mardi 15 décembre 2009

Copenhague, trop d' impôts.

Et maintenant des taxes mondiales, pour des incompétents menteurs et voleurs.


http://versdemain.org/images/DelugedeTaxes.gif

http://versdemain.org/images/Veau_d_Or.gif


Toujours plus d'impôts.

http://versdemain.org/images/Mort_aux_Taxes.gif

COPENHAGUE (ru 15.12.2009) :


Pendant que les politiciens et autres NGO s'agitent pour débloquer des milliards d'Eurodollars pour « réduire le climat de 2 degrés  pour éviter l'effet de serre sur la terre », en se prenant pour Dieu, les scientifiques sont déjà une étape plus loin: « l'effet de serre » n'est qu'un hoax qui arrange bien les mondialistes néo-soviétiques.


Ainsi on peut lire depuis le 16 septembre 2009 sur la page Web de la BBC un article intitulé « Une vérite dérangeante sur le réchauffement global», et depuis le 9 octobre 2009 un autre article intitulé « Qu'est-ce qui est arrivé au réchauffement global ? », écrits l'un par Tom Feilden, et l'autre par Paul Hudson, rédacteurs scientifiques de la BBC.


On y apprend que depuis 11 ans on n'a plus constaté de montée de température, tout en observant qu'en même temps les valeurs de CO2 ont augmenté. On y discute l'influence du cycle des tâches solaires et des températures des océans. Ce dernier fait apparaître une phase de refroidissement de 30 années.


Des scientifiques, tels le professeur Mojib Latif (Institut Leibniz des sciences marines de l'université Kiel/RFA, membre du IPCC = Intergovernmental Panel of Climate Change), prédisent pour les 10 à 20 ans à venir des températures en constante diminution.


Mais à Copenhague on discute encore de l'effet de serre dû à l'Ozone et au CO2. Ils sont plus de 10 ans en arrière !


C'est logique, car leur visée est tout sauf écologique, elle est totalitaire.


http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758


Scandales bancaires, ordures, pollution, dioxines, un lien subtil à bien comprendre, cliquez svp...

Le paradoxe. Un manque de pouvoir d'achat provoque plus de pollutions, vu des produits de plus en plus camelotes.

Résumé:


Le bon marché camelote est toujours trop cher, et en plus il pollue à la fabrication, au transport, à l'usage et à sa destruction.

La Chine par exemple est utilisée par de grands industriels pour des profits devenus honteux vu les pollutions incroyables, de plus en plus graves et constantes dans une croissance devenue folle et aveugle. Les habitants risquent de graves maladies, par exemple par les dioxines et les PM1, les nano particules qui s'infiltrent partout, y compris dans le cerveau...


Démographie : la chute a commencé


Courbe sans tenir compte d'une pandémie.
par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement en dessous de 2 ) qui sont à la baisse.
[Europe-hiver.jpg]
La chute commence déjà dans les pays "riches" et en Russie...
Tout peut s'effondrer très vite...en quelques mois...

La seule solution:


http://www.union-ch.com/file/Speeches_and_workshops_of_the_03_04_.pdf

Nous sommes en 1750. Les États-Unis d'Amérique n'existent pas encore; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la «Nouvelle-Angleterre», possession de la mère-patrie, l'Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps: «Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe.» Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie:

«C'est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons Colonial Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons aucun intérêt à payer à personne.»

En 1861, alors que les ressources (financière) du pays semblaient épuisés, alors que le dernier dollars était dépensé, il fut trouvé que le volume de la monnaie national était inadéquat. C'était pendant la guerre de sécession. Les ressources physiques ne manquaient pas, les munitions, les armes, la nourriture, les transports, etc. En fait, tout ce qui manquaient, c'était l'argent. Un comité, constitué de E.G. Spaulding et Erastus Corning de New York et de Samuel Hooper du Massachusetts, fut formé pour étudier la question. Il y fut conçu l'idée d'« appliquer les ressources de la nation au besoins de la nation. »

L'histoire de la monnaie démontrait qu'un moyen d'échange pouvait consister en certificats d'endettement, autant de la nation que des individus ou corporations. De plus, la constitution autorisait le Congrès d'émettre la monnaie et d'en régulariser la valeur. Il est a mentionner ici que cette clause est toujours valide (article 1 de la constitution). De cela, Lincoln émit le « Greenback » en quantité suffisante pour les besoins de la nation.

C'est ainsi que Abraham Lincoln réussi à financer ses troupes et à gagner la guerre. Il fut mentionner à cette époque « une ère de prospérité tel qu'on en avait encore connu aux États-Unis. »

Le 4 juin 1963, John F. Kennedy, Président des États-Unis, signe l'Ordre Exécutif 11110. Cet Ordre donne au président le pouvoir d'émettre la monnaie du pays sans dette ni intérêt. Le Congres émit 4 milliards d'« United States Note » (Monnaie des États-Unis).

De l'autre côté de l'atlantique, sur l'île de Guernsey, depuis 1816, ils émettent leur propre monnaie sans dette ni intérêt; résultat : presque pas de taxes, inflation presque inexistante.

Les exemples ci-haut démontrent que les gouvernements sont en mesure d'émettre la monnaie du pays sans dette ni intérêt pour le bien de la communauté. Malheureusement, par manipulation, menaces ou corruption, ils ont cédé ce pouvoir aux banques privés, de là résultent les crises économiques.

Il est à noter que les systèmes de monnaie local ne date pas d'hier; le Wir en Suisse (http://wir.ch) fondé en 1934 est la meilleur exemple car toujours fonctionnel.

Vous êtes vous déjà demandé pourquoi les gens placent leur argent en Suisse? Ce n'est pas pour la « confidentialité » mais plutôt pour le fait que l'inflation y est très basse. Pourquoi? Parce que les taux d'intérêts y sont aussi très bas. Et pourquoi? Étant donné que le Wir est reconnu au niveau national, les banques privés ne peuvent monter leurs taux d'intérêts sinon les emprunteurs iront tous vers la monnaie local.

Voici où réside le pouvoir d'un peuple bien informé sur la question monétaire.

Étant donné que nos gouvernants, pour quelques raisons que ce soient, ne reprennent pas, pour le bien de la population, le pouvoir de la création de l'argent, nous, citoyens, vrai décideur de notre nation, avons pris la décision d'émettre notre propre crédit sans dette ni intérêt. Le but n'étant pas de confronter l'autorité mais plutôt de l'aider à prendre les bonnes décisions en étant nous même bien informé de la situation économique.


À propager


Krach mondial et stock de vivres, une solution suisse. Texte de la motion au Conseil National du 19 mars 2008.

http://www.michaeljournal.org/images/Gouvernements-Vautour.gif
http://www.michaeljournal.org/images/Gros_Banquier.gif

Conseil national
08.3194
Motion von Siebenthal
Garantir l'approvisionnement de la population suisse
 par la politique agricole 2015

Texte de la motion au Conseil National du 19 mars 2008,

Gouverner, c'est prévoir.

Le Conseil fédéral est chargé, dans le cadre de la politique agricole 2015, d'accorder
une importance primordiale au taux d'auto-approvisionnement net, et de proposer
des mesures qui permettront d'atteindre un taux d'auto-approvisionnement de 60%
au moins.
Cosignataires:  63 conseillers nationaux
Aebi, Aeschbacher, Amstutz, Baader Caspar, Baettig, Baumann, Bigger, Binder, Borer,
Bortoluzzi, Bourgeois, Brunner, Daguet, Donzé, Dunant, Estermann, Favre Laurent,
Flückiger, Freysinger, Frösch, Föhn, Füglistaller, Gadient, Geissbühler, Genner,
Giezendanner, Glauser, Glur, Graber Jean-Pierre, Grin, Haller, Hassler, Heer, Hurter
Thomas, Hutter Jasmin, Joder, Kaufmann, Killer, Kunz, Maurer, Miesch, Moser,
Mörgeli, Müller Thomas, Müri, Perrin, Pfister Theophil, Reimann Lukas, Reymond,
Rickli Natalie, Rime, Rutschmann, Schenk Simon, Scherer, Schibli, Schwander,
Stahl, Stamm, Waber, Wandfluh, Weibel, Zuppiger, von Rotz (63)
Développement
Le taux d'auto-approvisionnement de notre pays est tombé à quelque 55% et
chuterait vertigineusement en cas de conclusion d'un accord de libre-échange
agricole avec l'UE. De nombreux autres Etats européens affichent en revanche un
taux d'auto-approvisionnement supérieur à 100%. Le faible taux de la Suisse est
préoccupant et ne permet plus à l'agriculture de remplir son mandat constitutionnel,
qui est d'assurer l'approvisionnement de la population en denrées alimentaires en
cas de pénurie d'importations (art. 104 Cst.). Dès lors, en situation
d'approvisionnement normale, il convient de garantir à tout prix une production
écologique indigène de denrées alimentaires, de manière à éviter tout goulet
d'étranglement et toute mise en péril de notre indépendance.
Avis du Conseil fédéral
En ce qui concerne la question de la sécurité de l'approvisionnement et du taux d'autosuffisance,
le Conseil fédéral y a déjà répondu dans le cadre de la Motion Schibli
du 20 décembre 2006 (06.3880: Promouvoir la production nationale de denrées alimentaires).
En substance, il constate que
- le taux d'autosuffisance (TAS) se monte à 59% (2004-2006);
- la Suisse a connu des TAS moins élevés (voir annexe);
- la Suisse a connu un taux semblable en 1950 pour une population nettement
moins importante (4,7 mios contre 7,5 mios aujourd'hui, soit +60%);
- la consommation actuelle dépasse les besoins énergétiques de la population
(voir annexe);
- 2 -
- les pays qui affichent un TAS plus élevé disposent d'une surface agricole disponible
par habitant plus élevée (Suisse: 0,14 ha, Allemagne: 0,21 ha; Italie:
0,23 ha; Autriche: 0,4 ha et France: 0,45 ha);
- les pays qui affichent un TAS plus bas, comme le Japon (40%) ou la Norvège
(50%) disposent d'une surface agricole disponible par habitant moins importante;
- certaines contraintes écologiques limitent un accroissement supplémentaire
de la production agricole. En comparaison avec les pays voisins, les terres
suisses sont exploitées de manière intensive. Seule une utilisation raisonnable
du sol permettra d'assurer une production durable à long terme;
- dans les pays développés au pouvoir d'achat élevé, le TAS n'est pas l'unique
garant de la sécurité alimentaire, l'approvisionnement devant aussi être assuré
par le biais des échanges commerciaux internationaux et la gestion des
stocks;
- les réformes agricoles en cours permettront d'assurer le mandat constitutionnel
à l'avenir.
La sécurité de l'approvisionnement est garantie à l'avenir aussi, même en cas
d'ouverture totale du marché vis-à-vis de l'UE. Toutefois, il faut probablement
s'attendre à des changements dans la production. Les premières modélisations
montrent que la production végétale connaîtra un léger recul, alors que la production
animale augmentera, notamment la production de lait. Selon ces calculs provisoires,
les calories produites diminueront dans l'ensemble de 4%. En fonction de l'évolution
de la demande interne, il en résultera une diminution du taux d'autosuffisance (TAS)
de quelques pour cent. Le TAS net (production sans fourrages importés) connaîtra
une baisse un peu plus forte. Pour ce qui est de la sécurité de l'approvisionnement, il
importe de maintenir, en premier lieu, le potentiel de production et, en second lieu,
l'exploitation de la surface agricole utile, dans toutes les régions de la Suisse. Une
économie agricole orientée vers le marché garantit la mise à disposition des moyens
de production correspondants et le maintien des infrastructures, du savoir-faire et
des entreprises de transformation. Ainsi, un approvisionnement suffisant de la population
peut être garanti en situation de crise. Le plan sectoriel des surfaces d'assolement
(SDA) de la Confédération, qui exige des cantons la sauvegarde d'une surface
minimale de bonnes terres agricoles, joue un rôle important en la matière.
En conclusion, le Conseil fédéral est d'avis que la sécurité de l'approvisionnement
est garantie à moyen terme. Les réformes agricoles en cours permettront d'assurer
l'accomplissement du mandat constitutionnel à l'avenir, également en cas de conclusion
d'un accord de libre-échange agroalimentaire avec l'UE. Dans ce cas, on assistera
à une spécialisation en faveur des productions à haute valeur ajoutée sans réduction
de la surface agricole exploitée. En tout état de cause, la Suisse conservera
une politique agricole autonome; en cas de besoin, il sera possible d'augmenter la
production alimentaire indigène, en réallouant notamment davantage de terres agricoles
aux grandes cultures.
Proposition du Conseil fédéral
Le Conseil fédéral propose de rejeter la motion.
- 3 -
Annexe 1
Evolution du taux d'autosuffisance en Suisse (1908 à 2005), en part de calories (%)
1908-1912 53.1
1934-1936 52.2
1943-1945 70.5
1946-1955 55.7
1979-1981 65.5
2003 56.4
2004 60.2
2005 59.0
2006 57.0
∅ 2004-06 58.7
Sources: Die Schweizerische Landwirtschaft 1914 bis 1980, Hans Brugger, Verlag Huber Frauenfeld,
1985; 6ème Rapport agricole; 7ème Rapport agricole; Message PA 2011; 2005: Estimation OFAG
Le TAS actuel se réfère à une consommation quotidienne moyenne par habitant de
3363 calories, ce qui est largement supérieur à nos besoins énergiques (max. 2500
pour un homme et 2000 pour une femme ayant une activité assise, et max. 3600
resp. 2900 en cas de travail physique astreignant).
L'évolution du TAS après la 2ème guerre mondiale est l'expression d'une augmentation
considérable de la production agricole, la population ayant augmenté de 60%
entre 1950 et 2004, passant de 4.7 à 7.5 millions et le TAS se stabilisant à près de
60%. Au début des années 80, il dépassait même 65%; c'est d'ailleurs à cette époque
que la Confédération a dû prendre des mesures afin de limiter les surplus de
production animale (contingentement laitier; limitation de la production de viande et
d'oeufs; moratoire des constructions).

http://www.michaeljournal.org/images/SingesetHommes.gif

La paix en soi, autour de soi , entre les peuples et avec la nature, grâce à une action commune qui peut se faire partout dans le monde.

Une création de monnaie locale, cantonale, communale ou nationale en Sfr par la BNS ou alternative et libre en Wfr par le Wir.

www.wir.ch :

Toutes les autres « recettes » ont échoué, nous proposons une solution qui fonctionne  en Suisse et qui a contribué à rendre ce pays l'un des plus riches du monde.

 

 

Principes suisses :

La Suisse est un des seuls pays qui redistribue les profits de sa banque centrale, pourquoi ?

Parce que sa constitution commence encore avec une invocation divine:

La constitution Suisse a toujours été rédigée Au nom de Dieu Tout-Puissant, Im Namen Gottes des Allmächtigen, In nome di Dio Onnipotente, En num da Dieu il tutpussent ! Elle reprend le début du pacte fédéral  : In nomine Domini.
        Elle a été acceptée en votation populaire du 18 avril 1999, très probablement par tricheries électorales, notamment dans les cantons de Vaud, Lucerne et du Tessin, pour faire passer en cachette des articles honteux...

http://www.lexilogos.com/declaration/suisse_pacte_tableau.htm

  1. Il existe un capital privé et un capital appartenant à tout le monde, l'allmend territorial par exemple, les régies fédérales, cantonales, communales...contrôlés par des corps intermédiaires et sous le vrai principe de subsidiarité.

  2. Les produits communs sont distribués selon une juste clé mutuellement définie (contrats de consortage, d'alpage, de fermages, baisses de prix, PTT, Swisscom, profits en milliards de la Banque Nationale Suisse, contrairement à la FED ou à la BCE qui restent en mains privées (sic…).

  3. Les conflits sont réglés localement par arbitrage, sans juges étrangers…La bonne foi personnelle et la sécurité des contrats prime.

  4. La notion des 7 sabbats festifs, des 7 jours (dimanche), des 7 semaines (vacances scolaires), des 7 mois (vacances patates), des 7 années ( année sabbatique et remise des dettes), des 3 fois 7 ans ( fête des vignerons) et des 7 fois 7 années ( 49 ans, Jubilé des 50 années avec remise des dettes et surtout hypothèque divine sur les propriétés agricoles et leur retour aux familles endettées, ou 10 lustres) et celui des 7 siècles après la mort et la résurrection de NSJC ( St Gall en Suisse, 732 Poitiers; 1432, St Nicolas de Flüe en Suisse, fin de la guerre de 100 ans, 2132 ?) est plus ou moins respecté en Suisse, à notre connaissance, le mieux au monde, surtout par les péréquations confédérales et les redistributions locales ( autonomie communale, Banque Nationale Suisse qui redistribue tous les profits de l'or après 50 ans, assurances mutuelles, banques cantonales, locales, Raiffeisen, Wir…).

  5. Il est indispensable de définir socialement ces remises à zéro périodiques ( 7 périodes) des compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt pour 1'000 ans, mais qui a oublié la remise en cause des propriétés, au moins tous les 50 ans...

  6. Il existe un système de création monétaire local communal ou cantonal ou fédéral sans taux d'intérêt (monnaies locales, cantonales, création par les crédits des banques cantonales et système wir)

  7. La recherche de la paix prime, par convention collective. Les péchés publics, selon St Nicolas de Flüe, provoquent les guerres, en fomentant le vice dans les coeurs des confédérés, et sont donc à dénoncer publiquement. La paix est à ce prix...

Faiblesses suisses et internationales :

La monnaie est un bien commun, il est incroyable que les banquiers gagnent plus de US $­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ 15'000.- par heure...ou 18'000 $­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ ou même plus par bonus...?

