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Le Défi Vaudois victime de fraude électorale Les résultats des élections au Conseil d'Etat Vaudois démontrent aujourd'hui que les Autorités cantonales ont violé l'Art. 282 CPS (Code Pénal Suisse) et ont falsifié les résultats de l'élection ! Le Conseil d'Etat doit être évincé ! La suspicion a été ressentie dès le lendemain du 1er tour du 9 novembre 2003, où il est apparu que 40 communes dans le Canton comptabilisaient le même nombre de voix pour les deux candidats hors parti. Une plainte a dès lors été déposée le 17 novembre 2003 au sens de l'Art. 117 LEDP pour empêcher toute destruction du matériel électoral et afin qu'une appréciation commune de la situation puisse être faite de manière sereine entre les parties. Le Conseil d'Etat, probablement instigateur de cette fraude électorale, n'en a pas voulu ainsi puisque l'affaire a été jugée par le Grand Conseil Vaudois sans aucune instruction préalable et sans que la Partie plaignante ne puisse même être entendue, en violation flagrante de la procédure judiciaire Art. 189 CPP. Ainsi, le Canton de Vaud démontre qu'il a basculé de l'Etat de Droit, dans un pouvoir totalitaire... La Démocratie n'est plus ! Combattons pour la reconquérir et chassons les tyrans et dictateurs du Pouvoir ! Suite à cette barbarie des Autorités vaudoise, j'ai déposé un recours auprès du Tribunal Fédéral en date du 14 décembre 2003 avec demande de mesures provisionnelles. Le Tribunal Fédéral a rejeté les mesures provisionnelles le 18 janvier 2004, puis finalement le recours selon Arrêt reçu le 13 février 2004. Le Tribunal Fédéral a considéré mon recours comme étant de "Droit public", alors qu'il aurait dû le considérer comme "Pourvoi en nullité". Ainsi, la plus haute instance judiciaire de la Suisse, soit disant démocratique, s'est faite complice d'une Fraude électorale ! Le 22 décembre 2003, j'ai eu confirmation par un courrier du Lecteur de 24 Heures, en l'occurrence par M. Alfred Graf, scrutateur du Conseil communal à Lausanne, que le Conseil d'Etat a effectivement fraudé les résultats de la Ville de Lausanne après que le responsable lui ait transmis les chiffres... Consultez ma réponse au courrier de M. Graf, de même que mon courrier adressé à 24Heures et qui n'a bien évidemment pas été publié jusqu'à ce jour (31.12.2003)... *** Durant toute la campagne électorale, 24 Heures n'a fait que pratiquer la désinformation de ses Lecteurs à l'encontre des candidats du Défi Vaudois. Des plaintes ont été déposées. *** Après avoir informé de nombreuses sources que 24 Heures ne publiait pas mon droit de réponse, ce courrier est enfin paru le 5 janvier 2004 dans le courrier des lecteurs. Pour l'heure et vu la gravité de la situation, c'est la Démocratie Suisse qui est en jeu ! C'est pourquoi il est du DEVOIR DE LA CONFEDERATION, de sanctionner les responsables de cette fraude électorale et je demande au Ministre de la Justice, l'éviction du Conseil d'Etat vaudois et la mise sous tutelle du Canton de Vaud jusqu'au moment où de nouvelles Autorités, responsables de leur Devoir envers le Citoyen, auront été élues. Copie de cette demande est adressée en privé au Conseiller fédéral Christoph Blocher par l'intermédiaire de son épouse et conseillère Mme Silvia Blocher. La statistique officielle (tableau 6.6) de l'Etat de Vaud démontre d'ores et déjà et avant même d'avoir contrôlé les bulletins de vote, qu'il y a eu 3'431 suffrages de plus qu'il n'y a eu d'Electrices et Electeurs... (Décompte des électeurs) Le Ministre Suisse de la Justice Christophe Blocher faisant la sourde oreille et le Tribunal Fédéral ayant commis un Déni de Justice, j'ai été obligé de déposer une demande en révision en date du 14 février 2004. Au 17 octobre 2005, cette demande de révision n'a toujours pas été traitée et démontre un Déni de Justice manifeste ! Le Grand défenseur des petits Citoyens Christophe Blocher ne serait-il finalement qu'un manipulateur dont les belles promesses lui auront permis d'être élu pour mieux défendre ses "co-milliardaire et millionaires" ? Ne pas réagir face à une fraude électorale, le place dès lors dans le clan des politiciens douteux à observer avec attention...!!! | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Récapitulatif