dimanche 18 octobre 2009

Qui d'autre veut détruire la Suisse ?

Hanibal Kadhafi veut nucléariser la Suisse.

Un article du Sunday Times rapporte les propos qu'Hannibal aurait tenus à Tripoli lors d'une réunion de diplomates arabes: «Si j'avais une bombe atomique, j'effacerais définitivement la Suisse des cartes.»

Lors du sommet du G8 de juillet 2009 à L'Aquila, en Italie, son père, Muammar, aurait déclaré: «Il faut que l'Italie reprenne la partie italophone (n.d.l.r.: de la Suisse), la France la partie francophone et l'Allemagne sa part. L'Italie, l'Allemagne et la France ont la responsabilité d'appliquer le droit international. Ils doivent démembrer la Suisse.»

Après son intention de démanteler la Suisse, le clan Kadhafi aimerait maintenant l'atomiser.

Sont-ils les seuls ?

Et certains américains ?

Et certains européens, allemands, français ?


Après le scrutin sur l'EEE de 1992 des radicaux influents de la haute finance ont approché les marxistes ( dont Vasella du Novartis qui fabrique les vaccins ) et les ont entretenus de la nécessité d'abolir enfin les vieux mythes suisses.

Dr Sigmund Widmer

Traduction Denis Helfer

Nous nous étonnons parfois de la rapidité avec laquelle cette perte d'autonomie des citoyens et des instances indépendantes de l'État avance. Qui œuvre à cela ? Un marxiste en vue en Suisse, l'idéologue Jacob Lanner l'a dit dernièrement très ouvertement à ses compères : jusqu'en 1991 les marxistes n'ont eu en Suisse aucune chance d'imposer leurs idées. Après le scrutin sur l'EEE de 1992 des radicaux influents de la haute finance ont approché les marxistes et les ont entretenus de la nécessité d'abolir enfin les vieux mythes suisses. Tanner et consorts ont fait leur entrée à Bilanz, le magazine économique qui fait autorité. On ne peut comprendre la vigueur de la lutte de Bilanz contre la substance suisse que si l'on connaît le passé marxiste de certains managers de pointe comme Daniel Vassella de Novartis. Le marxisme de Tanner l'a tenu éloigné du corps des professeurs de l'université de Zurich. Maintenant il fait la leçon au pays par la grâce des capitalistes. Il faut maintenant créer une génération de globalisés. Le premier produit de celte collaboration marxisto-capitaliste est la commission Bergier et ses " recherches'' qui reprennent les schémas marxistes déjà connus C'est pourquoi le trotkyste zougois Josef Lang a écarté le premier président pressenti de la commission, le professeur Urs Altermatt qui n'était pas dans la ligne.

Les grandes entreprises s'en sortent relativement bien des conclusions de la commission Bergier et il n'y a rien d'étonnant à cela quand on connaît tous les dessous. Comme par hasard on ne reproche rien à la firme du conseiller fédéral Villiger qui, globalisation oblige, au même moment, vient de se délocaliser en Chine. Selon Andreas Gross le grand '' projet Bergier'' est "de transformer la mentalité de base des Suisses''. Il importe à ces gens de détruire la paix, la neutralité, la démocratie directe, le fédéralisme, la libre association et la famille.

Une victoire à la Pyrrhus

Le commentaire de Sigmund Widmer dans le Schweizerzeit du 22 mars 2002

La notion de victoire à la Pyrrhus existe dans notre culture depuis bien 2000 ans. Elle est liée à Pyrrhus (319 -272 av JC) premier roi des Epirotes. Il vivait au nord -ouest de l'actuelle Grèce et, apparenté à Alexandre le Grand, il rêvait d'en rétablir l'empire universel. Vers 280 av. JC il gagna le sud de l'Italie dans ce but et dans celui donc de vaincre les Romains en expansion. Il vainquit vraiment deux fois les Romains mais au prix de tant de pertes qu'il fut contraint de faire retraite dans sa Grèce natale. Ces deux victoires discutables sont entrées dans l'histoire sous le nom de ''victoires à la Pyrrhus ". On se souvient de cet événement historique lorsque l'on examine la grande victoire, à Berne des gouvernants de centre gauche le 3 mars 2002.

En nombre de voix on peut fêter les 54,6 % de oui face aux 45,9 % de non. Mais la majorité des cantons n'était que de douze contre onze La grande victoire devient plus modeste. Au Valais par exemple, il y a eu 46 786 oui et 44 088 non. Si des 90 000 votants seulement 1349 avaient voté non au lieu de oui l'entrée de la Suisse à l'ONU aurait échoué. Il est clair que la Suisse orientale moins Zurich a voté non et au contraire la Suisse occidentale plus Zurich a voté oui.

Bien sûr, l'actuelle majorité de centre gauche aimerait bien supprimer de la constitution la double majorité des électeurs et des cantons requise dans les scrutins importants. Un petit rappel : en 1847 les Grands cantons citadins réformés progressistes ont vaincu les petits cantons, conservateurs, ruraux, catholiques. Les vainqueurs de 1848 ont introduit un droit de veto dans leur propre constitution. On accordait ainsi à la minorité catholique un droit à la résistance. C'était extraordinairement intelligent car ainsi les vaincus ont accepté de participer à la nouvelle construction étatique. Cela explique pourquoi la Suisse a été épargnée pendant un siècle et demi par les guerres civiles. Et nous fûmes le seul pays d'Europe. Et cela explique pourquoi nous étions si attirants. Jetons un œil aux commentaires des partisans de l'ONU le soir des résultats. Ils ont le triomphe relativement modeste parce qu'ils avaient eu terriblement peur, jusqu'au dernier moment de la double majorité On s'étonnera donc de ce que rapportait le journal gratuit bernois ''Berner Bär'' : dans une taverne le conseiller fédéral Deiss et ses proches collaborateurs ont fêté bruyamment et Deiss a conclu la soirée en disait qu'à cette adhésion à 1'ONU allaient succéder l'entrée dans 1'Union européenne et l'entrée dans l'OTAN. C'était dans la tendance des médias. Le journal '' Vingt minutes" titrait par exemple :'' Le oui à l'ONU met fin à la guerre froide''.

Regardons ce qui se cache derrière de telles bêtises. Pendant les 45 ans de la guerre froide, 1'ONU avait une majorité d'États démocratiques occidentaux. C'est pourquoi lors au scrutin de 1986, la gauche suisse était très réservée. A cela s'ajoutait une sympathie déclarée pour Israël, né en 1948. Il ne pouvait en être autrement puisque l'URSS soutenait les voisins arabes d'Israël et que toutes les démocraties occidentales, dont la Suisse penchaient nettement vers Israël. L'effondrement de l'URSS en 1989 marque la fin de la guerre froide. Il n'y a plus qu'une seule grande puissance mondiale : les USA et 1'ONU sont sous domination américaine. Depuis le 11 septembre le bellicisme des USA place les membres de l'ONU devant de nouveaux problèmes. Dans cette perspective on ne peut souhaiter que bien du plaisir à Deiss et à son équipe.

Encore une chose. Le scrutin sur 'ONU aurait représenté (selon la NZZ ; entre autres) une défaite de Blocher et de l' UDC . L'UDC a été la seule à dire non mais le même jour, les élections communales et cantonales (Vaud, Zurich, Nidwald etc) ont apporté des gains à 1'UDC et de plus l'UDC peut observer, l'âme en paix le comportement des Suisses à 1'ONU lorsque monte la tension entre les USA et tous les États qui refusent leur hégémonie.

 

En bref : l'UDC a échoué le 3 mars, mais à long terme, ce parti va profiter, à l'intérieur de notre pays , des conséquences de l'adhésion à l'ONU. C'est pour cela que cette splendide victoire de la majorité de centre gauche est exactement ce que l'on appelle une victoire à la Pyrrhus.

Dr Sigmund Widmer

Traduction Denis Helfer

 

La votation sur l'ONU : le résultat vu d'Amérique

CARTE BLANCHE AUX POLITICIENS

Le journal américain ''Wall Street Journal'' a livré un commentaire très pertinent sur l'issue de la votation sur l'ONU et sur les conséquences de l'entrée de la Suisse dans l'ONU. Paru le 5 mars 2002 et écrit par Brian M. Carney, il était intitulé ''No neutral : Who will play Switzerland now ?''. En voici une version librement adaptée et traduite par le ''Schweizerzeit'' du 22 mars 2002.

 

Les politiciens jubilent

Un petit groupe de Suisse un seul petit groupe aspirait depuis longtemps à l'entrée dans l'ONU : les politiciens. Pour les représentants et les gouvernants de cette république montagnarde de sept millions d'âmes, la promotion ne peut pas se faire vers le haut mais seulement vers l'extérieur. Où aller au-delà de Berne et de Genève ? L'inflexible indépendance du pays les rend claustrophobes. Et cependant, aspirer à plus, c'est courir le risque de s'isoler.

Il y a longtemps que les politiciens suisses essayaient de faire irruption sur la scène internationale. Ils en ont toujours été empêchés par leur peuple opiniâtre nourri du lait de la famille Tell. Et il faut être juste : la version suisse de la neutralité armée a bien servi le pays.

La Suisse est passée à côté des dévastations des deux guerres mondiales du XXe siècle et c'est l'une des raisons pour lesquelles la Suisse est aujourd'hui un des pays les plus riches du monde.

Le Sonderfall

Les Suisses ne sont pas des extra-terrestres. Mais, pendant la Deuxième guerre mondiale, qui aurait préféré vivre en Pologne ? La Pologne qui avait reçu de la France et de la Grande Bretagne des garanties solennelles de sécurité. La Suisse, elle, ne comptait que sur elle - même. Ce qui est vrai, c'est que la Suisse est typiquement un pays international. C'est un pays qui a des relations financières mondiales et qui a une position recherchée dans les organisations internationales. La marque de la Suisse n'est en aucune manière l'isolationnisme, mais on a dit qu' "elle ne jouait pas le jeu''. Celui qui s'occupe de bien faire et a du succès en restant à l'écart du micmac collectif, eh bien, il suscite l'irritation. Mais voilà, la '' responsabilité internationale " n' a rien à voir avec la participation à une bureaucratie.

Maintenant, c'est fait. La Suisse est une nation (une petite nation) parmi 190 autres. Avant le scrutin les Suisses restaient au dehors et ressentaient les réactions négatives provoquées par le courage de résister au troupeau. Mais il y a cette aspiration à être accepté. Un peu plus de la moitié des Suisses y a succombé. Et d'autres se frottent les mains.

Brian M. Carney

Traduction Denis Helfer


L' Irlande vote:non à l'UE ! l' Irlande revote:non. l'Irlande rerererevote: OUI

Si elle avait voté oui la première fois, est-ce qu'on l'aurait fait rererevoter jusqu'à ce qu'elle dise NON ?

Les voilà enfin raisonnables.

Tricher,c'est normal, a dit un journaliste.

Les autorités obligent à revoter jusqu'à convenir aux commissions européennes non élues qui gouvernent.

Sur les vingt-sept pays de l'Union européenne, seul cinq ont été consultés. Deux auraient voté oui ???, l'Espagne et le Luxembourg.

Trois se sont prononcés, une fois, en faveur du non, la France, les Pays-Bas et l'Irlande.

Cinq autres avaient envisagé de consulter leur peuple mais y ont renoncé par crainte d'une réponse négative.


Citoyen, on te vole ta seule et derrière arme qui n'était guère efficace pour changer cette ploutocratie,que te reste-t-il?

 http://desiebenthal.blogspot.com/2009/06/recours-final.html


  1. Alternatives: Les recours RFID refusé par le Tribunal fédéral.


  2. Pluie de recours après la votation serrée sur le passeport ...

    Auteur d'un des deux recours vaudois, François de Siebenthal dénonce des irrégularités lors du scrutin. 100 à 300 citoyens n'ont pas reçu leur matériel de ...
    www.24heures.ch/.../pluie-recours-votation-serree-passeport-biometrique-2009-05-28 -

La dissolution de la famille, une conséquence de la globalisation

Diethelm Raff psychologue, Zurich

Zeitfragen du 6 mai 2002

La globalisation est un tour de passe-passe. Elle sert aux centralisateurs de gauche comme aux tenants du grand capital pour dépouiller les gens de tout ce qui fait la cohésion sociale et de tout ce qui permet une existence autonome. Il ne s'agit pas seulement de la centralisation des compétences vers les cantons puis au niveau fédéral et encore plus loin au niveau de l'Union européenne et même de l'ONU. Il s'agit de ce que la protection des citoyens cède le pas devant le despotisme de la globalisation. Ainsi on remarque que la famille traditionnelle n'existe plus, elle qui était la forme naturelle et originale de la vie sociale. De même l'éducation est retirée des mains parentales.

Pour appliquer la globalisation, on a besoin de gens maniables sans attaches, qui obéissent sans mot dire aux décisions que les ''élites dirigeantes'' ont prises dans leurs instances de discussion. Le citoyen ne doit plus être autonome mais ''incorporé ". La famille indépendante est un obstacle à la formation de sujets. Donc il convient de leur arracher l'éducation des enfants. Avec raison, l'article 16. 3 des Droits de l'Homme définit la famille comme la cellule naturelle et fondatrice de la société. On veut que cela cesse. Cependant il faut constater que la liberté ne peut se fonder véritablement que si l'être social peut agir à sa guise dans le cadre familial C'est pourquoi les États démocratiques protègent la famille contre les empiétements étatiques. Dans cette perspective les parents jouissent d'un droit éducatif protégé.

 

La famille n'est plus une patrie spirituelle mais une entité administrative.

Ce genre de famille n'a plus sa place dans un monde globalisé - L'État répudie ce droit spécifique et transforme la famille en une de ses entités administratives. Les adeptes de la globalisation ont adopté cette nouvelle définition de la famille : ''vie commune de plusieurs personnes pour un temps déterminé''. Cela pourrait tout aussi bien être l'habitation partagée d'ouvriers dans une baraque de chantier le temps de grands travaux.

La famille perd son essence. Même les publications ecclésiales teintées de marxisme décrivent la famille comme une "cohabitation d'adultes et d'enfants'' et une '' institution sociologiquement reconnue comme utile à la perpétuation de la société''. Cela n'est conforme ni au droit naturel catholique, ni au droit international ni à la psychologie de l'éducation. La famille en effet signifie responsabilité mutuelle de durée indéterminée des parents vers les enfants puis de ces derniers vers leurs parents âgés. La famille doit permettre aux enfants de faire leur chemin dans la vie, d'acquérir repères, valeurs communes, sécurité mentale : les outils de la vie en société. La famille n'est pas seulement une unité de lieu mais avant tout une unité spirituelle.

La famille enseigne les bonnes mœurs, enseigne le réflexe d'aider son prochain, de contribuer au bien commun, de savoir régler des conflits. C'est ce genre de famille qu'il faut soutenir pour avoir des couples heureux et pour que la vie collective fonctionne bien à tous les échelons .

 

 

Marxisme et grand capital se donnent la main pour la globalisation.

Nous nous étonnons parfois de la rapidité avec laquelle cette perte d'autonomie des citoyens et des instances indépendantes de l'État avance. Qui œuvre à cela ? Un marxiste en vue en Suisse, l'idéologue Jacob Lanner l'a dit dernièrement très ouvertement à ses compères : jusqu'en 1991 les marxistes n'ont eu en Suisse aucune chance d'imposer leurs idées. Après le scrutin sur l'EEE de 1992 des radicaux influents de la haute finance ont approché les marxistes et les ont entretenus de la nécessité d'abolir enfin les vieux mythes suisses. Tanner et consorts ont fait leur entrée à Bilanz, le magazine économique qui fait autorité. On ne peut comprendre la vigueur de la lutte de Bilanz contre la substance suisse que si l'on connaît le passé marxiste de certains managers de pointe comme Daniel Vassella de Novartis. Le marxisme de Tanner l'a tenu éloigné du corps des professeurs de l'université de Zurich. Maintenant il fait la leçon au pays par la grâce des capitalistes. Il faut maintenant créer une génération de globalisés. Le premier produit de celte collaboration marxisto-capitaliste est la commission Bergier et ses " recherches'' qui reprennent les schémas marxistes déjà connus C'est pourquoi le trotkyste zougois Josef Lang a écarté le premier président pressenti de la commission, le professeur Urs Altermatt qui n'était pas dans la ligne.

Les grandes entreprises s'en sortent relativement bien des conclusions de la commission Bergier et il n'y a rien d'étonnant à cela quand on connaît tous les dessous. Comme par hasard on ne reproche rien à la firme du conseiller fédéral Villiger qui, globalisation oblige, au même moment, vient de se délocaliser en Chine. Selon Andreas Gross le grand '' projet Bergier'' est "de transformer la mentalité de base des Suisses''. Il importe à ces gens de détruire la paix, la neutralité, la démocratie directe, le fédéralisme, la libre association et la famille.

L'éducation doit passer sous contrôle étatique

11 suffit de lire le manifeste communiste pour savoir ce qui nous attend de la part de cette nouvelle coalition de marxistes et de trusts. On y lit : ''Nous communistes, arracherons l'éducation à l'influence de la classe dirigeante en établissant une éducation sociale au lieu de l'éducation domestique''. Marx et Engels avaient établi dix mesures despotiques en vue de l'établissement de la dictature communiste, mesures visant à la suppression des libertés bourgeoises, de la séparation des pouvoirs, de la liberté de conscience et de la liberté religieuse Un de ces dix points est textuellement ''L'éducation officielle et gratuite des enfants''.

Depuis le sommet des droits de l'enfant 1'0NU prône aussi des restrictions massives du droit parental à l'éducation des enfants. Certaines mesures de la convention ressortissent du bon sens et sont bienvenues, d'autres conduiraient à l'abolition de la famille. Presque tous les États ont signé la convention mais aucune discussion n'a été proposée aux citoyens. La Suisse a adopté la convention avec réserves (sur le droit parental) mais le département de Mme Dreifuss s'efforce de la faire appliquer avec grand zèle. Mme Dreifuss d'ailleurs suit le modèle trotkyste dans sa stratégie de libéralisation de la drogue. Elle a dirigé la campagne du théologien marxiste Jean-Bertrand Aristide à Haïti et ... au mur de son bureau elle a accroché le portrait de Salvador Allende, qualifié par elle dans une interview donnée le 3 mars 1995 "d'un de ses trois maîtres à penser''. En Allemagne cette tâche est au ressort de Christine Bergmann dont l'éducation est un pur produit de la RDA et qui définit la famille comme ''le lieu où il y a des enfants'' un point c'est tout.

La municipale zurichoise Monika Stocker inspirée elle aussi par le marxisme parle dans une brochure d'où sont absentes les considérations pédagogiques et psychologiques de la ''rentabilité des garderies ". Pour elle, même à 100 f par jour et par enfant, c'est un bon placement (NZZ du 13 avril). La NZZ ose donner la parole à des féministes marxistes berlinoises pour faire de la propagande pour les crèches. Avec des arguments spécieux du genre que les femmes qui veulent élever elles-mêmes leurs enfants et refusent les crèches devraient se souvenir qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil : les nourrices des grandes bourgeoises du XIXe siècle.

Deux semaines avant le vote sur les subventions aux crèches la NZZ publie un article intitulé " Les petits enfants ont besoin de plus qu'une mère ''. L'État doit offrir des crèches parce que l'apparent désavantage de la séparation de la mère et de l'enfant est en fait un gain social futur pour l'enfant.

La troupe d'assaut idéologique pour la dissolution de la famille est la commission de coordination des questions familiales fondée en 1995 et présidée depuis deux ans par Jürg Krummenacher. Depuis que la notion de famille a pris le sens que lui donne la marxiste Dreifuss, la gauche crie avec véhémence à l'aide à la famille ce qui en fait signifie le transfert des tâches familiales à l'État. Au parlement cela se traduit par l'initiative de la socialiste Jacqueline Fehr qui veut entre 60000 et 100000 nouvelles places de crèches. Pour ne pas froisser les oreilles sensibles on baptise cela : assistance complémentaire aux familles ".

 

Les petits enfants sous la coupe de l'État

La logique marxiste aboutit à ce que l'on envisage d'enlever à des institutions privées et à des particuliers expérimentés et de bonne volonté le droit de prendre en charge les petits enfants lorsque cela est nécessaire. Les communes ne devront plus avoir le droit d'aménager de telles solutions. Les contrôleurs de qualité étatiques en matière d'éducation seront tellement déformés par leur formation idéologisée que tout naturellement ils retireront l'agrément officiel aux institutions privées et personnes dévoués qui avaient cependant fait leur preuve.

Les parents n'auront plus de droit de regard sur l'éducation de leurs enfants

La Genevoise Mireille Chervaz Dramé a exigé que l'État conjointement avec l'Économie prenne en mains entièrement l'éducation des enfants.

Chaque parent pourra exiger de sa commune et de son employeur de payer tous les frais d'éducation et de fournir une place adéquate pour la prise en charge de l'enfant et cela voudra dire aussi que le parent perdra son droit d'éduquer son enfant selon ses vues et ses principes. Il est même prévu que les allocations familiales soient retirées de la compétence cantonale et attribuées à la Confédération

Cela doit empêcher les parents de moduler de telles mesures au niveau cantonal si l'envie leur en prenait. Cela permettra aussi plus tard d'introduire plus facilement les normes imposées par l' UE ou par 1'ONU.

L'agenda 21 de l'ONU, émanation marxisto-féministe, est ainsi en voie de réalisation chez nous. Les crèches devaient être l'instrument primordial pour réformer les valeurs, les attitudes, les comportements, les cultures et les structures dans le monde entier.

Donc, à la journée annuelle de la coordination, on a claironné bien fort que la " mise à disposition des mesures d'assistance complémentaire aux familles était l'un des éléments les plus importants de la politique familiale " comme l'entend le département de Ruth Dreifuss.

 

La justification idéologique des crèches

Pour manipuler l'opinion il faut aussi trouver une justification à la séparation de la mère et de l'enfant. Dans le passé déjà l'enfant était éduqué par plusieurs personnes et pas seulement par la mère. Ainsi le bébé s'intéresse progressivement au reste de l'humanité. Il faut cependant remarquer que cela est acceptable quand ces autres personnes sont de la parenté ou des voisins. Maintenant il s'agirait tout bonnement d'employés. Des personnes qui vont et viennent disparaissent après deux ou trois ans et empêchent donc un bon développement émotionnel. De plus, dans l'histoire, la séparation d'avec la mère était limitée en heures. La science s'inscrit en faux contre ces projets : la crèche n'est pas un avantage pour le développement de l'enfant.

Les crèches perturbent les enfants

L'expérience des pays du bloc oriental particulièrement de la RDA et de la Tchécoslovaquie nous enseigne combien les crèches sont dommageables pour les enfants. La formation du sens de la confiance dans l'autre, l'acquisition du bagage affectif sont rendues difficiles, voire impossibles par ces longues journées de séparation d'avec la mère. Les travaux du pédiatre Dunovsky nous apprennent que la mortalité infantile était hausse en Tchécoslovaquie, que les enfants souffraient de retard dans leur développement, que les enfants y étaient agressifs peu sociables. Le désastre était tel que dans les années 80 le pouvoir communiste avait commencé à favoriser le retour à l'éducation familiale. L'enfant de moins de trois ans a besoin toute la journée d'une personne de référence unique et accessible, en clair de sa mère. Sans cela on ne peut construire de quiétude interne. Même les enfants qui à la crèche sont sans histoire se révèlent plus tard psychologiquement dérangés. Pour cette raison il ne faut jamais envoyer un enfant à la garderie avant trois ans et il est mieux de ne le faire que pour deux ou trois heures par jour, mieux encore d'attendre quelques années. Il est vrai que les garderies peuvent être bénéfiques aux enfants uniques trop individualistes. Pour leur apprendre à coopérer et partager après trois ans, une absence de quatre à six heures par jour reste problématique, principalement parce que le développement émotionnel d'un enfant diffère considérablement d'une personne à l'autre.

Il faut éduquer les enfants pas seulement les prendre en charge.

Ce qui disparaît totalement de toutes ces tentatives de justification idéologique est qu'un enfant doit être éduqué et pas seulement pris en charge. L'éducation est un plein temps ce n'est pas un temps de travail à horaires fixes. C'est une relation qui passe par l'intériorité, c'est une osmose, une transmission basée sur la confiance. L'enfant qui n'a qu'un parent atteint aussi la maturité personnelle et sociale. L'essentiel est le lien durable la construction d'un sentiment de sécurité qui permettra ensuite au jeune de se dévouer à l'adulte, d'évoluer au sein de la société de trouver cet équilibre entre assurance de soi et ouverture. Dans tous les cas l'adulte responsable doit consentir des sacrifices et penser d'abord au bien de l'enfant. Le débat pédagogique doit avoir lieu et il ne faut pas se laisser intimider par les pontes de la globalisation. 11 faut lire des livres comme ceux de Daniel Stern (la mère et l'enfant), de Goleman (Intelligence émotionnelle), de Mary Ainsworth (Enfance en Ouganda), de John Bowlby (Relation parentale et développement de la personnalité. -Bonheur et malheur) de Klaus Grossmann (Développement de l'acquisition du savoir) de Ervin Staub (Développement du comportement philo social : la psychologie du prochain).

Il est nécessaire que les citoyens soient attentifs aux évolutions du monde. Nous devons exiger les conditions d'une vie paisible, nous devons parler autour de nous. Nous devons solidifier notre famille, développer les relations entre membres de la famille. Ainsi on pourra mieux comprendre les destructions entreprises autour de nous et y faire barrage. Nous devons consolider notre exigence de vie autonome. Nous ne devons pas nous laisser mener par une clique mondialiste qui veut tout réduire aux considérations de géostratégie, de matières premières, de luttes de pouvoir. La vie ne doit pas devenir un enfer. On attaque la civilisation de l'amour et de la paix. Nous devons nous coaliser et résister

Diethelm Raff

Traduction Denis Helfer

 

Bush a triché dans la plus grande démocratie du monde. Des puissants derrière lui voulaient mettre en route un "plan" pour l' hégémonie.On trouve l'un de ses frères Jeb Gouverneur en Floride ( ballottage dans son fief, comme par hasard ) l'autre frère, Marwin, travaillait dans la sécurité à New-york de toutes les Tours du 9/11.


Suisside, suicide de la Suisse ?

Le 2 juin 2002, le peuple suisse s'est ainsi prononcé en faveur du régime des délais, qui permet librement à la femme enceinte de garder l'enfant qu'elle porte, ou de lui faire subir d'atroces tortures, l'assassinant froidement, avec la complicité du médecin bourreau et du législateur. N'est-ce pas, la femme est seul juge, elle a le droit de tuer librement et d'enfreindre sciemment l'article 10 de la constitution fédérale, qui proscrit tout sévice infligé à un être humain. La pauvre, elle invoque un état de détresse, les pressions qu'elle subit de la part du géniteur ou du milieu où elle vit. Mais la détresse du pauvre petit qu'elle porte, qui tente vainement d'échapper au scalpel du "médecin", émettant un cri muet, palpable dans la séquence enregistrée par le Dr Nathanson, elle y est insensible. La télévision s'est bien gardée de faire passer ce film, ce qui laisse croire que ses studios sont peuplés de complices d'un tel crime.

La femme n'est plus la mère en puissance, heureuse d'élever le fruit éventuel de l'amour ; ce n'est plus qu'un instrument de plaisir, capable d'évacuer le gêneur, ce locataire résultant d'une passade lorsqu'il y a échec de la contraception. La femme alors est propriétaire de son corps, autorisée à tuer son locataire.

Le gêneur n'est-il vraiment qu'un paquet de cellules, un organisme d'ordre végétal ou animal ? Allons donc : on sait que dès la conception, il y a un individu de l'espèce humaine, donc un homme, et que, dès qu'il y a corps humain, il y a âme humaine, immortelle. Messieurs les biologistes, cessez donc de torturer ces paquets de cellules, ces cellules-souches, etc. Il a paru en 1987 un livre, L'embryon, un homme, explicitant les travaux du Congrès tenu au CHUV, à Lausanne en 1986, particulièrement convaincant, qu'il a été impossible de diffuser dans les milieux ecclésiastiques locaux. Honneur au Valais, dont l'évêque s'est particulièrement dépensé pour influencer son diocèse, avec un résultat tangible.

La loi et les mœurs

La loi suit les mœurs, dit-on. La pulsion sexuelle est si forte qu'elle pousse n'importe quelle personne à s'accoupler avec n'importe quelle autre, sauf si de saines barrières ne sont pas érigées. Or à notre époque, on s'acharne à les faire tomber. La télévision par exemple joue un rôle particulièrement destructeur. Les films à composante érotique pullulent, avec baisers, étreintes, adultères, divorces etc. La publicité même insiste sur les regards lascifs, alléchant l'œil concupiscent des gallinacés, pour faire vendre voitures, café, chocolat, etc.

La chute des mœurs se laisse largement remarquer, de 1977 date à laquelle une tentative d'instauration des ''délais'' en Suisse a échoué, tandis que 25 ans après, en 2002, 72 % de la population est contaminée, constituant une véritable suicide, un Suisside. Une personne qui vote oui aux délais répond à diverses motivations dont la principale est la suivante : avoir une ''porte de sortie'' au cas où un avortement s'impose, suite souvent à une liaison illicite. Silence, on tue.

Que m'importe la démographie, que l'avortement soit une cause de dépopulation : après nous le déluge, l'immigration-invasion. La Suisse, avec 20 % d'étrangers, en est sur le chemin, alors que le Danemark n'a que 5 % d'étrangers. Avortons gaiement, et gayment.

D'une hypocrisie à une autre

On a dit que les articles sur l'IVG datant de 1942 constituaient une hypocrisie, attendu que la loi, en fait n'était jamais ou rarement appliquée. De plus, il y avait impossibilité de connaître la réalité au sens statistique : connaître avec précision le nombre des brochets pêchés telle année dans tel lac, c'est possible, mais connaître le nombre de tout petits enfants assassinés chaque année dans tel canton, c'est impossible. A nouveau, silence, on tue.

Barrabas et la démocratie

Toute la propagande en faveur des délais reposait sur la détresse de la malheureuse personne enceinte, considérée comme une victime innocente, qu'il ne saurait être question de punir. Fallait-il relâcher le petit innocent prisonnier du corps de la femme, ou sauver la mère possiblement coupable ? Un million de Suisses ont crié, relâchez Barrabas, abandonnant l'innocent à la crucifixion. Le Pilate de service s'en lavait les mains, laissant le petit aux griffes des avorteurs.

Étudions le but profond de cette nouvelle loi scélérate : la destruction de la famille. Voyez telle famille, dont la mère en espérance accepte de subir un avortement : cela se saura tôt ou tard, le ou les enfants pouvant considérer la mère, et le père, comme des assassins : charmante perspective. Famille abattoir !

Par ailleurs, on abat ou on va continuer à abattre des dizaines de milliers d'innocents chaque année en Suisse, moyennant des tortures indicibles. Crimes contre la loi divine et contre l'humanité, créant dans tout le pays un climat de violence déjà perceptible ; toute la police imaginable n'en saurait venir à bout ; on a ouvert les écluses de l'horreur, et aucune justice humaine ne pourra contenir le flot des turpitudes.

La seule digue concevable réside dans la famille digne de ce nom, père, mère élevant leurs enfants dans le respect mutuel, dans le respect de leurs destinées terrestres et éternelles.

Ouvre-moi les yeux, que je découvre les splendeurs de ta Loi.

Jean de Siebenthal

PS: Les vaccins sont-ils une arme de destruction massive ?

http://euroracket.blogspot.com/2009/10/urgent-les-parents-vaccination-h1n1.html

La grippe H1N1, ses rumeurs, sa pandémie et son vaccin Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Catherine Keller La Grande Époque - Genève   
15-10-2009

vaccination
L'infirmière Melody McKever administre une dose nasal du vaccin de grippe de H1N1 au Dr. Philip Ozuah, Président du centre médical pédiatrique de Montefiore à New York. Environ 68.000 doses du vaccin sont arrivées dans la ville. Certaines des premières doses sont administrées aux membres du personnel soignant et aux enfants dans un programme de vaccination massif. (Mario Tama/Getty Images)
Dès cet été l'OMS a lancé un avis de pandémie pour la grippe H1N1. Dans les faits, les comptes ont révélé après que l'épidémie ait « ravagé » l'hémisphère sud, que cette grippe est moins dangereuse que la grippe saisonnière. Pour la deuxième fois, L'OMS lance une alerte alors que la réalité n'est pas si grave. Cela laisse place à toutes les interrogations et insinue le doute sur la fiabilité de l'OMS. Cette exagération laisse la place aux rumeurs les plus folles, apocalyptiques, dignes des pires livres de sciences fictions, qu'en est-il ?

On sait que les virus ont la capacité de muter. La crainte est grande de voir un virus spécifique aux animaux muter et s'attaquer à l'homme. Il est potentiellement réaliste de penser que ce virus décimerait une partie de l'humanité puisque celle-ci n'a aucun anticorps capable de résister à ce nouveau virus comme ce fut par exemple le cas pour les Indiens d'Amérique du Sud qui furent décimés par des maladies européennes comme la coqueluche. Il est donc logique que l'OMS lance l'alerte à chaque nouveau virus sous le couvert du principe de précaution.

Les rumeurs
Une journaliste autrichienne, Jane Burgermeister, accuse l'OMS, des firmes pharmaceutiques et d'autres personnes d'avoir organisé un complot en fabricant un vaccin qui serait en fait une arme biologique qui transmettrait une variante mortelle du virus H1N1 pour anéantir cinq milliards d'individus sur cinq ans. Cela paraît incroyable et pourtant ce message est véhiculé par divers intermédiaires sur Internet ce qui finit par mettre le doute dans l'esprit des gens.

Elle dit avoir des preuves selon lesquelles les laboratoires Baxter AG, Novartis et Avir Green Hills produisent délibérément des vaccins contaminés par la grippe aviaire. Elle affirme que Baxter AG, filiale autrichienne de Baxter International, à délibérément envoyé 72 kilos de virus vivant de la grippe aviaire, fournies par l'OMS durant l'hiver 2008, à 16 laboratoires, dans quatre pays sans avoir pris les précautions de rigueur pour ce genre de transport. Un membre du personnel de BioTest, basé en République tchèque à utilisé le vaccin sur des furets et ces derniers en sont morts.

Bien que ce fait soit semble-t-il avéré par la police tchèque, il n'y a pas eu d'enquête menée pas l'OMS ni aucun gouvernement. Cela lui fait dire que les laboratoires diffusent volontairement des virus modifiés afin de créer une pandémie qui rendra obligatoire la vaccination. En effet, tous les pays ayant adhéré à l'OMS ont l'obligation de lui laisser les pleins pouvoirs en cas de pandémie avérée, tout gouvernement doit se soumettre aux ordres de l'OMS.

Autre rumeur, celle rapportée par le docteur Hamer qui affirme que « les vaccins contiennent une puce létale qui peut éliminer en moins d'une heure, par simple pression sur un bouton, n'importe qui par mort naturelle :crise cardiaque, insolation, attaque cérébrale, etc. » Il dit aussi qu'« il existe la micro puce de Hitachi4 qui passe sans problème dans l'embout d'une seringue, c'est-à-dire qu'elle peut être injectée dans les tissus sans que l'on s'en aperçoive si elle est positionnée dans la partie avant de l'embout de la seringue ». 

Certains prétendent que la grippe espagnole proviendrait de la vaccination de l'époque. Or, le premier vaccin contre la grippe date de la fin de la deuxième guerre mondiale. Si cette grippe a fait tant de ravage, c'est parce qu'à la sortie de la guerre, les gens étaient affaiblis par des années de privations. Par contre des archives semblent prouver que l'acide salicylique, l'aspirine, par son action calmante est nuisible car il provoque l'épuisement du patient qui développe alors une pneumonie.