Solutions pratiques rapides et immédiates (Vix, à peine...) :

Pourquoi ce lien entre Jubilé et "justice sociale" ? La réponse se trouve dans l'Ancien Testament, au chapitre 25 du livre du Lévitique. Nous y lisons que Dieu invite son peuple à célébrer, tous les 50 ans, une " année sainte"au cours de laquelle il doit libérer les esclaves, remettre les dettes, permettre à chacun de retrouver sa terre. Car il est impossible d'honorer Dieu sans rendre à chacun de ses fils leur dignité, sans restaurer entre les humains des relations justes. Le système actuel fait exactement le contraire, ce qui provoque notamment les hausses infernales de prix, de taxes, d'impôts, de primes...et les guerres, conflits...

Le pire vol, celui de la création monétaire par des banquiers sans scupules...Un autre forme d'usure dévorante...qui tue les plus faibles, par millions...

L'encyclique Vix pervenit doit être mise en pratique, avec en plus une remise en vigueur de toutes les régles jubilaires, ce qui manque dans le texte original, y compris sur les propriétés, qui ne sont qu'en gérance sous le regard de Dieu, et non des idoles absolues...:

Le mot jubilé vient du latin jubilæus (de jubilare, « se réjouir »), traduction par Jérôme de Stridon de l' hébreu yôbel qui désigne un cor en corne de chèvre. Dans la Bible, ce cor est utilisé pour annoncer le début d'une année spéciale qui a lieu tous les cinquante ans. Cette année-là, les terres devaient être redistribuées de façon équitable et les esclaves libérés. Le Lévitique (25:8–11) déclare ainsi :

« Tu compteras sept semaines d'années, sept fois sept ans, c'est-à-dire le temps de sept semaines d'années, quarante-neuf ans. Le septième mois, le dixième jour du mois tu feras retentir l'appel de la trompe ; le jour des Expiations vous sonnerez de la trompe dans tout le pays. Vous déclarerez sainte cette cinquantième année et proclamerez l'affranchissement de tous les habitants du pays. Ce sera pour vous un jubilé : chacun de vous rentrera dans son patrimoine, chacun de vous retournera dans son clan.  »

articles.php?lng=fr&pg=337

 

Texte en français pages 18 et 19 http://www.michaeljournal.org/maijuinjuillet2005.pdf

 

Projet d'initiative fédérale:
 
I. L'Etat doit reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit en faveur des familles. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

IV. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus.

Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux "jouets" utilisés par certaines forces obscures. Pour une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont les parasites de l'économie, de la justice et de la politique. Ce sont elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les guerres...
 

Texte en français pages 18 et 19 http://www.michaeljournal.org/maijuinjuillet2005.pdf

Exemple de Consortage des Jeurs

 

Les Jeurs/Trient 11, 12, 13, 3 (3-4) et 9

Remise de la dîme de Tête Noire par le prieur de Martigny, Dom Pierre de Villar, à Perret Troléroz des Jeurs.

1391, 1er avril. —Martigny-la-Ville, prieuré de Martigny, in domo prioratus Martigniaci

Dom Pierre de Villar, prieur de Martigny, remet à cens perpétuel à Perret Troléroz des Jeurs de Martigny, la dîme dite « la Novelle » de Tête-Noire avec ses prémices et tout ce qui croit ou naît sur champs, prés et autres terrains depuis la ferrière de Trient jusqu´à la seigneurie du prieuré de Chamonix d´une part, et à celle de l´abbaye de Saint-Maurice d´Agaune d´autre part, cela à raison de vingt-quatre sous mauriçois de cens en rente annuelle et d´un denier mauriçois de service, payables annuellement à la Toussaint, et de deux deniers de plait au changement du seigneur. Sont témoins dom Jacques, prieur en Liens, le donzel Aymon, vidame de Martigny, Aymon du Cernieux, Pierre Mouton de Martigny. L´acte est reçu parJean Gottraux de Martigny, clerc-notaire, et approuvé par le prév&ocirct et le chapitre du Mont-Joux (le Grand Saint- Bernard) le 8 avril 1391.

A. Original sur parchemin, avec deux sceux pendants sur queues de parchemin, l´un de cire verte, l´autre de cire blanche. Au dos, écriture du XVIIIe siècle « Acte original de l´accord entre le Révérend Prieur Villar de Martigny et ses paroissiens des Jeurs rière le ressort de Tête Noire du 1 avril 1391, dont il existe copie sur parchemin légale sous le N°2 ». Date « 1391 » au verso. Cote A.C. Sion « DC. 49 ». Les Jeurs/Trient 11.

B. Copie de A sur parchemin, collationnée par Claude Piamont, Jean Abbet et Michel Piamont le 30 décembre 1607, à la demande de Jean Cretton, ressortissant de la paroisse de Martigny et habitant des Jeurs (« Praescripta instrumenti cessione et corroboratione copia, ad instantiam et sollicitationem Joannis Cretton tenoris parrochie Martigniaci excusatorio et de nomine sominum pagi Jorrarum, fuit per me Claudium Piamont notarius civem Sedunensem et Martigniaci curialem, ex suo proprio originali instrumento, duplici sigillo nimirum praepositi Montis Jovis et venerabilis capituli eiusdem divorum Nycolai et Reonardi fulcito, extracta et derumpta virtuter commissionis mihi specialiter per Reverendum dominum nostrum dominum Adrianum a Riedmatten, Dei gratia Sedunensi episcopum, largitae et concessae, ac manu et virii Joannis de Triono noti civis Sedunensis de anno Domini millesimo sextentesimo septimo et die penultima mensis decembris decepte et subsignatae. Quae copia ab inde vigore dictae commissionis fuit per nos notarios subnominatos debite cum suo vero pergameneo originali appensione dictorum duorum sigillorum fulcito et confirmato collationata. In quo originali licet nonnulla verba, propter vetustatem, viddantur obscura et lectu difficilia, nihilominus tamen adhibita accuratissima inspectione comperrimis, presentem copiam cum suo presenti originali in omnibus suis punctis et clausulis concordare et conformem esse, nihil addito nec remoto, quod verba ipsa nedum substantiam facti mutet. In cuius rei fidem et veritatis testimonium solitis nostri tabellionatus insignies nos sic subscripsimus et ut decet subsignavimus. Claudius Piamont, notarius publicus. Ita est Joannes Abbetus notarius. Ita est Michael Piamont notarius »). Au dos, écriture du XVIIIe siècle, « Copie ? N°3. L´acte de la dîme ditte novele sur Tête Noire pour les prémises et naissances par accord entre le Révérend prieur du Lems et ceux des Jeurs le 1er d´avril 1391, et sanctionné par le vénérable chapitre du Grand Saint-Bernard ». Cote ancienne « DC. 49 bis » au verso, de la même écriture que l´analyse au verso. 302x305 mm. Cote A.C. Sion « D.C. 49 bis ». Les Jeurs/Trient 12.

C. Copie de A, sur parchemin, collationnée le 3 juillet 1760 à Martigny par Jean Joseph Ganioz et Pierre Gard, notaires ; cf. au bas de la copie, « Nos subsignati notarii fidem facimus praesentem copiam esse descriptam a suo vero et proprio originali sano et integro signetoque supradesignato munito quod vidimus, palpavimus et perlegimus et cui hanc copiam praevia assidua collatione per nos facta conformem esse testamur ; in cuius rei fidem subscrimur die tertia mensis jullii anni millesimi septingentesimi sexagesimi in villa Martigniaci » et signatures « Johannes Josephus Ganioz notarius » et « Petrus Gard notarius publicus ». Cote A.C. Sion « D.C. 49 ter ». Les Jeurs/Trient 13.

D. Copie de A, XVIIIe siècle, ff. 4-4v d´un cahier de 4 folios de papier contenant : 1° la copie d´un acte du 19 septembre 1380. 2° Celle d´un acte du 22 juillet 1381. 3° Celle d´un acte du 6 juillet 1390. 4° Celle du présent acte du 1er avril 1391, indiction 14. Cote A.C. Sion « C. 3 ». Les Jeurs/Trient 3 (3-4).

E. Copie, XVIIIe siècle, sur papier. Les Jeurs/Trient 9.

In nomine Domini, amen. Anno eiusdem millesimo CCCo nonagesimo primo, indictione XIIIIa, die prima mensis aprilis, in domo prioratus Martigniaci, coram me notario et testibus infra scriptis propter hoc specialiter et personaliter constituti dominus Petrus de Villar, prior prioratus Martigniaci ex una parte, et Perretus Troleroz de Joriis Martigniaci ex altera. Prefatus vero dominus prior, considerans et attendens profigium et utilitatem dicti prioratus, tradidit et dimisit seu ad censam perpetuam concessit pro se et successoribus suis dicto Perreto presenti stipulanti et solempniter recipienti pro se et suis heredibus et quibus dare ad censare seu dimittere voluerit in futuro decimam dictam novely de Testaz neyry cum primitiis et nascentibus que quocumque modo accipiuntur seu nomine dicti domini prioris vel prioratus predicti levari debeant tam in campis quam in pratis vel in aliis quibuscumque rebus terris vel possessionibus prout consuetum est predictam accipere et levare a ferreria de Triens usque ad dominium prioratus de Chamonix ex una parte et usque ad dominium abbatis Sancti Mauritii Agaunensis ex altera, et hoc pro viginti quattuor solidis maurisiensibus reddittus sive cense per annum et uno denario maurisiense servitii solvendis et reddendis per dictum Perretum Troleroz et suos heredes dicto domino priori successoribusque suis seu etiam prioratui supradicto annis singulis perpetue in festo omnium sanctorum persolvendis, cum duobus denariis placiti in mutatione domini et tenentis ; premissa promiserunt dicte partes videlicet dictus dominus prior pro se et successoribus suis juramento suo ad sancta Dei evangelia corporaliter prestito et sub obligatione omnium bonorum suorum quorumcumque presentium et futurorum dictam decimam cum primitiis et nascentibus supradictis, dicto Perreto et suis perpetue manutenere et firmiter guarentire nec contra facere sed ea grata et firma habere perpetue et inviolabiliter observare ac omnia et singula suprascripta facere, laudare et ratifficare realiter cum effectu pro suo posse dicto Perreto Troleroz per venerabilem dominum prepositum et capitulum suum montis Jovis et hoc in priori (sic) capitulo per dictos dominum prepositum et fratres ordinis Montis Jovis ut moris est celebraturo missionibus tamen dicti domini prioris et successorum suorum pariter et expensis quia sic super premissis per pactum expressum inter dictas partes actum extitit ordinatum et locutum. Et dictus Perretus promisit pro se et suis ut supra juramento suo ad sancta Dei evangelia corporaliter prestito et sub obligatione omnium bonorum suorum quorumcumque dictam censam sive reddittum cum servitiis solvere et integre reddere dicto domino priori successoribusque suis in dicto prioratu annis singulis perpetue termino supradicto. Mandans et precipiens dictus dominus prior tenore presentium omnibus et singulis dictam decimam primitias et nascentia debentibus videlicet in confinis (sic) predictis et ex nunc in antea dicto Perreto et suis super ipsis respondeant et pareant, prout dicto domino priori ante presentem contractum tenebantur. Renuntiantes in hoc facto dicte partes omni exceptioni deceptionis, lesioni et gravamini rei aliter scripte quam acte et econverso omni juri canonico et civili, statuto, usui et consuetudini quibus possent facere contra predicta vel aliquid de predictis, jurique dicenti generalem renunciationem non valere nisi precesserit specialis. Voluerunt autem dicte partes per me infra scriptum notarium de predictis fieri duo publica instrumenta eiusdem tenoris, unum ad opus cuiuslibet ex partibus memoratis que predicta instrumenta possint et valeant reffici, rescribi, memorari et dictari semel vel pluries ad dictamen sapientum non obstante quod in judicio fuerint exibita vel obstensa substantia non mutata.

Testes huius rei sunt vir religiosus dominus Jacobus prior de Lenz, Aymo vicedominus Martigniaci, Dominicus Aymo dou Temour, Petrus Mouton de Martigniaco, et ego Johannes Gotterus de Martigniaco clericus sedunensis dyocesis auctoritate imperiali notarius publicus qui premissis omnibus presens fui et ea propria manu mea scripsi et in hanc publicam formam redigi, signoque meo consueto signavi in testimonium veritatis rogatus.

(signature : dessin d´une croix)

1391, 8 avril. — Estuez, in prioratu nostro de Estuez

Ratification de l´acte précédent par Aymon, patriarche, prév&ocirct de l´ordre augustinien du Mont-Joux (montis Jovis) et prieur d´Estuez (Estuez) dans le diocèse de Sion

Nos, Aymo patriarcha Jerlimitani et prepositus montis Jovis ordinis Sancti Augustini sedunensis diocesis totumque dicti loci capitulum generale, in prioratu nostro de Estuez hodie celebratum traditionem concessionem et omnia et singula in presenti instrumento descripta et contenta secundum formam et tenorem ipsius instrumenti laudamus, approbamus, ratificamus et ex certa scientia nostra tenore presentium confirmamus. In cuius rei testimonium sigilla nostra duximus apponenda. Datum in dicto prioratu nostro de Estuez, in dicto nostro capitulo generali tento et celebrato die octava mensis aprilis anno a Nativitate Domini M CCC LXXXX primo

Traduction :

