Nicolas G. Hayek, président de Swatch Group, estime que "le creux de la vague horlogère pourrait être derrière nous". Le président du conseil d'administration ne veut pas licencier mais économiser sur les coûts d'achat. Il ne veut pas non plus profiter de la crise pour acquérir d'autres entreprises fragilisées, rapporte "L'Agefi" de lundi (23.02.2009).
Interrogé sur ses attentes du salon horloger de Bâle (Baselworld, en mars), il répond que "l'année est encore bien jeune et les répercussions de la crise financière demeurent insaisissables. D'un côté, nous nous attendons à un recul des ventes durant le premier semestre de cet exercice".
Ces deux derniers mois, la régression atteignait une ampleur de l'ordre de 10, quelquefois même 14%, précise-t-il. D'un autre côté, Swatch a des indicateurs avancés plutôt positifs émanant de son réseau de distribution. "Il semblerait que le creux de la vague soit derrière nous, sur la base des chiffres disponibles pour février. Mais attention, cela ne vaut pas dire que nous sommes parvenus au bout du tunnel. Nous escomptons un redressement sur la deuxième partie de l'année", avertit M. Hayek.
Pour réduire ses coûts, il ne veut pas licencier, mais économiser "dans l'achat de matériel qui représente entre 30 à 40% de l'ensemble du chiffre d'affaires". Le groupe ne veut pas profiter de la crise pour acquérir d'autres sociétés.
M. Hayek insiste sur la brutalité de la crise actuelle. "Le monde est en train de connaître un énorme bouleversement. Une crise sans précédent qui s'est abattue en quelques semaines sur l'ensemble de la planète. Du jamais vu. L'impact de la crise a été brutal massif, inimaginable. Des milliards de francs de richesse ont été détruits".
Zurich (AWP) -
sm/mm
(AWP/23 février 2009 09h06)Une autre sources emploie même des mots plus durs et cinglants...
Comment nous volent-ils ?
« Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs.
Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d'économie en 1988
De plus, Helmut Creutz a calculé que, du fait de l'ajout du coût de
l'intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits ...que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système actuel.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c'est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes...
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s'accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s'écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère.
Les petits de l'argent prennent la place des petits des hommes....la
démographie s'écroule et l'économie suit...notre civilisation est
mortelle...
Propositions de solutions voir www.pavie.ch
Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d'amendes,
d'impôts.... Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.
Primes d'assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, électricité, eau, pétrole, gaz, amendes de stationnement,etc.…
Politique des petits copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogues,....
Nous pourrions tous au moins vivre dans la simplicité et éviter ces
millions de morts de faim et de maladies simples à
soigner, grâce aux machines, aux robots et au progrès.
Des voleurs profitent de la productivité. Il serait bon de se partager ou mieux de
distribuer les profits et les produits des machines. Mais nous vivons
encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et
caché basé sur la peur de la disette.
Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils. Un pour tous,
tous pour un. Gauche, droite, c'est vieux jeu. Soyons unis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire