vendredi 22 octobre 2010

Tigris, Tiago et Txx: des polices illégales dangereuses

Si le Souverain se comporte en sujet, les banquiers deviennent des monarques impitoyables et cupides.

Anonyme,
22.10.2010

Tigris, Tiago et Tx sont des polices fédérales illégales qui ont déjà au moins un mort arrêté illégalement sur la conscience.

L'homme de 42 ans était en cellule de manière totalement illégale, sans défense ni avocats, sans que sa famille ne le sache, "suicidé" à l'aide d'un câble de télévision.

Il était "incarcéré  dans une cellule à l'air trafiqué comme simple intermédiaire financier depuis la mi-septembre dans le cadre d'une enquête pénale pour vol de données bancaires et leur vente à l'Allemagne".

Le mort, "Wolfgang U.", simple graphiste originaire du Tyrol, aurait blanchi dans une banque autrichienne une somme versée par les autorités allemandes, pour le compte de l'informateur recherché et aurait reçu une simple commission, selon le quotidien autrichien Kroner Zeitung.

Les spadassins bancaires auraient-ils fait un exemple ? La peine de mort bancaire illégale ?


Préparons-nous à défendre la démocratie

L'Union européenne et le gouvernement helvétique conspirent contre la démocratie directe. Pour défendre la démocratie, il faut d'abord la renforcer, notamment en obligeant les élus à consulter davantage le peuple sur les accords internationaux et en accélérant la procédure de consultation populaire en situation d'urgence. Pour le cas où les élus ne consultent pas le peuple alors qu'ils en ont le devoir, il faut se préparer à une résistance civile.

Renforcer la démocratie pour mieux la défendre

Il s'agit essentiellement de limiter le pouvoir des élus en les obligeant à consulter le peuple et à lui rendre des comptes. Par exemple grâce aux renforcements suivants de la démocratie :

· Accepter l'initiative « Accords internationaux : la parole au peuple ! » de l'UDC (voir ici).
Cette initiative renforce les droits populaires en matière de politique étrangère.

· Introduire des droits de référendum et d'initiative urgents (voir ici)
Si un nombre suffisamment élevé de signatures est récolté durant un court délai, alors la question doit être soumise très rapidement en votation populaire. Procédure accélérée en cas de référendum obligatoire en situation d'urgence.

· Election du Conseil fédéral par le peuple, mais pas comme le propose l'UDC (voir ici et )
Le Conseil fédéral devrait être élu par le peuple. Cette élection devrait se faire selon le système proportionnel (pas au vote majoritaire) et devrait être conçue de sorte à garantir une représentation proportionnelle des latins.

· Confier les négociations internationales à un quatrième pouvoir directement élu par le peuple (voir ici)
Il est malsain que le gouvernement gère les négociations avec l'Union européenne avec qui il conspire contre la démocratie directe. Il conviendrait de confier ces négociations à un quatrième pouvoir directement élu par le peuple et séparé de l'exécutif, du législatif et du judiciaire.

Se préparer à la résistance civile

Si les élus ne consultent pas le peuple quand ils en ont l'obligation, il faut passer à la résistance civile.

Le peuple, que l'on nomme en Suisse le « souverain », a l'habitude de décider sur les questions importantes par voie de référendum ou d'initiative. Toutefois, lorsque le gouvernement le court-circuite en refusant par exemple de soumettre au référendum une décision qui devrait l'être, le peuple suisse tend à être apathique : il ne sait pas comment réagir. C'est pourquoi il faut mettre au point des stratégies de résistance civile pour le cas où l'expression via les urnes lui est refusée.

Le cœur de cette résistance civile serait que la société civile organise elle-même la votation que les élus refusent. Soulignons qu'il s'agit d'organiser une votation, pas une pétition. Cette votation devrait se dérouler conformément aux plus strictes exigences démocratiques. Idéalement, le gouvernement reconnaîtrait alors la volonté populaire ainsi exprimée. Sinon, c'est la société civile qui mettra en œuvre la décision populaire, sans le gouvernement ou contre lui. L'idée n'est pas nécessairement de renverser le gouvernement, mais de le court-circuiter sur les points litigieux.


Thomas Jefferson :

"Considérer les juges comme arbitres ultimes de toutes les questions constitutionnelles [... est] en effet une doctrine très dangereuse qui nous placerait sous le despotisme d'une oligarchie. […] Je ne connais pas de dépositaire sûr des pouvoirs ultimes de la société sauf le peuple lui-même"

http://www.dailymotion.com/video/xdt5u2_franc-macons-sataniques-enlevements_news#from=embed

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