La grippe est contagieuse

La contagion se fait dès 24 heures avant les symptômes jusqu'à la disparition des signes cliniques. Il se transmet par postillons, par le contact de mains infectées ou autres objets contaminés. Le virus est très fragile et meurt après quelques minutes sur un objet froid et deux ou trois heures sur une main. L'incubation est de 24 à 68 heures. Le taux de mortalité est faible puisqu'il est de 0,1 %.

Toute grippe peut amener à la mort un jeune qui est génétiquement prédestiné à réagir trop puissamment au virus. La crainte qu'ont les médecins est que ce virus mute soit par lui-même, soit en entrant en contact avec un autre virus de la grippe et ajoute à sa contagion active actuelle la dangerosité mortelle d'un virus type grippe aviaire. Ce n'est actuellement pas le cas. Pour plus de détails, chercher le dossier  «Grippe A: toutes vos questions» sur Allo Docteur

Le vaccin est-il vraiment dangereux ?
Le vaccin contre la grippe saisonnière existe depuis les années 50. La différence entre le vaccin de la grippe saisonnière et le vaccin de la grippe H1N1 est que dans ce dernier sont ajoutés des adjuvants pour renforcer son effet. Or ce sont justement ces adjuvants qui sont en cause. Ils seraient à l'origine de maladies auto-immunes comme la maladie neurologique du Syndrome Guillain-Barré chez les personnes sensibles à ce problème. 

La commission européenne a approuvé la commercialisation des vaccins Focetria® de Novartis et Pandemrix® de GlaxoSmithKline composés de l'adjuvant AS03 (polysorbate 80, a-tocopherol et squalène). Ils ont préalablement été validés par l'agence européenne des médicaments (EMEA). Celle-ci vient d'émettre un avis positif pour une troisième préparation, celle de l'autrichien Baxter, le Celvapan ®. Ce dernier contrairement aux deux autres ne contient aucun adjuvant.

À savoir que seul 70 à 84 % des personnes vaccinées vont développer des anticorps contre cette grippe. En sachant que la grippe H1N1 actuelle n'est pas vraiment dangereuse et que ce vaccin ne protégera pas contre ce virus s'il mute en virus mortel, il est à se demander à qui cette démarche rapporte-elle réellement.



In 2003, how small now ?
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September 2, 2003
Hitachi Develops a New RFID with Embedded Antenna µ-Chip
--Makes Possible Wireless Links that Work Using Nothing More Than a 0.4mm X 0.4mm Chip, One of the World's Smallest ICs--
A New RFID with Embedded Antenna MU-Chip
Tokyo, September 2, 2003-Hitachi, Ltd. (TSE: 6501) today announced that it has developed a new version of its RFID µ-Chip embedding an antenna. When using Hitachi's original µ-Chip, one of the world's smallest RFID ICs measuring only 0.4mm X 0.4mm, an external antenna must be attached to the chip to allow external devices to read the 128-bit ID number stored in its ROM (Read-Only-Memory). This newly developed version, however, features an internal antenna, enabling chips to employ the energy of incoming electrical waves to wirelessly transmit its ID number to a reader. The 0.4mm X 0.4mm chip can thus operate entirely on its own, making it possible to use µ-Chip as RFID IC tags without the need to attach external devices. This breakthrough opens the door to using µ-Chips as RFID IC tags in extremely minute and precise applications that had been impractical until now. For example, the new µ-Chip can be easily embedded in bank notes, gift certificates, documents and whole paper media etc.

The µ-Chip, announced by Hitachi in July 2001, is one of the world's smallest IC chips at 0.4mm X 0.4mm. The chip data is recorded in read-only memory during the semiconductor production process, and therefore cannot be rewritten, thus guaranteeing its authenticity. Applications of the µ-Chip include a system for managing the SCM materials on sites, and entrance tickets for Expo 2005 Aichi Japan which opens on March 25, 2005.

The primary features of this revolutionary µ-Chip are as follows.
(1) A RFID IC chip measuring only 0.4mm X 0.4mm with built-in antenna
Despite its extremely small size, this µ-Chip has a built-in antenna to permit contactless communications (at very close proximity) with other devices without using an external antenna.
(2) No need for special manufacturing equipment
The antenna is formed using bump-metalization technology (used to create the electrical contacts of an IC), a process already widely used by semiconductor manufacturers, thus eliminating any need for specialized equipment.
(3) Complete compatibility with conventional µ-Chip
With ID numbers and support systems that are fully compatible with those of existing µ-Chip, the new chip is fully compatible with all systems that use current µ-Chip technology.

Hitachi plans to develop numerous markets for this chip that take full advantage of its outstanding features. Embedding the chip in securities, identification and other valuable documents such as vouchers offers a highly sophisticated means of preventing counterfeiting. Another high-potential application is agricultural products, where the chips can help ensure the safety of food by providing traceability of ingredients. Additionally, the chips can be embedded in business forms to automate logistics systems and many other business processes.

About Hitachi, Ltd.
Hitachi, Ltd. (NYSE: HIT), headquartered in Tokyo, Japan, is a leading global electronics company, with approximately 340,000 employees worldwide. Fiscal 2002 (ended March 31, 2003) consolidated sales totaled 8,191.7 billion yen ($68.3 billion). The company offers a wide range of systems, products and services in market sectors, including information systems, electronic devices, power and industrial systems, consumer products, materials and financial services. For more information on Hitachi, please visit the company's Web site at http://www.hitachi.com.


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