TSR: Le repentir d'un agent d'influence; John Perkins
Son livre "Confessions of an Economic Hit Man" (2004), a placé l'Américain John Perkins presque deux mois au top de la liste des succès de librairie du New York Times. Stelios Koul en a tiré un documentaire politique à sensations. Perkins a été actif jusqu'en 1980 comme «Economic Hit Man», en Amérique centrale et du Sud et jusqu'au Proche-Orient. Il a agi pour les USA comme «tueur à gages économique»: maître-chanteur, suborneur, instigateur, agent.Sa tâche consistait à rendre dépendants les Etats et les clans. Des crédits par millions, l'endettement, les promesses, les manipulations étaient ses armes. Officiellement conseiller, Perkins était en réalité le sbire d'une puissance mondiale qui voulait et veut s'assurer le contrôle du pétrole et d'autres ressources.
C'est après l'attentat contre le World Trade Center qu'il a rompu son vœu de silence et qu'il s'est dévoilé devant l'opinion publique. Il a fait face à un public indigné en Equateur car, comme il l'avoue, il n'était pas étranger au décès du Président Roldos et de sa femme, morts dans un accident d'avion douteux en 1981.
D'autres implications – au Vénézuéla, en Arabie saoudite, en Irak et en Iran – sont aussi dénoncées. Même si les preuves sont lacunaires, ce docu-fiction offre un moment palpitant d'histoire contemporaine, truffé d'archives, de déclarations du Hit Man, de scènes et de rencontres reconstituées.
Les images, les faits, les conclusions et les hypothèses donnent de toute façon à réfléchir...
« La séquence finale dans mon film – quand le protagoniste se défend face aux Equatoriens – donne des raisons d'espérer ». (Stelios Koul)
A voir gratuitement durant une semaine.
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=318901&sid=10558185&related=10558135&type=voir#related
Le repentir d'un agent d'influence
Ils ne sont pas des espions, pas des barbouzes, mais ils travaillent dans l'ombre et le secret au service d'un Etat. Ce documentaire lève le voile sur la sale besogne des agents d'influence américains. Leur méthode de travail: jeter leur dévolu sur un pays - de préférence du tiers monde - aux ressources convoitées, faire en sorte qu'ils empruntent des sommes faramineuses, pour mettre en œuvre des projets réalisés par des entreprises américaines. Le pays se retrouve pris au piège de la dette. Les pressions les plus dures sont alors exécutées.
Confessions d'un tueur à gages économique, par John Perkins | |||||||||||||||||||||||||||||
Retranscription d'une interview de John Perkins, un ancien membre respecté de la communauté bancaire. Dans son livre « confession of an economic hit man » (confessions d'un tueur à gages économique ) il décrit comment, en tant que professionnel très bien payé, il a aidé les Etats-Unis à extorquer des milliards de dollars aux pays pauvres à travers le monde en leur prêtant plus d'argent qu'ils ne pouvaient rembourser pour ensuite prendre le contrôle de leurs économies. Democracy Now ! , 9 novembre 2004. Confessions d'un tueur à gage économique. Il y a 20 ans, Perkins a commencé à écrire un livre intitulé « la Conscience d'un Tueur à gage Economique » Perkins écrit, « le livre à l'origine était dédié aux présidents de deux pays, des hommes qui avaient été mes clients et que j'ai respecté et que je tenais en estime - Jaime Roldos, président de l'Equateur, et Omar Torrijos, président du Panama. Les deux sont morts dans des crashs d'avion. Leurs morts n'était pas accidentelles. Ils ont été assassinés parce qu'ils s'opposaient à l'alliance entre les dirigeants des multinationales, les gouvernement et les banques dont l'objectif est de construire l'Empire Global. Nous, les tueurs à gages économiques, n'avons pas réussi à retourner Roldos et Torrijos, alors un autre type de tueurs à gages, les chacals de la CIA, qui étaient toujours dans notre sillage, sont entrés en scène. » John Perkins écrit aussi : « on m'a convaincu de ne pas écrire le livre. Je l'ai commencé quatre fois au cours des vingt dernières années. A chaque fois, ma décision était motivée par des événements mondiaux : l'invasion du Panama par les Etats-Unis en 1980, la première Guerre du Golfe, la Somalie, et la montée d'Oussama Ben Laden. Cependant, des menaces et des pots de vin m'ont toujours convaincu de m'arrêter. » Perkins a finalement publié son livre intitulé « Confessions of an economic hit man » [confession d'un tueur à gages économique]. Il est avec nous dans les studios. AMY GOODMAN : Nous sommes avec John Perkins. Bienvenu à « Democracy Now » [titre de l'émission - NDT] JOHN PERKINS : Merci, Amy. Je suis heureux d'être avec vous. AG : Et nous sommes heureux de vous recevoir. Bien, expliquez-nous ce terme « tueur à gages économique », comme vous dites. JP : En gros, nous étions formés et notre travail consistait à construire l'empire américain. De créer des situations où le maximum de ressources étaient drainées vers ce pays, vers nos multinationales, notre gouvernement, et nous avons été très efficaces. Nous avons construit le plus grand empire de l'histoire du monde. Et nous l'avons fait au cours des 50 ans qui ont suivi la deuxième guerre mondiale, avec peu de moyens militaires en réalité. En de rares occasions, comme en Irak, les militaires interviennent mais uniquement en dernier recours. Cet empire, contrairement à tout autre empire de l'histoire du monde, a été crée d'abord par la manipulation économique, par la fraude, par la corruption de personnes avec notre mode de vie, et à travers les tueurs à gages économiques. J'en faisais partie. AG : Et comment en êtes-vous arrivé là ? Pour qui avez-vous travaillé ? JP : J'ai été recruté lorsque j'étais encore étudiant dans une école de commerce, à la fin des années 60, par l'Agence de Sécurité Nationale [NSA - acronyme anglais, NDT], la plus grande et la moins connue des agences d'espionnage du pays. A la fin, j'ai travaillé pour des compagnies privées. Le premier tueur à gage économique était Kermit Roosevelt, dans les années 50, le petit-fils de Teddy [président des Etats-Unis - NDT] , qui renversa le gouvernement Iranien, un gouvernement démocratiquement élu, le gouvernement de Mossadegh qui avait été désigné « homme de l'année » par le magazine Time. Il a réussi à le faire sans verser de sang - enfin, il y en a eu un peu, mais sans intervention militaire, juste en dépensant des millions de dollars et en remplaçant Mossadegh par le Chah d'Iran. A ce stade, nous avons compris que l'idée d'un tueur à gages économique était une très bonne idée. Nous n'avions plus à nous préoccuper d'un risque de conflit armé avec la Russie en opérant ainsi. Le problème était que Roosevelt était un agent de la CIA. Il était donc un employé du gouvernement. S'il avait été découvert, nous aurions eu de gros ennuis. Cela aurait été très embarrassant. Alors la décision a été prise de faire appel à des organisations comme la CIA et la NSA pour recruter des tueurs à gages économiques comme moi et nous faire travailler pour des sociétés privées, des sociétés de conseil, de construction. Ainsi, si on se faisait prendre, il n'y avait aucun lien avec le gouvernement. AG : D'accord. Pour qui avez-vous travaillé ? JP : Et bien, le compagnie pour laquelle je travaillais s'appelait Chas. T. Main à Boston, Massachusetts. Nous avions environ 2000 employés, et je suis devenu leur économiste en chef. J'avais 50 personnes sous mes ordres. Mais mon véritable job était de conclure des affaires. J'accordais des prêts à des pays, des prêts énormes, qu'ils ne pouvaient pas rembourser. Une des clauses du prêt - disons 1 milliard de dollars pour un pays comme l'Indonésie ou l'Equateur - était que le pays devait retourner 90% du prêt à des compagnies états-uniennes, pour reconstruire des infrastructures, des compagnies comme Halliburton ou Bechtel. Ce sont de grosses compagnies. Ces compagnies ensuite construisaient des réseaux électriques ou des ports ou des autoroutes qui ne servaient qu'aux quelques familles les plus riches de ces pays. Les pauvres de ces pays se retrouvaient en fin de compte avec une dette incroyable qu'ils ne pouvaient absolument pas payer. Un pays aujourd'hui comme l'Equateur consacre 50% de son budget national juste pour rembourser sa dette. Et il ne peut pas le faire. Ainsi nous les tenons à la gorge. Si nous avons besoin de plus de pétrole, nous allons voir l'Equateur et nous leur disons, « Bon, vous ne pouvez pas nous rembourser, alors donnez à nos compagnies les forêts d'Amazonie qui regorgent de pétrole. » C'est ce que nous faisons aujourd'hui et nous détruisons les forêts amazoniennes, obligeant l'Equateur à nous les donner à cause de cette dette. Ainsi, nous accordons ce gros prêt, et la majeure partie revient aux Etats-Unis. Le pays se retrouve avec une dette plus d'énormes intérêts et il devient notre serviteur, notre esclave. C'est un empire. Ca marche comme ça. C'est un énorme empire. Qui a eu beaucoup de succès. AG : (...) Vous dites que vous avez longtemps retardé l'écriture de ce livre pour cause de pots de vin et d'autres raisons. Que voulez-vous dire par là ? Qui a tenté de vous acheter ou quels sont les pots de vin que vous avez acceptés ? JP : Et bien, dans les années 90, j'ai empoché un demi million de dollars pour en pas écrire le livre. AG : De qui ? JP : D'une grosse société de construction. AG : Laquelle ? JP : C'était la compagnie Stoner-Webster. Légalement, ce n'était pas un pot de vin. J'étais payé comme consultant. C'était tout à fait légal. Mais je n'avais pas de travail, en réalité. Il était entendu, comme je l'explique dans mon livre, que je n'aurais en réalité pas grand chose à faire si j'acceptais cet argent en tant que consultant, alors qu'ils savaient que j'étais en train d'écrire le livre qui, à l'époque, devait s'intituler « la conscience d'un tueur à gage économique ». Il faut dire que c'est une histoire extraordinaire, c'est presque du James Bond. AG : En tous cas, c'est l'impression que l'on en retire à la lecture du livre JP : Oui, et ça l'était réellement, vous savez. Lorsque la NSA m'a recruté, ils m'ont fait passer au détecteur de mensonges pendant une journée entière. Ils ont découvert toutes mes faiblesses et m'ont immédiatement séduit. Ils ont utilisé les drogues les plus puissantes de notre culture, le sexe, le pouvoir et l'argent, pour me soumettre. Je venais d'une très vieille famille de la Nouvelle Angleterre, Calviniste, fortement imprégéé de valeurs morales. Vous savez, je crois que je suis plutôt quelqu'un de bien, et je crois que mon histoire montre réellement comment ce système et ses puissantes drogues comme le sexe, l'argent et le pouvoir peuvent exercer une séduction, parce que j'ai été réellement séduit. Et si je n'avais pas mené moi-même cette vie de tueur à gages économique, je crois que j'aurais eu du mal à croire que quelqu'un puisse faire de telles choses. Et c'est la raison pour laquelle j'ai écrit ce livre, parce que notre pays a vraiment besoin de comprendre. Si les gens de ce pays comprenaient la nature réelle de notre politique étrangère, la nature réelle de notre aide à l'étranger, comment fonctionnent les multinationales, où passe l'argent de nos impôts, je sais qu'ils demanderaient que cela change. AG : Dans votre livre, vous expliquez comment vous avez participé à la mise en place d'un plan secret destiné à rapatrier des milliards de dollars du pétrole Saoudien vers les Etats-Unis, ce qui a renforcé les liens entre le régime Saoudien et les administrations successives US. JP : Oui, c'était une époque fascinante. Je me souviens bien, vous étiez probablement trop jeune pour vous en souvenir, mais je me souviens au début des années 70 comment l'OPEP exerçait son pouvoir pour réduire la fourniture de pétrole. Nous avions des files de voitures devant les pompes à essence. Le pays avait peur d'une nouvelle crise comme celle de 1929, une récession. Et ceci était inacceptable. Alors le Département du Trésor m'a embauché avec quelques autres tueurs à gages économiques. Nous sommes allés en Arabie Saoudite. AG : On vous appelle réellement des tueurs à gages économiques ? JP : Oui, c'est comme ça que nous nous appellons. Officiellement, j'étais un économiste en chef. Mais nous nous appelions les tueurs à gage économiques. C'était de l'ironie. C'était pour dire que personne ne nous croirait si nous le disions, vous comprenez ? Alors nous sommes allés en Arabie Saoudite au début des années 70. Nous savions que l'Arabie Saoudite était la clé de notre indépendance énergétique, ou le moyen de contrôler la situation. Et nous avons donc monté cet accord où la Maison Royale Saoudienne était d'accord pour nous envoyer la majeure partie de leurs petro-dollars, et les investir aux Etats-Unis. Le Département du Trésor utiliserait les intérêts de ces investissements pour engager des compagnies US pour reconstruire de nouvelles villes en Arabie Saoudite, de nouvelles infrastructures, et c'est que nous avons fait. Et la Maison Royale garantirait le prix du pétrole dans des limites acceptables pour nous, chose qu'ils ont fait pendant tout ce temps. En échange, nous assurions leur maintien au pouvoir tant qu'ils respecteraient l'accord, ce que nous avons fait, et c'est une des raisons pour lesquelles nous sommes entrés en guerre en Irak. En Irak, nous avons essayé la même politique avec Saddam Hussein, mais Saddam n'a pas marché dans la combine. Lorsque les tueurs à gages économiques échouent, l'étape suivante est d'envoyer ce que nous appelons les chacals de la CIA, à savoir des personnes qui tentent de fomenter un coup d'état ou une révolution. Si ça ne marche pas, ils recourent aux assassinats, ou ils essaient. Dans le cas de l'Irak, ils n'ont pas réussi à atteindre Saddam Hussein. Ses gardes du corps étaient trop efficaces. Il avait des sosies. Ils n'ont pas réussi à l'atteindre. Alors la troisième ligne de défense, si les tueurs à gages économiques échouent et si les chacals échouent, c'est d'y envoyer des jeunes hommes et des jeunes femmes pour tuer et se faire tuer. Ce qui est évidemment en train de se passer en Irak. AG : Pouvez-vous nous expliquer comment est mort Torrijos ? JP : Omar Torrijos, le président du Panama, avait signé un accord sur le Canal du Panama avec Carter. Vous savez que cet accord n'a été approuvé par le Congrès que par une majorité d'une seule voix. C'était un sujet très controversée. Puis Torrijos est allé de l'avant et a commencé à négocier avec les Japonais la construction d'un nouveau canal. Les Japonais voulaient financer et construire un nouveau canal au Panama. Torrijos leur en a parlé, ce qui n'a pas plus du tout à Bechtel Corporation, dont le président était George Schultz, et son conseiller principal était Casper Weinberger. Lorsque Carter a été viré (et il serait intéressant de raconter comment il a été effectivement viré), lorsqu'il a perdu les élections, et que Reagan est arrivé au pouvoir, Schultz est devenu Secrétaire d'Etat et Weinberger est devenu Secrétaire à la Défense et ils étaient très en colère contre Torrijos. Ils ont essayé de l'amener à renégocier le traité du Canal et de laisser tomber les japonais. Il a platement refusé. C'était un homme de principes. Il avait ses défauts, mais c'était un homme de principes. C'était un homme étonnant. Puis il est mort dans un crash d'avion, un magnétophone relié à une bombe avait été placé dans l'appareil. J'y étais. J'avais travaillé avec lui. Je savais que nous, les tueurs à gages économiques, avions échoué. Je savais que les chacals avaient été appelés. Puis son avion a explosé avec un magnétophone piégé. Il ne fait aucun doute pour moi que c'était un travail de la CIA. De nombreux enquêteurs latino-américains sont arrivés à la même conclusion. Bien sûr, nous n'en avons jamais entendu parler chez nous. AG : Et quand avez-vous changé d'idées ? JP : J'ai toujours eu un sentiment de culpabilité, depuis le début, mais j'étais séduit. Le pouvoir, le sexe, l'argent exerçaient une forte attirance sur moi. Et bien sûr, je faisais des choses pour lesquelles j'étais félicité. J'étais un économiste en chef. Je faisais des choses qui plaisaient à des gens comme Robert McNamara, et ainsi de suite. AG : Quels étaient vos relations avec la Banque Mondiale ? JP : Je travaillais en très étroite collaboration avec la Banque Mondiale. La Banque Mondiale fournit la majeure partie de l'argent utilisé par les tueurs à gages économiques, ainsi que le FMI. Mais après les attentats du 11 Septembre, j'ai changé. Je savais que je devais raconter l'histoire parce que les événements du 11 septembre sont le résultat direct du travail des tueurs à gages économiques. Et la seule manière pour retrouver la sécurité dans ce pays et retrouver une conscience tranquille serait d'utiliser ces mécanismes que nous avons mis en place pour apporter des changements positifs à travers le monde. Je crois réellement que nous pouvons le faire. Je crois que la Banque Mondiale et d'autres institutions peuvent être changées et être amenées à faire ce qu'elles sont censées faire, qui est de reconstruire les zones dévastées de la planète. Aider, aider réellement les pauvres. 24 000 personnes meurent de faim chaque jour. Nous pouvons changer cela. plus sur www.versdemain.org Zeitgeist: AddendumFrom Wikipedia, the free encyclopediaJump to: navigation, search
