Une crème anti-rides… à base de fœtus ! | |
Une crème anti-rides qui fait du bruit Alors, non le pot de crème quand on l'ouvre il se met pas à crier comme on pourrait le croire à la lecture de mon titre explicite. Il faut entendre qu'on parle d'elle et pour cause, cette crème Neocutis, est réalisée avec des cellules de peau de fœtus cultivées en laboratoire. ... Responsable: Le professeur Patrick Hohlfeld, chef du Département de gynécologie, obstétrique et génétique du CHUV (Lausanne) ... Puis le professeur Patrick Hohlfeld, en collaboration avec Lee Applegate, chercheuse en dermatologie au CHUV on décidé de tester la culture de ces cellules ... Là où la bât blesse, c'est que le professeur explique que pour mener à bien ses recherches, il a été décidé de commercialiser une crème anti-ride qui fonctionne sur le même principe....
Merci benetjuegal3 pour l'info ! | |
Voilà une crème anti-rides qui ne va laisser personne indifférent. Et pour cause, sa composition n'avait jusque là jamais été vue ailleurs. Créée par l'entreprise Neocutis est une crème anti-rides réalisée à base de cellules de peaux de fœtus humain. Des cellules de peau cultivées en laboratoire et toujours issue de dons. Son prix ? 90 euros. Le tarif de la jeunesse retrouvée? A l'origine de cette crème révolutionnaire, le professeur Patrick Hohlfeld, chef du Département de gynécologie, obstétrique et génétique du CHUV de Lausanne, en Suisse. Il a en effet constaté que la peau du fœtus avait des vertus régénératrices pour la peau mais aussi revitalisantes contre les brûlures, les cicatrices et certaines maladies de l'épiderme. Pour le professeur Patrick Hohlfeld la commercialisation de cette crème anti-rides est l'occasion de financer ses recherches concernant les pansements biologiques pratiqués sur les grands brûlés. | |
Voir tous les articles de Actualités Santé Vos commentaires (8) > Anonyme le 13/04/2010 à 18:37 ca s'appelle de la commercialisation d'organes humains? ce n'est pas interdit et puni par la loi? Comment pouvez-vous promouvoir cela ??? > Anonyme le 13/04/2010 à 18:33 inadmissible, c'est tout ce que j'ai a dire!!!!!! > Anonyme le 13/04/2010 à 18:30 Au secours, ils sont devenus fous ! Alerter le modérateur Affaire des cellules de foetus: le médecin s'expliqueImage © Michel Perret Dr Patrick Hohlfeld, chef du Département de gynécologie, obstétrique et génétique du CHUV, il explique la genèse de cette incroyable découverte.
Le médecin du CHUV Patrick Hohlfeld justifie son engagement pour le développement des traitements à partir de peau de fœtus, y compris pour les cosmétiques. Ludovic Rocchi - le 25 mars 2010, 22h27 La trouvaille fait jaser jusqu'aux Etats-Unis, comme «Le Matin» l'a révélé hier. Les cellules de peau de fœtus, cultivées en laboratoire, présentent des vertus régénératrices extraordinaires. Cette découverte revient à une équipe du CHUV et a été ensuite développée par Neocutis, une start-up vaudoise qui a acheté les brevets. Pour financer le développement de traitements médicaux, il a été décidé d'oser le commerce des crèmes antirides. Vous vous êtes lancé à titre privé dans l'aventure Neocutis, ce qui vous a valu parfois des jalousies et des critiques. Le regrettez-vous? Pour un professeur de votre niveau, n'est-ce pas quand même dérangeant de se retrouver actionnaire d'une société qui vend des crèmes antirides à base de cellules issues d'un don de peau de fœtus? Les activistes pro-life se sont déchaînés aux Etats-Unis contre Neocutis. Quelle est votre position dans le débat sur l'avortement? A la base, vous n'êtes pas dermatologue. Comment vous est venue l'idée de prospecter dans ce domaine? Il fallait encore savoir que faire de cette découverte fortuite? Après ces premières expériences au CHUV, où en sont les recherches que vous soutenez à travers votre engagement dans Neocutis? Vous espérez devenir riche grâce à ce projet?
Lisez, vous comprendrez mieux comment comment on fabrique ce type de produits (extrait du site http://www.neocutis.com / ): NEOCUTIS technology platform relies on the use of cultured fetal skin cells obtained from a cell bank for treating differing skin conditions. The dedicated cell bank was originally established for wound healing and burn treatments using a single biopsy of donated fetal skin following a one-time medical termination.The cultured cells can be used to produce skin constructs for wound healing or can be incorporated as cell lysate in a topical carrier for use in dermatology and skin care. To date, the cultured cells originating from this cell bank are used in research and product development in the following areas: • acute and chronic wound healing • eczema and psoriasis, and • vulvodynia, vulvar vestibulitis Having developed a topical preparation for different skin conditions, the use of this preparation for daily skin care became apparent. Today this same cell bank also provides a lasting supply of cells for producing Neocutis' proprietary skin care ingredient Processed Skin Cell Proteins (PSP®). /> Responsible use of Fetal Skin Tissue We respect differing views on medical research practices and on the development of pharmaceutical and cosmetic treatments. However, it is important that any discussion of our products be based on an accurate and well-informed understanding of their origin, production and use. Recently, an interest group raised questions about the development and manufacture of NEOCUTIS products, which are dispensed by physicians for the treatment of skin conditions and to promote skin restoration after medical procedures. We respect differing views on medical research practices and on the development of pharmaceutical and cosmetic treatments. However, it is important that any discussion of our products be based on an accurate and well-informed understanding of their origin, production and use. Since the 1930s, the international medical community has used donated fetal tissue to better understand cell biology and as an essential tool in the development of vaccines, which are credited with saving millions of lives worldwide. The 1954 Nobel Prize for medicine was awarded to researchers who utilized fetal kidney cells to develop the polio vaccine. Soon, patients who have suffered a severe burn, leg ulcer or wound—or are recovering from surgery—will heal faster, more safely and with far less scarring thanks to the emergence of new treatments developed from cultured fetal skin cells. Our view—which is shared by most medical professionals and patients—is that the limited, prudent and responsible use of donated fetal skin tissue can continue to ease suffering, speed healing, save lives, and improve the well-being of many patients around the globe. Of course, the important question is: How does the medical community do this in a way that is respectful of the dignity of human life, and that is conducted in a highly controlled and responsible manner? This is an understandable concern that we take very seriously. The small skin donation that, ultimately, made the development of our treatment possible originated from a single terminated pregnancy that could not survive to term and was deemed medically necessary by the attending physicians. This voluntary donation to medical research was granted by the parents with their written consent, and was performed in adherence with strict Swiss laws that regulate organ donations and similar procedures. To be clear, our products do not directly use the originally donated tissue in any way. We only use proteins derived from cultured skin cells (grown from a dedicated cell bank). These were not embryonic stem cells. No other donation will ever be necessary. In fact, this cell bank enables the production of some 900 million biological bandages for patients suffering from severe wounds, burns and other serious skin conditions. We recognize that there are those who oppose any use of fetal skin tissue, regardless of the benefit or how it is obtained. Our belief is the extremely limited use of fetal skin tissue, obtained with the consent of parents, ethics committees and others in a well-monitored and respectful manner can be used for significant medical benefit. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire