mercredi 14 octobre 2009

Emprunt avec un taux d'intérêt à zéro

Reçu ce mardi par les ministres du Travail et du Budget, le président de la CFTC Jacques Voisin a demandé à ce que le futur grand emprunt soit assorti d'un taux d'intérêt égal à zéro.




La centrale syndicale CFTC a demandé ce mardi à ce que le grand emprunt - annoncé par Nicolas Sarkozy le 22 juin devant le Parlement - soit assorti d'un taux d'intérêt égal à zéro.

Ainsi "les banques prendront un peu des risques [inhérents à l'opération], et l'État [et donc le contribuable] sera en situation plus favorable pour rembourser", a déclaré son président Jacques Voisin après avoir été reçu par le ministre du Travail, Xavier Darcos, et le ministre du Budget, Eric Woerth. Ces derniers ont démarré lundi leurs consultations sur le sujet  auprès des partenaires sociaux.

"J'ai évoqué la question du montant de l'emprunt, pour savoir s'il s'élèverait autour de 30 milliards d'euros, comme il est écrit dans la presse, et les ministres ont indiqué que rien n'était décidé, qu'il n'y avait pas eu d'arbitrage sur le sujet", a aussi déclaré le syndicaliste. Selon le quotidien Les Échos de ce mardi matin, citant "plusieurs sources" non identifiées, le grand emprunt devrait être un peu supérieur à 20 milliards d'euros, et au maximum de 40 milliards.

A ne pas confondre avec un plan de relance

"Pour nous la priorité est que l'emprunt soit affecté à court terme à la réponse de besoins sociaux comme l'emploi, avec la construction de maisons de retraite, de logements ou d'infrastructures", a-t-il dit. Viennent ensuite des projets qui "favorisent le développement durable" et le "financement de la recherche dans des filières de demain".

"On nous a répondu que le grand emprunt n'avait pas vocation à faire de l'aménagement du territoire, et qu'il ne fallait pas le confondre avec un plan de relance, mais pour nous c'est plutôt un plan de relance II", a ajouté Jacques Voisin.

Le secrétaire d'Etat au Logement, Benoist Apparu, avait déclaré en septembre que le grand emprunt ne servirait pas à financer le secteur du logement, étant destiné à apporter "une croissance forte à la France pour les décennies à venir".

Prudence du Medef

Le grand emprunt "ne sera utile à notre pays que si les projets initiés sont d'une manière certaine rentables à un horizon raisonnable", a pour sa part estimé la présidente du Medef, Laurence Parisot, qui était également reçue par les ministres ce mardi. 

L'organisation patronale a également insisté pour que le grand emprunt débouche sur un "nombre restreint de projets" bénéficiant à tous les secteurs et toutes les tailles d'entreprises, en permettant notamment de renforcer les fonds propres des PME.

latribune.fr

Voici un graphique qui montre que pour maintenir 100 $ en circulation avec le système actuel de création monétaire, il nous en coûte à tous chaque jour de plus en plus cher.


Crise provoquée inexorablement simplement pour maintenir à flot la masse monétaire du pays concerné...empirée chaque année exponentiellement et aggravée car à chaque remboursement de crédit, le montant correspondant est détruit automatiquement par le système fractionnaire...

Voici un exemple d'un pays, le Canada,  qui ne met plus aucune limite à ces créations monétaires.

dette du Canada
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie,
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
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Pollution www.m-c-s.ch
L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression


Tout coûte plus cher, mais l'essentiel du budget va aux banquiers qui gagnent des sommes folles en regardant leur montre, jour et nuit, y compris les jours fériés.

Le capital prêté a bien été créé à partir de rien, puisqu'aucune monnaie n'a circulé. Il ne s'agit pas de l'argent de Pierre, Paul et Jacques qu'on a prêté à Robert puisque les trois compères peuvent toujours vider leur compte à l'aide de leur carte de crédit, de leur chéquier ou d'une évasion de capitaux (ça s'appelle virement quand la destination est connue).

Le capital emprunté par Robert devra être remboursé, le plus souvent il faut le rappeler, par son travail (l'économie réelle qui crée les vrais richesses, palpables), et bien que cet argent ait surgi de la sphère financière. Le-dit capital une fois remboursé, sera annihilé. Il disparaîtra de l'économie. Cela renforce le problème des crises voulues par leur système, à savoir qu'il n'y a jamais eu, et qu'il n'y aura jamais assez de monnaie (sous quelque forme que ce soit) pour rembourser toutes les dettes contractées.

Le scandale selon moi c'est que la seule monnaie véritablement créé, les intérêts, va toujours dans la poche du banquier (qui en reverse quand même une partie à ses épargnants). Il me semble inadmissible que le pouvoir de création monétaire soit détenu par des privés, je trouve cela incroyable dans une société qui se dit démocratique.

Accessoirement, si c'était un établissement public qui créait la monnaie, l'Etat ne pourrait jamais être endetté (il ne se verserait pas à lui-même des intérêts). De braves économistes ont soutenu que l'Etat ne savait pas user sagement du pouvoir de créer la monnaie et qu'il était responsable de la crise de 74. Tout le monde trouva cette réflexion lumineuse et s'empressa de confier le pouvoir monétaire aux privés, nonobstant les avertissements de l'histoire. Je trouve ça complètement fou. La crise du subprime et ces mille milliards de $ écrasent les familles et les citoyens, pour engraisser quelques renards rusés aux salaires honteux.


Kennedy a dénoncé les sociétés secrètes qui profitent de ce système de voleurs.

"Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d'anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique."

John F. Kennedy, (A l'université de Columbia, 12th Nov. 1963 - 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)

Le chauffeur est mort 3 semaines après d'un étrange cancer foudroyant. Nombreux impliqués dans cette affaire seront victimes d'une mort brutale peu de temps après les faits (accidents de la route notamment).
Il y a donc des complots, not. financiers, voir Ferraye, 9-11, UBS, Or suisse etc...

Le 4 Juin 1963, le President Kennedy a signé un document
présidentiel nommé l'Ordre Exécutif 11110, lequel a modifié l'Ordre Exécutif 10289 de 19 Septembre 1961.

Le Président des États Unis a exercé le droit juridique de produire l'argent, sans intérêts et libre de dettes. Il avait déjà
imprimé les billets des États Unis en ignorant complètement les billets de la Réserve Fédérale des banques privées (le FED est une organisation privée, sic.) Les registres montrent que Kennedy avait imprimé § 4,292,893,825.
Quelques mois après, en Novembre 1963, on l'a assassiné.

Le President Kennedy avait de plus l'intention d'abroger l'Acte de la Fédéral Reserve voté la veille de Noël 1913 et de redonner au Congrés des États Unis le droit de créer son propre argent.


"L'ordre exécutif 11110 a été abrogé par le Président Lyndon Baines Johnson, trente-sixième président des Etats-Unis - de 1963 à 1969 - alors qu'il se trouvait dans l'avion présidentiel AirForce One, entre Dallas et Washington, le jour même de l'assassinat du Président Kennedy " écrivait un chroniqueur. Cette affirmation n'est pas exacte : le décret présidentiel n'a jamais été officiellement abrogé, mais son application fut suspendue. Fut abrogée l'autorisation d'imprimer de nouveaux billets et de frapper de nouvelles pièces, si bien que l'Executive Order n° 11110 demeure officiellement en vigueur ... dans la stratosphère. On a donc retiré de la circulation ou détruit tous les billets des États Unis imprimés par Kennedy, par suite d'un ordre exécutif du nouveau President Lyndon Johnson, le même qui a donné l'ordre de couler le USS Liberty au large d'Israël et par Israël...


Cet assassinat était peut-être un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à Jahn Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette. Jahn Fitzgerald Kennedy aurait payé de sa vie cette provocation à la puissance de la finance internationale. Mais nous sommes là dans le domaine des innombrables coïncidences troublantes qui ont jalonné la vie de ce Président même si la célérité de la décision du Président Johnson donne du crédit à cette supposition. Eustace Mullins rappelle que le Président Abraham Garfield avait lui aussi été assassiné le 2 juillet 1881 après avoir fait une déclaration sur les problèmes de la monnaie. (5)Que de coïncidences !

Depuis le Président Kennedy, aucun successeur ne s'est avisé d'apporter la moindre réforme au fonctionnement de la FED.

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