Zeitgeist: Addendum, a 2008 documentary film produced by Peter Joseph, is a continuation of the film Zeitgeist, the Movie.[1] The film includes conspiracy theories[citation needed] regarding the Federal Reserve System in the United States, the CIA, corporate America and others, concluding with the advocating of the Venus Project, created by social engineer Jacque Fresco. The movie premiered at the 5th Annual Artivist Film Festival in Los Angeles, California on October 2, 2008, and was released free online on October 4, 2008.[2] According to director Peter Joseph, the film "attempts to locate the root causes of this pervasive social corruption, while offering a solution".[3] In conclusion, Addendum stresses the need for belief systems to embrace the ideas of emergence and interdependence and outlines concrete steps that can be taken to weaken the monetary system[4].
[edit] Film ContentZeitgeist: Addendum consists of four parts: [edit] Part IEntry quote: "None are more hopelessly enslaved than those who falsely believe they are free." -- Johann Wolfgang von Goethe, 1749-1832. This part starts with a short summary of how the monetary supply and the Federal Reserve bank work based on the document Modern Money Mechanics: A Workbook on Bank Reserves and Deposit Expansion. [edit] Part IIEntry quote: "There are two ways to conquer and enslave a nation. One is by sword. The other is by debt." This part has a documentary style, activist John Perkins is interviewed and presents the figure of the Economic Hitman (EHM), describing how, according to him, the CIA and the ruling political/corporate elites have worked to undermine legitimate foreign regimes who put the interests of their populations before those of transnational corporations. [edit] Part IIIEntry quote: "Greed and Competition are not the result of immutable human temperament... greed and fear of scarcity are in fact being created and amplified... the direct consequence is that we have to fight with each other in order to survive." -- Bernard Lietaer, founder of the EU Currency System. This part describes the Venus Project, as described below. [edit] Part IVEntry quote: "My country is the world... and my religion is to do good." -- Thomas Paine, 1737-1809. Part IV states that everything wrong with the world - "perpetual warfare, corruption, oppressive laws, social stratification, irrelevant superstitions [religion], environmental destruction, and a despotic, socially indifferent, profit-oriented ruling class, is fundamentally the result of a collective ignorance of two of the most basic insights humans can have about reality - the 'emergent' and 'symbiotic' aspects of natural law." EMERGENT LAW All systems - knowledge, society, technology, philosophy, etc. will, when uninhibited undergo fluid, perpetual change. SYMBIOTIC LAW There is no such thing as independence in nature. We are all one. "If it's true that we're all from the center of a star, every atom in each of us from the center of a star, then we're all the same thing. Even a Coke machine or a cigarette butt in the street in Buffalo is made out of atoms that came from a star. They've all been recycled thousands of times, as have you and I. And therefore, it's only me out there. So, what is there to be afraid of? What is there that needs solace-seeking? Nothing. There's nothing to be afraid of because it's all us. The trouble is we have been separated by being born and given a name and an identity and being individuated. We've been separated from the oneness and that's what religion exploits, that people have this yearning to be part of the overall "one" again. So they exploit that, they call it "God," they say he has rules, and I think that's cruel. I think you can do it absent-religion." -- George Carlin, 1937-2008. "We are one species. We are star stuff harvesting star light." -- Carl Sagan, 1934-1996. [edit] Suggested actions for Social TransformationZeitgeist: Addendum suggests actions for social transformation including:
[edit] The Venus Project