Au nom du Seigneur, amen. En l´année 1391, indiction 14, au premier jour du mois d´avril, en la demeure du prieuré de Martigny, devant moi, notaire, et devant les témoins écrits plus bas, pour cela spécialement et en personne sont constitués le seigneur Pierre de Villar, prieur du prieuré de Martigny d´une part, et Perret Troléroz des Jeurs de Martigny d´autre part. Le susdit seigneur prieur, considérant et envisageant le profit et l´avantage du dit prieuré, a transmis et remis et concédé à cens perpétuel, pour lui et ses successeurs, au dit Perret présent acceptant et recevant solennellement pour lui et ses héritiers et ceux à qui il aura voulu remettre ou donner à cens à l´avenir, la dîme dite « novely » de Tête Noire avec ses prémices et ses naissances qui sont de quelque façon que ce soit perçus soit au nom du dit seigneur prieur, soit du susdit prieuré, et doivent être levées tant sur les champs que sur les prés ou sur toutes les autres choses, terres et possessions dans la mesure où il est accoutumé de percevoir et de lever la susdite dîme de la ferrière de Trient jusqu´au domaine du prieuré de Chamonix d´une part et jusqu´au domaine de l´abbaye de Saint-Maurice d´Agaune d´autre part, et cela pour vingt-quatre sous mauriciens de rente ou de cens annuel et un denier mauricien de service, qui doivent être payés et remis par le dit Perret Trolero et ses héritiers au dit seigneur prieur et à ses successeurs ou encore au prieuré susdit chaque année et perpétuellement à la Toussaint, avec deux deniers de plait à percevoir au changement de seigneur et de possesseur ; et les dites parties ont promis ces prémices, à savoir le dit seigneur prieur pour lui et ses successeurs, par son serment prêté en personne sur les saints Evangiles et sous l´obligation de tous ses biens, présents et à venir, de garantir fermement et de maintenir perpétuellement au dit Perret et aux siens la dite dîme avec ses menues dîmes et ses fruits et de ne rien faire contre mais de les considérer comme acceptées et fermes pour toujours et d´observer inviolablement et de faire observer, louer et ratifier réellement toutes et chacunes des dispositions écrites plus bas, avec effet pour son pouvoir au dit Perret Trolero par le vénérable seigneur prév&ocirct et son chapitre du Mont-Joux [1] et cela lors du prochain chapitre à célébrer par les dits seigneurs prév&ocirct et frères de l´ordre du Mont-Joux comme il est accoutumé, et aux envois enfin du dit seigneur prieur et de ses sucesseurs...

Et le dit Perret a promis pour lui et pour les siens comme plus haut, par son serment prêté sur les saints Evangiles et sous l´obligation de tous ses biens, quelqu´ils soient, de payer et de remettre intégralement le dit cens ou la rente accoutumée au dit seigneur prieur et à ses successeurs dans le dit prieuré chaque année toujours au terme susdit. Mandant et prescrivant le dit seigneur prieur par la teneur des présentes que tout un chacun de ceux qui doivent la dite dîme, prémices et naissances dans les frontières susdites répondent et obéissent à partir de maintenant au dit Perret et aux siens sur ces mêmes choses, dans la mesure où ils étaient engagés envers le dit seigneur prieur avant le présent contrat. Renonçant sur ce fait les dites parties à toute exception, déception, blessure et attaque de la chose écrite autrement que faite et de même à tout le droit canon et civil, statut, usage et coutume par lesquelles ils pourraient faire quelque chose contre les susdites dispositions ou à leur sujet

Les dites parties ont voulu que par moi, soussigné notaire, fûssent faites des susdites deux documents publics de la même teneur, l´un à l´usage de quiconque des parties mentionnées, lesquels documents pourraient et vaudraient d´être refaits, récrits, mentionnés et dictées une ou plusieurs fois à la dictée des sages, nonobstamt ce qui serait exhibé ou montré en justice, sans modification de la substance.

Les témoins en sont le religieux seigneur Jacques, prieur de Lens, Aymon vidomne de Martigny, Dominique Aymon dou Temour, Pierre Mouton de Martigny, et moi Jean Gotterus de Martigny clerc du diocèse de Sion, notaire public par l´autorité impériale, qui fut présent à toutes ces négociations et les ai écrites de ma propre .main et rédigé dans cette forme publique, et ai signé de mon seing habituel en témoignage de vérité, requis.

Nous, Aymon patriarche et prév&ocirct de l´ordre de Saint-Augustin du Mont-Joux du diocèse de Sion et tout le chapitre général du dit lieu, en notre prieuré d´Estuez nous louons, approuvons et ratifions aujourd´hui la vente, concession et toutes les dispositions chacunes décrites et contenues dans le présent acte sous la forme et la teneur de l´acte lui-même, et nous en confirmons par notre savoir certain la teneur des présentes. En témoignage de quoi nous avons fait apposer nos sceaux. Donné en notre dit prieuré d´Estuez, en notre dit chapitre général tenu et célébré le huitième jour du mois d´avril, en l´an 1391 de la Naissance du Seigneur.



[1] Aujourd´hui le Grand Saint-Bernard.

 





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