des pièces : | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Liste des communes avec des résultats semblables | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 9 communes manquent dans la liste de désinformation citée par 24Heures | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Tableau 6.6 récapitulatif (fraudé) établi par les Autorités | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Tableau officiel (fraudé) des électeurs et décompte des voix | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Tableau des fraudes lausannoises - Chiffres contraires à ceux donnés par le scrutateur M. Graf et attestés par lui | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Tableau officiel (fraudé) des électeurs et décompte des voix | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 22.12.2003 Albert Graf - Scrutateur à Lausanne- courrier du Lecteur | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 22.12.2003 Réponse au courrier du Lecteur de M. Graf | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 19.12.2003 Réponse à Mme Lämmler que je cite dans le courrier Graf | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | Code Pénal Suisse Art. 282 sur la fraude électorale et les votations | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 17.11.2003 Plainte pour fraude électorale et interdiction de détruire matériel de vote | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 09.12.2003 Grand Conseil rejette le recours sans avoir entendu le plaignant et sans aucune instruction, selon les méthodes en vigueur dans les dictatures | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 14.12.2003 Recours au Tribunal fédéral avec demande de mesures provisionnelles d'urgence | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 12.12.2003 Communiqué de Presse di Grand Conseil - Michel Renaud Président nie toute possibilité de fraude | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 18.12.2003 le Tribunal Fédéral rejette les mesures provisionnelles | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 30.12.2003 Plainte pénale auprès du Dépt de Justice et Police à Berne sous la direction de Christoph Blocher - Saura-t-il défendre la démocratie ? | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 05.01.2004 Non confiant en la justice, même fédérale, j'adresse copie de la demande au domicile de M. Blocher par son épouse | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
» | 14.02.2004 Demande en révision de la procédure de fraude électorale | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
Tricheries démocratiques par transparence...RFID...
M. Mühl a fait un faux témoignage par écrit dans notre précédente procédure en affirmant que ces enveloppes jaunes ne sont pas transparentes, ce qui est un mensonge avéré et prouvé et un pur mépris de la réalité que chacun peut vérifier chez soi.
( voir la photographie ci-dessus )
Ces enveloppes jaunes sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. Vu les plus de 40'000 imprimées en plus, plus 15% de maculature...il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d'autres plus "justes".....
M. Marc Etienne Burdet, innocent, est toujours en prison...sur plainte du notaire Monsieur P. M. de Genève, voir plus bas...
Sa demande en grâce n'est toujours pas traitée...
www.burdet.info
Marc-Etienne Burdet
Prison de la Croisée
Cellule 7203
1350 Orbe
www.burdet.info
Orbe, le 6 août 2007
Recommandé
Police de Sûreté
Administration Cantonale
1014 Lausanne
Plainte pénale contre
- M. Pascal DUBUIS, Commerce de Jouets « Le Train Bleu » à Lausanne
- M. Pierre MOTTU, Notaire à Genève-Carouge
- M. Bertrand SAUTEREL, « juge » vaudois
Madame, Monsieur
Lors de ma dernière visite auprès du « juge » d'instruction Yves NICOLET (en fourgon cellulaire – sièges
latéraux, sans ceinture de sécurité, menotté sans possibilité de se tenir et asphyxié par la fumée de cigarette
– 12 détenus dont 10 fumaient, dans un fourgon sans fenêtre et dont l'aérateur ne fonctionnait pas…), suite à
de nouvelles plaintes déposées contre moi, ce dernier m'a confirmé que
le « juge » d'instruction cantonal allait poursuivre sa politique d'instruction à charge à mon
encontre seulement, sans me permettre de faire la preuve de la Vérité ou de la bonne foi.
Voir mon audition du 11.07.2007 dans la cause PE07.006242-YNT page 2).
Cette attitude démontre, non seulement la partialité des « juges » vaudois contre moi, mais aussi leur
appartenance à l'organisation du Crime que je dénonce.
La partialité décrite ci-dessus m'oblige à demander la récusation de la corporation des « juges »
d'instructions vaudois, compte tenu de l'implication du pouvoir judiciaire cantonal dans l'objet de mes
dénonciations. Se référer aussi à la pétition jointe en complément de cette demande de récusation.
Je dénonce M. Pascal DUBUIS pour fausses déclarations en Justice et atteinte à mon honneur.
Je dénonce Pierre MOTTU, « notaire » à Carouge-Genève, pour chantage, incitation d'un inculpé à faux
témoignage, manipulation des faits et des personnes, fausses déclarations en Justice et atteinte à mon
honneur, et tout autre crime en relation avec les faits dénoncés.
La présente plainte est déposée dans le délai de plainte de 3 mois fixé par le CP Art. 29 et est donc
recevable en la forme. Les pièces justificatives seront fournies dès que j'aurai accès à mes dossiers,
compte tenu de mon incarcération.
FAITS :
Lors de la consultation de mon dossier début juin 2007 à l'Etude de mon avocat Me Daniel BRODT,
dans la procédure PE05.031367-BSU, j'ai eu accès à une documentation versée par Me Alec
REYMOND, avocat de Pierre MOTTU, à travers laquelle, j'ai pris connaissance des faits décrits ciaprès.
Il était question d'une procédure pénale engagée par Pierre MOTTU contre Pascal DUBUIS, pour
tentative d'extorsion de fonds (4.5 milliards sauf erreur), assortie de menaces. L'instruction de cette
affaire a été menée par la police de sûreté vaudoise, qui a conclu à la culpabilité de Pascal DUBUIS
après avoir retrouvé les messages de menaces sur son ordinateur.
Transcription du document original manuscrit
Page 2
Les pièces contenues dans le dossier, démontrent qu'au moment de l'inculpation, Pascal DUBUIS ne
me connaissait pas, mais qu'il avait eu connaissance de l'affaire FERRAYE, en janvier 2005, lors du
tapage médiatique lié à la faillite du SERVETTE FC. (Webmaster : audition Dubuis du 14.03.2005)
Au cours des auditions menées par la « juge » d'instruction Carole BARBEY, Pascal DUBUIS a été
« amené » à me connaître en réalité. Les auditions se sont déroulées en partie en présence de Pierre
MOTTU.
Au début, Pascal DUBUIS a été questionné sur le nom de BURDET, relativement à ma candidature à
l'élection complémentaire d'un membre au Conseil d'Etat du Canton de Vaud en 2004, et on sent très
bien dans ses premières réponses (Webmaster : audition du xx) qu'il n'avait aucune idée de qui j'étais et
ignorait jusqu'à mon nom…
Par la suite, MOTTU lui déclare qu'il n'était pas apte à rédiger ces messages de menaces et extorsion
de fonds, et que cette idée venait de moi… A quoi DUBUIS répond timidement par l'affirmative.
(Webmaster : audition Dubuis du 20.05.2005).
MOTTU va plus loin, il incite Pascal DUBUIS à lui déclarer qu'il avait reçu lui-même des menaces de
ma part, pour qu'il les transmette à MOTTU, sous peine de représailles. (Webm. : audition du 11.10.2006).
