les progrès technologiques qui ont permis d'avoir des voitures aujourd'hui dont la pollution est inférieure de 20 % à celles d'il y a vingt ans. »

Xavier de la Vega, Sciences Humaines, n° 184 - juillet 2007.
« Connaissez-vous Simon du fleuve ? Ce héros de BD (...), sorte de Mad Max écolo, Simon du fleuve et ceux qu'il rencontrait dans ses pérégrinations s'accommodaient au fond plutôt bien de la fin du monde (...). Son esprit plane sur les présentoirs des meilleures librairies (...), barrés d'un slogan : la décroissance ! » Lire la réponse.

Christophe Barbier, directeur de la rédaction de L'Express, 24 octobre 2007.
« Ensuite, enfin on a parlé de croissance durable !, enfin on en a fini avec le mythe de la décroissance — soyons plus pauvres pour être plus propres — c'est la défaite des partisans de la lampe à l'huile et de la vie dans les grottes. - Et de la marine à voile... ... et la marine à voile, oui. C'est la défaite de certains écologistes qui a fait la victoire d'une certaine écologie, l'écologie de croissance. Au passage, on a vu surgir des idées idiotes, du genre rouler 10km/h moins vite sur les routes... » Voir la vidéo.

Laurent Joffrin, Libération, 5-7-2007.
« L'autre [conception fausse de la mondialisation], minoritaire et utopique, même au sein du mouvement altermondialiste, prône la décroissance et la défiance envers le progrès. Elle débouche sur l'austérité triste et le blocage probable du développement des pays les plus pauvres. »

Brice Couturier journaliste de France Culture : Du Grain à moudre, le 1er févier 2007.
« La décroissance est-ce que ce n'est pas un slogan « d'insider » [de personnes à l'intérieur du système – nous sommes sur France Culture…] ? (…) Ils voudraient bien que les autres consomment moins. Les chinois, les indiens les brésiliens y sont pas tellement candidat à la décroissance. Ils sont très imperméables à vos discours. Est-ce que c'est pas un discours de riches le discours de la décroissance, de repus, et d'ailleurs au niveau même de nos pays occidentaux après tout on conçoit bien que ceux qui sont déjà dans l'emploi, bénéficiant de solides protections sociales souhaitent qu'on en reste là et qu'on décroisse mais ceux qui arrivent sur le marché du travail, les immigrés, vous croyez qu'ils sont venus ici pour parler de décroissance ? » « Il me semble que les vrais « déclinologues » c'est pas ceux qui mettent en cause notre capacité collective de Français et d'Européens à rester dans la course, à rester compétitifs, mais ceux qui appellent à déclarer forfait à prendre acte de notre incapacité à rester, en réalité, dans la course et à mon avis le thème de la décroissance fait parti de cette idéologie qui et en effet une façon de théoriser une incapacité à affronter les défis qui nous sont posé par les nouvelles puissances émergentes, chinoise, indienne, brésilienne et étatsunienne... » « Le thème de la supériorité de l'âme, de la profondeur face au séduction coupable du matérialisme, de l'accroissement sans fin des richesses etc. moi je trouve que c'est un mythe de compensation et je le repère dans un certain nombre de cultures, par exemple dans le romantisme allemand, par exemple dans le panslavisme Russe. Je vous citerai Ivan Kirievski le fondateur de la revue « Ivropiez Europe » qui était un des fondateurs du courant slavophile qui dénonçait déjà au XIXe siècle le monde de profondeur de l'Occident mécanique qui aurait qui aurait compensé par le luxe et l'accumulation de biens matériel sa superficialité, bref c'était une civilisation trompeuse à laquelle la Russie toute en intériorité aurait dû opposer son idéalisme, bref disait Kirievski, la misère russe est spirituellement supérieur à l'Occident repus. Est-ce que c'est pas la fable qui est en train de se jouer aujourd'hui ? »

Guillaume Duval, rédacteur en chef adjoint d'Alternatives économiques
« On assiste à l'émergence d'un discours radical autour de l'idée de "décroissance". Ce discours a déjà un impact important au sein de la mouvance écologique et même au-delà. Pourtant la "décroissance" ne permettrait ni de répondre aux nécessités d'une réorientation écologique de l'économie ni de constituer la base d'un projet politique majoritaire dans un contexte démocratique. Même s'il faut se méfier des raccourcis historiques, on peut se demander si l'on n'est pas en train d'assister sur le terrain écologique à un phénomène analogue à ce qu'avait représenté la montée du bolchevisme sur le terrain social au XXe siècle (...) Des minorités agissantes décidées à faire le bien de l'humanité malgré elle, parviennent à conquérir une hégémonie idéologique autour de projets extrêmement dangereux pour les libertés et le bien-être de l'humanité. »

Le journal Le Monde, chronique de Pierre-Antoine Delhommais, L'obscure lubie des objecteurs de croissance, 29-7-2006.
« …il faut prendre la doctrine de la décroissance pour ce qu'elle est (…) Une lubie de gosses de riches parfaitement égoïstes. Mais cela va généralement ensemble. » Les Objecteurs de croissance « se proclament humanistes, mais ils ne croient pas en l'homme. (…) ils laissent à son sort le milliard d'êtres humains qui vit avec moins de 1 dollar par jour.» « En Chine, le nombre de personnes très pauvres est passé, grâce au boom économique, de 377 millions en 1990 à 173 millions en 2003. Selon certaines simulations, l'extrême pauvreté y sera éradiquée dans quinze ans si le PIB continue à progresser au même rythme. Le scénario catastrophe par excellence pour les objecteurs de croissance. » « Apparemment d'une grande simplicité, le concept de décroissance repose en réalité sur des fondations philosophico-scientifiques complexes, voire obscures. »

Alexandre Adler, éditorialiste au Figaro, Le Figaro, 8-12-2005.
« 1) Le nouveau progressisme est d'abord écologique. Il considère l'avenir même de la Terre comme menacé et prône coûte que coûte le ralentissement de l'actuelle croissance génératrice de catastrophes. A cet égard, il se défie considérablement de la science, des OGM qui empoisonnent les cultures aux nanotechnologies qui pourraient permettre un jour le contrôle du cerveau humain. Contre le réchauffement planétaire, il prône la frugalité franciscaine, évidemment nouvelle. »

Nicolas Sarkozy, président de l'UMP, Convention de l'UMP sur l'environnement, 20-10-2005.
« [la droite] n'a pas pris la mesure des bouleversements sociologiques majeurs créés par l'ampleur et l'internationalisation des inquiétudes environnementales actuelles : (…) la défiance ou le soupçon à l'égard du progrès et du développement, en tout cas au regard de leurs emballements. Les orphelins de la pensée marxiste-léniniste se sont évidemment engouffrés dans la brèche. »

Nathalie Kosciusko-Morizet, députée UMP de l'Essonne et « conseillère écologie », Réforme, 8-3-2007.
« La réponse apportée par les décroissants est rétrograde, radicale et teintée d'idéologie. Il y a dans cette théorie beaucoup de malthusianisme sur lequel on ne peut bâtir aucun projet de société. »

Claude Allègre, ancien ministre de l'éducation du gouvernement Jospin, N'arrêtons pas le progrès, L'Express du 06-4-2006
« Un glissement s'est produit dans les esprits et a conduit à confondre développement industriel et progrès. L'ignorance aidant, on s'est mis à dénoncer le progrès, donc la science. Par glissement, on souhaite non seulement l'arrêt de la croissance, mais certains vont même jusqu'à prôner la décroissance. Et, bien sûr, on lie tout cela à la mondialisation, sans d'ailleurs bien dire comment. Cette ancienne idéologie de gauche qu'était le progrès technique, facteur de progrès social, et l'internationalisme universel, symbole de l'amitié entre les peuples, sont devenus pour les écologistes militants l'archaïsme et le protectionnisme. (...) Le progrès scientifique, aujourd'hui, c'est fixer les conditions d'un développement industriel propre et les modalités d'un équilibre entre l'homme et la nature, sans ralentir pour autant la croissance économique ! Le mouvement antiprogrès et antiscience s'oppose aujourd'hui à l'un des facteurs de croissance: la biologie moderne. Il est à l'origine de la décroissance du nombre d'étudiants en sciences, ce qui préfigure un sombre avenir pour notre pays. »

Jacques Cheminade
« Toute blague à part, il est utile de souligner que le malthusianisme prôné par Décroissance reste complet et entier, bien que son non-dit fasciste se cache sous le masque triste d'une décroissance humainement soutenable. » Derrière le masque de la « décroissance soutenable », un fascisme insoutenable, Solidarité et Progrès, Karel Vereycken, 1-8-2005

Lutte Ouvrière, Paul Galois, Lutte Ouvrière, 23-6-2006
« Marches pour la "décroissance" : Prêcher l'abstinence à ceux qui n'ont rien. »

Mission des agrobiosciences (militant pour les OGM, nanotechnologies, etc.)
« Bien qu'ils s'en défendent aujourd'hui, les adeptes de la décroissance promeuvent bel et bien un monde malthusien »

Jean-Yves Camus, politologue, chercheur associé à l'IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques), France-Culture, 18-2-2006.
« Du côté de Pascal Sevran il y a une idée derrière qui fait son chemin, qui sous-tendait un peu ses propos : c'est celle de la décroissance. C'est celle selon laquelle on est dans une période où finalement il y a trop de monde sur cette planète. Et ça, ce thème de la décroissance, ce thème qui peut déboucher assez facilement sur l'eugénisme, c'est quelque chose qui dépasse de beaucoup les propos de Pascal Sevran. Il y a des revues aujourd'hui qui font l'éloge de la décroissance. »

A&E (Agriculture & environnement)
« Nouveau concept en vogue, la « décroissance » n'a jusqu'à présent suscité l'enthousiasme que de quelques militants et économistes marginaux. Le retour d'une vision catastrophiste du monde, principalement véhiculée par l'écologisme radical, a cependant rouvert le débat sur le productivisme ».

