Michel Langinieux
8, rue Édouard Detaille,
75017 Paris.
Tel : 01 42 67 22 62
Paris, le 25 octobre 2010
MORTS D'INNOCENTS IMPOSÉES PAR AUTORITÉ JURIDIQUE
VOEUX PIEUX AUX JUGES DE CE PAYS
Laisser crever d'amiante des humains par centaines de milliers, sans qu'aucun employeur ne soit jamais mis en prison, ni aucun empoisonneur arrêté... sur cent ans : c'est quoi, Juges ? Une patrie fratricide sur inexistence encrassée ? Ce mépris de la vie humaine.
Déliquescence et maladies mentales s'enlisent ici, dans des affaires de sang contaminé et de vin plombé (le saturnisme, sous ses divers aspects). Régalez-vous Juges. Faites durer !
La cocagne offre sa piètre ignorance sur des habitudes, traditions, et langages rapaces. Plus. Et plus d'automatisme.
L'on tue à bon compte en France. Jamais assez, ni aussi facilement.
Nous croupissons sous le joug d'armada de bureaucrates, de vrais Gremlins. Ils se croient tout permis. Ils ne savent, hélas pas, ce qu'ils font, coincés par force propagande. Conditionnés. Et s'ils le savent, cela en dit long sur qui ils sont.
Personne ne les réveillera, le refus juridique oblige : « Un siècle de carte blanche. Comme il vous plaira ». D'où les dégâts. Des morts comme s'il en pleuvait.
Qu'une Fac meurtrière s'obstine à mentir, tricher, tuer, casser, salir et couvrir, puis persiste avec ses signatures sur fausses écritures et détournements de fonds publics à des fins fallacieuses, simplement parce que la justice "attend, depuis quinze ans, qu'une victime porte plainte pour pouvoir agir". C'est quoi, ce déni du sens ?
Une maladie mentale cul-cul la praline, à l'état pur ?
Une raison valable pour laisser trucider ? Encore une ?
Qui sortira du bois dormant de pareil faire semblant contre des personnes en danger, et d'autres disparues ? Le faire semblant des juges : Olivier PERRUSSET, Nicolas BONNAL, Michèle VAUBAILLON, Joëlle LACKMANN, jusqu'au chiffre « 88 », ce double infini d'incivisme.
Pis encore : l'invincible incurie, incrustée.
Quoi que l'on dise ou prouve, quels que soient les chiffres, témoignages, réalités criantes, pertes irréparables, une pourristrature non avenue, inutile... attend. Quoi ? Une vache à traire ?
GODOT ?
Si, par hasard, GODOT se pointe, le voilà bon pour... "la correctionnelle" !
On tourne autour du pot.
ASSEZ de jugements rendus par vous, Juges repus de refus systématiques.
Qu'on ordonne les jugements du peuple : LES ASSISES !
Outre les milliers d'ordonnances sans notifications requises, incomplètes, qui dérapent indéfiniment sous leurs façons déloyales de berner les malades, les familles et l'ensemble des victimes.
Par procrastination et l'absence imposée de réponse. Je constate :
Le cas de celui qui, sur son ordonnance de non-lieu se voit privé de recours en violation d'un principe constitutionnel fondamental, devrait être d'emblée motif de cassation. Non ? Mais non pas. On ergote.
La cassation, elle-même, absente, ne répond pas. Elle suit son cours. Elle muse.
Les formes de la notification sont, pourtant, requises par la loi, n'en déplaise à ceux qui ordonnent le contraire.
Car si personne ici ne connaît l'équilibre CONSTITUTIONNEL, c'est par un fait exprès : personne n'est informé des délais et recours.
Dans une ignorance volontairement imposée par le pénal, nos concitoyens continuent à dormir sous une mainmise qui masque l'obligation législative établie.
Personne, sous ces usages, ne peut rien dire ni réclamer, puisque démuni d'une information essentielle : les formes utilisées ! Le droit de s'exprimer. De se défendre !
Telle imposition au silence totalitaire résulte en apathie publique.
L'apathie publique n'est pas la paix publique, mais une façon inconstitutionnelle de cacher la réalité, de couvrir la loi et l'ordre public. Ce que pratique la Sorbonne Nouvelle.
Ce déni de justice regrettable se trouve en contradiction Constitutionnelle avec la Cour européenne ; contraire, de plus, au principe du contradictoire. À l'article Premier du C.p.p.
La France se voit privée de sa Constitution par des magistrats de cassation et leurs associés sbires.
L'ordonnance de non-lieu sans notifications requises ne fait pas courir le délai d'appel (Art. 183 C.p.p.). Le jugement n'est pas exécutoire et le tribunal ne peut statuer au fond (Art. 507 du C.p.p.).
Nos autorités avec grandes difficultés à respecter lesdits articles veulent empêcher tout contrôle et contestation.
De quel droit ?
Cette carence de document judiciaire soulève force points :
- Mépris des droits du citoyen.
- Mainmise sur le peuple, maltraité par cette non-application délibérée de la loi.
- Autorité judiciaire infirmant l'action, imposant l'incapacité d'exercer tout recours.
- Manque délibéré d'intention d'informer.
- Impossibilité pour le requérant de contribuer, de contester.
- Protection et nécessité du Législateur nié.
- Délai constitutionnel qui ne court jamais.
- Volonté d'éviter toute contribution citoyenne.
- Absence d'invitation vers l'autorité supérieure près laquelle le requérant peut réclamer.
- Manière pratique de se débarrasser du réclamant.
- On classe !
- Tout est réglé. Tout se tait. Moins de travail : encore une belle journée.
- Qui y gagne ?
- Qui y perd ?
Que se sachent donc ouvertement, les abus autoritaires d'une Nation sous-développée en conscience, dite "des Droits de l'Homme".
Que les victimes témoignent. Que le peuple décide ! Car seuls "les spécialistes et officiels qui savent" ont droit à la parole. C'est dire ! Les « Rapports parlementaires et ceux du Sénat » sur l'amiante offrent un parfait exemple, noir sur blanc, des états généraux d'un immobilisme décrit par les experts et officiels qui en font partie. En bloc. À lire, absolument.
Il y a 700 ans déjà, 120 respectables juges de l'Académie de Paris furent saisis pour faire griller une bergère qui avait des pouvoirs. Ces pouvoirs devaient déranger leurs majestés qui n'en montraient guère. Sauf pour tromper, tronquer et saccager. Sous bénédiction, absolution, et rédemption. Sacré bloc. Sacré procès.
Le pli fut pris. Les 120 juges aussi. CAUCHON oblige.
Toujours présents, hélas. Pour toujours enchâssés dans la même mentalité.
Quant aux avocats, avant de parvenir à en découvrir UN bien réel (concerné par la santé, la sécurité, et ne sortant pas d'un "même moule adopté"), j'en ai obtenu une vingtaine - patelins en diable, désignés ou constitués - dispensés d'éthique. Indisponibles à l'urgence. Indifférents aux crimes autorisés. À qui trahira autrui au summum de son manque de parole et d'intégrité. Absents au sens d'une mission sanitaire énorme ou de protection sur la capitale plus d'une décennie !
Corinne LEPAGE, désignée avec son accord par le Bâtonnier, pour défendre Censier devant la Cour Administrative d'Appel de Paris, ne m'a pas envoyé un mot en cinq ans et demi. Vrai ! Cette "écologiste" prêchi-prêcha tout va, laisse mourir une Fac en plein Paris sans en être autrement dérangée. Qui la réveillera, elle et ses 25 collègues de cabinet ? Le Grand argentier ?
Bernard FAU décide de ne pas plaider le lundi de Pentecôte 2005. Mais le Vice-Président Olivier PERRUSSET et l'avocate WILLIÉ de la partie adverse s'y trouvent, eux, en 31e chambre. Et comment ! Deux millions de personnes exposées. Des malades, des morts en perspective. Maître FAU promet : "Une petite note suffira". Jamais vue, jamais pondue, la note. Ce "conseil" absent n'a pas plus d'écoute que de compréhension, que de compassion, manifestement. Il en profite pour m'insulter au téléphone. Son côté prima donna n'a pas supporté que je me défende seul par écrit, pour remplacer son inexistence en la matière.
Devons-nous nous écraser devant un statu quo aussi statique ? Pourquoi tel corporatisme rétrécissant, révélateur d'incivisme ? D'emblée, la nécessité d'un clan, d'une clique, d'une troupe. En bloc. Une tribu pour suiveurs aux ordres. Des encadrés décident du dernier cri. Plaisir de participer au rucher quand on ne pense pas par soi-même.
À la niche. Aux ordres ! L'autorité dixit !
À la laisse, à la lèche.
Plus fort encore : nos Gilles de RAIS fonctionnarisés - petits et hauts - participent pour s'assouvir, à des rituels de viols et tortures, non sur eux, mais sur des enfants. En groupe. Ces boucheries dissimulées par une justice achetée (le monde particulier de Pierre ROCHE, Président des chambres à Montpellier, salement assassiné et promptement incinéré) : c'est quoi, Juges ?
Ces trafics se pratiquent en familles politiques, maçonnes, sectaires, ou autres : des massacres monstrueux.
DE MALADES MENTAUX, tarés.
DE MONSTRES SOUTANÉS, dépravés.
D'ASSASSINS RESPECTABLES ENSEMBLE, se régalant. Sous drogues souvent.
Qui arrêtera ces atrocités et meurtres porcins d'enfants sacrifiés, éludés par une pourrissable strate si peu juridique, sans l'apport du droit assidu, sans quiconque pour garantir ce droit ?
Pris et frits, certains de ces magistrats tremperaient alors, dans leur ignominie.
Il nous faut le PEUPLE !!!
Non pas. On couvre les saigneurs de jeunes vies.
Comment vous transmettre des vœux pieux devant tant d'inconscience ? Et quels vœux ? Faire sauter la baraque ? Désinfecter la fosse aux faux derches, fausses données, calembredaines, serpents sifflants ... ? Qui s'intéresse à la protection ici ?
Considérez la sidérante amiante : l'horreur perdure depuis 117 ans, sans attention ! Pourquoi diable autoriser tels empoisonnements collectifs après la fameuse loi « contre les poussières » du 12 juin 1893 : L'État se doit de protéger.
Il fait l'opposé, l'État. Il se moque de la loi. C'est nous, l'État. Nous, contre nous.
Nonobstant sept siècles à ronfler en bloc, dans un seul bénitier.
Suivant l'embrasement d'une bergère guerroyant.
Automatismes et machinations s'enchaînent, comme courent les délais oubliés, non notifiés ...
Des néoténies d'inutiles responsables d'empoisonnements du sang contaminé, du nuage de Tchernobyl sur ses irradiés, de 85.000 enfants atteints de saturnisme, d'un million de victimes des vaccins de l'Hépatite B, ces coagulations de moucherons incapables de voler, les ailes rognées, c'est quoi ces tarés s'imposant, Juges ? Vous sous le joug ?
C'est quoi, les professeurs de Censier, tenus ?
Ni justice ni police n'agissent pour l'invisible santé. Personne, ici, ne croit à l'invisible : c'est commode, l'ineptie. Pendant que nos foules, prêtes pour le couperet, se conservent ignares sous la férule hypnotique. Car si l'invisible ne se voit pas, il se prend d'assaut, en passant. Plein la gueule. Plein les poumons. Plein les artères. Plein les cellules souches. Pour de l'argent, comptant.
L'affaire Censier, longuement précisée quatorze années durant aux tutelles administratives des pouvoirs publics et politiques - Renseignements Généraux, Préfecture de Police - médicaux, académiques, religieux, aux associations nationales dites "des victimes de l'amiante", qui ignorèrent délibérément l'APDA-CGT, l'ADVA-CGT Lesieur, l'ADVAC-CGT SRD (ex BP) de Dunkerque, CENSIER LA SORBONNE NOUVELLE, NECKER, la MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME, et autres, dénonce la dégradation et le népotisme qui régissent un système sourd sans éthique.
Un satané bloc.
Un choc.
Du ciment armé que nos troupeaux persistent à perpétuer. Tuer ! Dieu sait s'ils sont sûrs de leur fait. Une contrepèterie criminelle se cultive abondamment ici, de Fac en maternelle. Le procureur aidant.
Sans personne pour rectifier.
L'avocate des assassins de Censier gagne largement, depuis avril 1998, sa vie sur celle des victimes passives : riverains, étudiants et usagers. Des centaines de milliers d'euros. La France le permet, sur des décès pour 40 années. La saleté se défend avec sa marque distinctive, faisant fi des invalides, des terrassés.