MOTTU est allé jusqu'à donner à Pascal DUBUIS, l'adresse eMail d'où j'étais censé avoir transmis cette
demande à DUBUIS, mais malheureusement pour le « notaire » si honnête et irréprochable comme l'a
décrit le « président » Bertrand SAUTEREL, je n'étais pas encore détenteur de l'adresse
eMail en question… au moment des faits !!! (Webmaster. : audition Burdet du 20.05.2005)
Au fur et à mesure des auditions, Pascal DUBUIS finit par affirmer qu'il me connaît, et que je l'ai obligé à
agir à l'encontre de MOTTU.
On voit même dans une des auditions (Webmaster : audition du xx) que Pierre MOTTU avait conditionné le
retrait de sa plainte contre DUBUIS, à ces fausses déclarations de sa part.
Je détiens toutes les preuves de ce que je déclare ici (Webmaster : liens en bleu dans cette transcription) et les
fournirai dès que j'y aurai accès. Me BRODT peut éventuellement vous les remettre au besoin. Mais la
machination de l'honnête et honorable « notaire » MOTTU ne s'arrête pas là…
Durant mon procès de juin 2007, grâce aux pièces versées au dossier par MOTTU, son complice le
« président » SAUTEREL m'a imputé les menaces proférées par DUBUIS contre MOTTU !
C'est ainsi qu'ont été exposées les conséquences de ces menaces (voiture soi-disant piégée, etc.)
comme si j'en avais été l'auteur, alors qu'au moment des faits, j'en ignorais tout.
Le « président » SAUTEREL n'a pas pu être dupe : les faits contenus dans le dossier sont beaucoup
trop clairs ! Il s'agit de sa part d'une volonté délibérée de me nuire et de complicité avec l'organisation
du Crime à laquelle appartient MOTTU et que je dénonce.
Compte tenu de la gravité des faits commis par des individus investis de fonctions publiques, il y a lieu
de procéder à la mise à pied immédiate de ces Criminels, ainsi que procéder à leur arrestation
préventive pour les empêcher de nuire à l'intérêt public.
C'est par suite de leur participation à une organisation du Crime et pour couvrir leurs actes abjects que
je me trouve actuellement incarcéré, ce qui conduit à un retard considérable dans la résolution de
l'escroquerie FERRAYE, où mes intérêts personnels sont aussi en jeu, comme vous le constaterez par
la copie ci-jointe du mandat qui me lie à Joseph FERRAYE.
Telles sont les raisons pour lesquelles je me porte Partie Civile contre Pierre MOTTU, Bertrand
SAUTEREL et Pascal DUBUIS, mais aussi contre les Etats de Vaud et de Genève, si des mesures ne
sont pas prises immédiatement contre ces Criminels et pour ma libération immédiate.
Page 3
Afin d'estimer l'envergure de cette responsabilité qui pourrait retomber sur le Contribuable, si la
corruption se poursuit au sein de l'Etat, prenez acte du coût pour le Contribuable, par tranche de
100 milliards de Francs et par mois, sachant qu'il y a déjà un mois à ce jour, que j'ai été privé de liberté :
(Webmaster : $ 100 milliards correspondants aux coûts versés par le KOWEIT pour l'extinction des 1'164 puits en 1991. Il
n'est donc pas tenu compte de la vente des brevets à tous les pays pétroliers après la 1ère guerre du Golfe – 120'000 puits
étaient en exploitations à ce moment-là.)
C'est donc, à 5 % de retard par an, et sans compter les dommages et intérêts sur les détournements,
CHF 416,6 millions d'intérêts de retard par mois que l'Etat pourrait avoir à assumer par tranche de
100 milliards escroqués…
Cependant, je suis prêt à renoncer de mon vivant à toutes poursuite contre l'Etat, moyennant les
conditions susmentionnées – clause qui tombera impérativement à mon décès.
Je reste à votre disposition et vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l'expression de mes
sentiments les meilleurs.
Marc-Etienne Burdet
100'000'000'000 * 5 * 1
100 * 12 = 416,6 mio / mois
Appendice 1
Il n'est pas difficile de comprendre la complicité du notaire Pierre MOTTU, des autres membres du
complot et finalement des pouvoirs judiciaires et politiques quand l'ont prend consciences des raisons
pour lesquelles les deux trains de CONVENTIONS ont été rédigés.
Le seul fait que ces conventions aient été établies, démontre la volonté des individus précités, à
vouloir escroquer Joseph FERRAYE et détourner les royalties dues sur ses brevets.
Récapitulons brièvement les faits :
1. Joseph FERRAYE dépose ses brevets et veut les commercialiser immédiatement à la suite des
incendies au KOWEIT.
2. N'étant pas un commercial, il s'associe les services de Christian BASANO – François
COLONNA et Etienne TILLIE, ainsi que de 2 mandataires Victor GEBRANE et Serge
REBOURS. Fouad HOBEICH sera rattaché plus tard, par Pierre MOTTU, en trompant Joseph
FERRAYE.
3. Ces 6 personnes, associés et mandataires, en complicité avec le gouvernement français, sur
l'initiative de Dominique STRAUSS-KAHN, du Président et du Premier Ministre, mais d'autres
Ministres responsables aussi, décident de spolier Joseph FERRAYE et non seulement de
détourner les royalties de 100 milliards de dollars payés pour l'extinction des puits au KOWEIT,
mais aussi de vendre ces procédés à leur propre profit, à tous les Pays pétroliers.
4. C'est ainsi que des sommes colossales ont été détournées sur des comptes en Europe et
notamment en Suisse, comme l'a déclaré Me ST-HILAIRE lors de son audition à mon procès,
selon page 11 du jugement. Dans son audition du 19 novembre 2002, il confirme même qu'il a
présenté les comptes aux escrocs, en présence de MOTTU et BRUPPACHER.
5. Sur plainte du 29 janvier 1996 des avocats de FERRAYE, Marc BONNANT et Dominique
WARLUZEL, l'ensemble des fonds ont été saisis et séquestrés et les 6 associés et mandataires
de l'inventeur auraient dû être arrêtés et emprisonnés.
6. Tel n'a pas été le cas ! Mais pour rester libre, ils ont dû signer deux trains de conventions, par
lesquels ils cédaient leurs comptes, sur lesquels ils avaient détourné l'argent de Joseph
FERRAYE, au profit d'une Société offshore nommée WILDROSE censée rapatrier les fonds
escroqués en faveur de l'Inventeur.
Jean-Marie GHISLAIN était administrateur de WILDROSE et détenait tous les pouvoirs sur cette
Société, sans que FERRAYE n'ait à intervenir. C'est ainsi qu'au travers de WILDROSE, tous les
fonds repris aux 6 associés et mandataires, ont été partagés entre les membres du complot,
MOTTU, BONNANT, WARLUZEL, Membres du Gouvernement français etc., contre le SILENCE
DES ESCROCS ESCROQUES (Les 6 associés et mandataires).
En cas de refus de leur part, ces 6 escrocs (associés et mandataires) auraient été immédiatement
incarcérés et accusés d'escroquerie, poursuivis et jetés en prison. De toute manière, ils
n'auraient jamais pu toucher à nouveau les fonds qui leur avaient été subtilisés. Tout comme
l'arroseur arrosé, ils étaient devenus les Escrocs escroqués…
7. A ce jour, les 6 escrocs précités jouissent toujours de leur LIBERTÉ… Ceci suffit à
démontrer la complicité des « pouvoirs judiciaires » dans ce CRIME ! En fait les « pouvoirs
judiciaires » sont une ORGANISATION du CRIME en soit, protégée par le pouvoir politique qui
sait se faire rétribuer pour sa complicité par de nombreux mandats dans les Conseils d'administration
des sociétés de blanchiment… !
Je reste à votre disposition et vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l'expression de mes sentiments les meilleurs.
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