The Venus Project by Jacque Fresco is promoted in the film as a sustainable solution for mankind on earth. Its main goal is to produce a "resource-based economy" using modern technology. It, like Zeitgeist, claims the monetary system is a flawed institution that inevitably is self-destructing. The next step in civilizing the world, then, is to eliminate greed, wealth, discrimination, and bad behavior by eliminating money. In a resource-based economy, everyone is given whatever he/she needs for free. 90% of jobs will be completely phased out through automation, a negative thing in a monetary system. Thus, freeing humans to pursue meaningful interests, rather than flipping burgers or moving boxes.[citation needed] As Jacque Fresco states in the movie, " 'You've got to have a price tag. What'll motivate people? A man gets everything he wants he'll just lay around in the sun.' This is the myth they perpetuate. People in our culture are trained to believe that the monetary system produces incentive. If they have access to things, why should they want to do anything? They will lose their incentive - that's what you're taught, to support the monetary system....When people have access to the necessities of life their incentives change. 'What about the moon and the stars?' New incentives arise. If you make a painting that you enjoy, you will enjoy giving it to other people, not selling it." [edit] Reception and awardsG. Edward Griffin criticized the film for promoting collectivist ideas, saying "this program does NOT offer a cure. It offers a mega dose of the disease itself."[5] Alex Jones gave the film a negative review, stating the film "says good things but offers false solutions."[6] He believes the film is "like rat poison. 98% good, but the 2% kills you." Zeitgeist: Addendum won the "Artivist Spirit Award - Best Feature" at the 2008 Artivist Film Festival. The film had its global premiere during the festival's opening night, which was attended by a sold-out audience of 600 people.[3] Festival co-founder Dr. Bettina Wolff stated:
On October 9, 2008 the film became rated as top 19th at the Guardians Weekly Viral Video Chart, which is based on a count of the embedded videos and links on approximately 2 million blogs[8]. [edit] Basic sources cited in the movieAt the end of the movie and on it's website, the following sources are cited:
[edit] References
[edit] External links
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Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
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RSR: Espions et compagnie
Cette semaine, Histoire vivante se consacre aux métiers de l'ombre ; de l'espion à l'agent d'influence, les États n'hésitent pas à envoyer des professionnels d'un genre particulier dans les pays ennemis ou possédant de grandes ressources économiques ou stratégique.
Cette semaine, RSR La 1ère reçoit le lundi 13 avril Christian Harbulot, créateur et directeur de l'école de Guerre Économique (EGE) et directeur associé du cabinet Spin Partners, ainsi qu'Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R). Il est également professeur-associé à l'université Montesquieu-Bordeaux IV, où il a créé la première formation universitaire consacrée à l'étude du renseignement en France.
Sur le même thème, TSR2 propose le dimanche 19 avril à 20:30 le documentaire de Stelios Koul, « Le repentir d'un agent d'influence » qui décrit le métier d'agent d'influence, qualifié par certains de « tueur à gages économique ».
Histoire Vivante: à écouter du lundi au vendredi sur Radio Suisse Romande La 1ère à 15h, à voir sur TSR2 le dimanche à 20h35, rediffusion le lundi à 22h50, et à lire dans La Liberté chaque vendredi.
Attention: le lien sur les émissions de la RSR ne fonctionne qu'après la diffusion. Les documentaires d'Histoire Vivante sont à voir et à revoir gratuitement sur le site 7 jours après leur passage à l'antenne. Pour des questions de droits, certains films ne sont pas disponibles.
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Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
Suisse, Switzerland
Jean-Paul II a notamment comparé le rapport sexuel chaste entre les époux chrétiens à l'adoration eucharistique. Marie est la Mère de Jésus, c'est l'épouse du St Esprit et c'est la fille de Dieu le Père. Pour St Amédée de Lausanne, l' union spirituelle du St Esprit lors de la fécondation de Marie, passe par sa chair et s'accomplit selon les mêmes principes que l'acte charnel : "Homélies", III : "Spiritus sanctus superveniet in te, ut attactu eius venter tuus contremiscat, uterus intumescat, gaudeat animus, floreat alvus".
Les catholiques ne sont pas coincés...
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