Merci Jean-Claude MARIN ! Pas gêné, ce procureur de la République qui se régale sous les projos : « L'action publique est éteinte » (sic). Et lui, c'est quoi, Juges : un symbole ? Une réalité ? Une ombre sur le mur ?
Faut-il se taire, et faire bloc comme tout le monde ?
Où s'en féliciter, comme l'actuelle présidente LEMARDELEY, la cheftaine de Censier ?
Depuis 1964, l'on tue en Sorbonne Nouvelle - l'amiante tue - sans qu'aucun personnel ne bouge.
Parce qu'il n'y a, à l'évidence, personne.
Les officiels se taisent, les érudits se taisent, les professeurs se taisent. 88 juges se taisent, 30 ministres dont Valérie PÉCRESSE, deux chefs d'État, et un quartier entier. Tous au courant.
Si je n'étais miroir et témoin gueulant, personne ne saurait qui est Madame Jacqueline SUZZONI, morte de cancer à Censier en avril 1995 dans un silence général, universitaire.
Même sa famille se tait. C'est dire !
C'est du passé !!! Passez, passez, muscade ….
« Taisez-vous ». « La ferme ». « Crevez. En silence ». « Heil ! »
Touchée à la plèvre, maladie spécifique due à l'amiante, cette technicienne recevait les étudiants au 5e étage, au "CAVI". Elle symbolise ce qui se fait dans cette Faculté.
Faculté vient de "facere" faire.
Pour cette Sorbonne primaire, faire du mal en prétendant le contraire, sous un faux intendant, chef de service pendant 30 ans.
Le manège infernal du site Censier tourne autour de cet intendant fantoche, à la retraite depuis juin 2010, qui n'en fut pas un, car sans ses diplômes. Compensant ses incapacités par des jeux de pouvoirs. Personne pour l'arrêter. Jamais. Ce chef de service Agent Hygiène et Sécurité fit ouvrir les gaines techniques interdites - désespérément mortelles - sans précaution, pendant 25 ans. Parole ! Niveau pathologique d'un pays régi par une absence de sens et des Droits de l'Homme, par des niais ayant nié la vie.
Pays d'opérette. Personne n'y prend responsabilité. Pays de frime. Pas un pour soutenir l'autre. Pas un inspecteur du travail : merci Monsieur SINIGAGLIA, inspecteur du 5ème !
L'on y tabasse des mômes pelant de froid sous Notre-Dame blanche et muette ! Entre la Saint-Nicolas et Noël 2007. Un cadeau. Un beau cadeau. La police les prive de leur dernier support vital, leurs tentes !, à moins 3°. Vi ! Pendant que le représentant de 60 millions de muets, français, se fait sacrer - consacrer - chanoine par une sommité pomponnée qui, elle, en dirige 800. 800 millions de muets aux ordres divins. Ses fidèles. Un paquet.
860 millions de silences, dès lors, pour deux autorités papotant « chiffres et spiritualité ».
Mais point des petits crevés.
C'est cela l'horreur, Juges. Je vous le dis.
S'il n'y a plus aucune tente à Paris, l'actuel chef de l'État s'écrase, lui, devant celle du Colonel KADHAFI. Une carpette devant l'argent, mais point devant les gens.
« QU'ILS CRÈVENT, LES GENS ! » ICI BAS, ON SACRIFIE. PLUS, PLUS, ET PLUS !
La tyrannie inhérente assène assidûment ravages, génuflexions, incivisme et laïcité. En bloc. Avec ses chapelets.
Mieux : la Sécurité de la ville (la jeune police sous la Direction de la Prévention et de la Protection de la Mairie de Paris), se tient depuis 10 ans maintenant, face à un des lieux les plus pollués d'Europe, rue Santeuil, Paris, Ve, France. Truffé d'amiante. Lieu où l'on ment officiellement sous 6 km de poutres de fer floquées au cancer de CENSIER la SORBONNE.
Cette « Sécurité » pourrait accomplir une énorme prévention pour tous, pour son quartier.
Mais elle se tait, « aux ordres » du BIG BROTHER qui la paie pour tenir immobile sa Direction de Prévention et de Protection, et encaquer une mortelle insécurité dans la Fac et le quartier.
Sous les sceaux et Barons de Paris et du Ve, du Maire TIBÉRI, cette « Sécurité » peu banale étale son indifférence envers nombre personnes en dangers. Graves. Des millions d'exposés depuis 1964 : 50 000 par an. Au moins. Plus les passants.
C'est qu'elle nous laisse contaminer, la Satanée Sécurité, la SS d'un État qui se doit de protéger.
Pays prôneur de prodigieuses leçons aux autres, qui s'empoisonne tout seul, mettant en péril ses gens, ses enfants, saupoudrant du mercure dans les vaccins (!?), dans les amalgames des dents (!?). Mais point dans les égouts, interdits d'accès ! Dans les bouches, oui. Des pesticides dans de l'eau pure (!?), injectant du sang sale pour de l'argent (!?). L'ARGENT AVANT LES GENS, AVANT LES ENFANTS. AVANT, BIEN AVANT. On ne trouve à l'évidence, personne officiellement pour voir, savoir, dire et juger. Chut, Juges ! C'est un secret. Comme à Censier.
Le summum : la « calamité mondiale » à éviter, n'était que grippette porcine, peste de grippe !
Ni un chat ni une ombre … Ici, on assassine. Détruits par des cochonneries à fric, les petits s'écroulent, en douce. Les leucémiques nous strient les tympans, un temps, puis se taisent. Adieu, adieu, les enfants. Ce monde n'est décidemment pas pour vous.
On ne peut tout de même pas tuer tous les enfants. Pour de l'argent, tant et tant. Mais si, ici.
30 millions de vaccins. Adjugés. Vendus. De force : chiffres de l'hépatite B. À quel prix ? 170.000 abîmés à vie. Un million de touchés, les cellules souches atteintes. Pas assez, Juges. Plus ! Pendant qu'irradiations et nucléaire bombardent bien, l'air de rien. Abreuvez-nous de pesticides, et faites-nous payer. Bien obligés. Niaiserie oblige.
Il crève de peur, ce petit pays d'opérette replié sur ses apparences, ses prétentions, ses fuites, son fric. Diplômé, ce vice à la mode, l'hypocrisie pétrie de riquiqui. Même LA PALICE le dit.
Si bien que cette patrie apathique, franchouillarde - résistant à toute vérité, santé, bonté, bienveillance - avec ses mises à mort exercées sur des innocents, récolte exactement ce qu'elle mérite. Une absence totale de justice bien payée pour ne rien faire. Avec ce qui s'en suit.
TOUS MES VOEUX, SIRES JUGES
MAIS SUR QUEL FUTUR
QUAND L'HORREUR SEULE S'ASSURE ICI ?
Langinieux
Ce 25 octobre 2010
La Suisse, poubelle de l'Europe ?
LES DéCHETS INERTES PEUVENT ETRE DES DéCHETS très RADIO-ACTIFS, SELON LES NORMES EUROPéENNES...la loi est ainsi faite qu'ils ne testent que la radioactivité de l'uranium mais pas celle des autres radio nucléides dangereux...
Rougemont:
( 45'000 CAMIONS de déchets radioactifs " inertes " par les Fenils, Grischbachtal Saanen Land Gstaad Gessenay, Décharge du Teilegg – 450'000 m3 au moins pour la première phase )
Remarques:Le canton n'a pas fait d'étude d'impact sur l'environnement, car elle n'est obligatoire que pour les décharges supérieures à 500'000 m3. Celle du Teilegg est prévue pour 460'000m3… cherchez l'erreur.
Déchets SOI-DISANT à très faible activité (TFA)polluent les nappes phréatiques et toute la nature pour des milliers d'années.
Il s'agit là de tout ceux qui ne présentent pas d'activité radioactive particulière mais se sont trouvés en contact avec une installation nucléaire, tels que les déchets de démolition des bâtiments des centrales démantelées. Cela représente plusieurs dizaines de milliers de tonnes par an. Jusqu'à il y a peu, la France faisait figure d'exception puisqu'elle imposait pour ces déchets un stockage particulier, sur les mêmes sites que les FMA-VC. Désormais, ces déchets vont être banalisés et recyclés vers les industries conventionnelles.
Mais la loi est ainsi faite qu'ils ne testent que la radioactivité de l'uranium mais pas celle des autres radio nucléides dangereux...
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