Les verts, Cyril di Méo, conseiller municipal d'Aix-en Provence (droit de réponse envoyé suite à un article)
« Monsieur, Que vous critiquiez la décroissance est votre droit le plus strict, que vous racontiez n'importe quoi l'est tout autant (par exemple : Bruno Clémentin et moi-même sommes les auteurs du dossier « faux amis » figurant en pages centrales du dernier numéro de La Décroissance [28] et qui engage notre journal tout entier). En revanche, que vous me prêtiez des propos calomnieux et diffamatoires à l'exact inverse de tous mes engagements tombe sous le coup de la loi. Ainsi, sur votre « blog », dont on m'a signalé l'existence, vous affirmez que « au nom du refus de l'occidentalisation du monde [je] refuse les écoles, » « justifie[nt] l'excision, » « considère qu'il est culturel de laisser les homos êtres exécutés... » ce qui est dans les trois cas de la calomnie, de la diffamation, tout en étant de la désinformation.
Mon parcours politique n'a jamais laissé la moindre équivoque quant à mon combat contre les thèses de la Nouvelle droite. Ce qui, pour votre information, n'est pas le cas du député européen Vert auquel vous vous référez sur votre « blog » et qui a toujours légitimé sa participation à la revue Krisis de la Nouvelle droite.
Je vous demande de faire figurer, au nom du droit de réponse, le présent courriel sur la page d'ouverture de votre site internet, et en caractères de taille égale à ceux de votre "article", à défaut de cela, j'utiliserai toute voie de droit pour m'opposer à ces contrevérités… » Vincent Cheynet

La Riposte, Analyses marxistes, Greg Oxley, 3- 2004.
« Le gouvernement et le patronat s'attaquent aux retraites, à la sécurité sociale, à la santé, à l'éducation publique. Ils veulent enrayer les conquêtes sociales du passé. Face à cette offensive, la gauche est politiquement désarmée. Les dirigeants socialistes et communistes ont abandonné le programme du socialisme pour embrasser l'« économie de marché ». Cette capitulation a fait le lit de démagogues politiques comme Le Pen. Dans le domaine académique, elle a également facilité la démarche de nombreux charlatans « intellectuels » qui enrobent leur idéologie réactionnaire dans des considérations « écologiques ». Ainsi en est-il des tenants de la « décroissance soutenable ». Ces Messieurs s'en prennent à la science et à la technologie. Sous prétexte que l'industrialisation menace l'équilibre écologique de la planète, ils prônent un retour en arrière. »

Jean-Marie Harribey et Cyril di Méo, économistes, Politis, jeudi 14 septembre.
« La critique de l'« économicisme », l'éloge de la pauvreté et la promotion d'une « sortie de l'économie monétaire » montrent que c'est à la modernité que s'attaquent les décroissants, beaucoup plus qu'au capitalisme réel, notamment celui de la phase néolibérale actuelle. Économie, « économisme », « économicisme », « oxymore de l'économie sociale », les néologismes sont de plus en plus nombreux pour critiquer la domination du développement, de l'économie et du libéralisme. Mais, plus qu'une pensée critique de la forme capitaliste de l'économie moderne, c'est une remise en cause générale de l'économie. L'économie est « essentialisée », « occidentalisée » sur la base d'un anti-marxisme et d'un antilibéralisme primaires. D'une part, les décroissants rejettent une des principales avancées de l'économie politique marxiste : la description de différents modes de production, de consommation et de répartition des richesses, montrant que ces systèmes prennent des formes culturelles et historiques variables. D'autre part, ils attaquent le libéralisme pour ce qu'il a d'« européocentré », d'« occidental », d'« économiciste », notions extrêmement vagues, et non pas pour ce qu'il représente en termes de rapports sociaux. Ils se privent ainsi d'une économie politique réelle au profit de la promotion d'un imaginaire « non-économiciste », et ils passent à côté des destructions modernes impliquées par le capitalisme, notamment la précarisation croissante. La décroissance (...) [est le] refus aveugle de la modernité et de la raison. »

Cliquez ici : Qui sont les artisans de la débâcle économique ?

 
Cet article confirme ce que je vous disais à propos de la fausse crise économique...



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Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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