La crise est structurelle dans le monde entier, sauf en Suisse.
Que changer ? Quoi ? Comment ? Quand ?
Voici quelques solutions suisses de la vraie démocratie directe économique.
KISS
Keep it small and simple...Gardez le petit et simple
Small is beautiful...Petit, c'est si beau,
La Suisse est petite mais très efficace, Il vous suffit de suivre notre exemple, des solutions locales avec un centre qui fait le moins possible, sur délégation écrite, négociée et testée, révocable et économique. Le fameux principe de la vraie subsidiarité.
On doit casser ces gigantesques monstres économiques qui tuent ( sic ) des millions de personnes ( faim, suicides, dépressions, chômage, ...) et qui gaspillent des milliards de milliards donnés à des "banquiers" sans scrupules, avides et cupides, alors qu'il n'y a soi-disant plus d'argent même pour les hôpitaux ou nos parents âgés et malades.
Un grand problème est toujours plus facile à résoudre si on le segmente en plusieurs unités à taille humaine.
La paix en soi, autour de soi , entre les peuples et avec la nature, grâce à une action commune qui peut se faire partout dans le monde.
Une création de monnaie locale, cantonale, communale ou nationale en Sfr par la BNS ou alternative et libre en Wfr par le Wir. ( le Nous ).
www.wir.ch :
Toutes les autres « recettes » ont échoué, nous proposons une solution qui fonctionne en Suisse et qui a contribué à rendre ce pays l'un des plus riches du monde.
Principes suisses :
La Suisse est un des seuls pays qui redistribue les profits de sa banque centrale, pourquoi ?
Parce que sa constitution commence encore avec une invocation divine:
La constitution Suisse a toujours été rédigée Au nom de Dieu Tout-Puissant, Im Namen Gottes des Allmächtigen, In nome di Dio Onnipotente, En num da Dieu il tutpussent ! Elle reprend le début du pacte fédéral : In nomine Domini.
Elle a été acceptée en votation populaire du 18 avril 1999, très probablement par tricheries électorales, notamment dans les cantons de Vaud, Lucerne et du Tessin, pour faire passer en cachette quelques articles honteux, mais tout le reste respecte le génie historique suisse...
http://www.lexilogos.com/declaration/suisse_pacte_tableau.htm
Il existe un capital privé et un capital appartenant à tout le monde, l'allmend territorial par exemple, les régies fédérales, cantonales, communales...contrôlés par des corps intermédiaires et sous le vrai principe de subsidiarité.
Les produits communs sont distribués selon une juste clé mutuellement définie (contrats de consortage, d'alpage, de fermages, baisses de prix, PTT, Swisscom, profits en milliards de la Banque Nationale Suisse, contrairement à la FED ou à la BCE qui restent en mains privées (sic…).
Les conflits sont réglés localement par arbitrage, sans juges étrangers…La bonne foi personnelle et la sécurité des contrats prime.
La notion des 7 sabbats festifs, des 7 jours (dimanche), des 7 semaines (vacances scolaires), des 7 mois (vacances patates), des 7 années ( année sabbatique et remise des dettes), des 3 fois 7 ans ( fête des vignerons) et des 7 fois 7 années ( 49 ans, Jubilé des 50 années avec remise des dettes et surtout hypothèque divine sur les propriétés agricoles et leur retour aux familles endettées, ou 10 lustres) et celui des 7 siècles après la mort et la résurrection de NSJC ( St Gall en Suisse, 732 Poitiers; 1432, St Nicolas de Flüe en Suisse, fin de la guerre de 100 ans, 2132 ?) est plus ou moins respecté en Suisse, à notre connaissance, le mieux au monde, surtout par les péréquations confédérales et les redistributions locales ( autonomie communale, Banque Nationale Suisse qui redistribue tous les profits de l'or après 50 ans, assurances mutuelles, banques cantonales, locales, Raiffeisen, Wir…).
Il est indispensable de définir socialement ces remises à zéro périodiques ( 7 périodes) des compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt pour 1'000 ans, mais qui a oublié la remise en cause des propriétés, au moins tous les 50 ans...
Il existe un système de création monétaire local communal ou cantonal ou fédéral sans taux d'intérêt (monnaies locales, cantonales, création par les crédits des banques cantonales et système wir)
La recherche de la paix prime, par convention collective. Les péchés publics, selon St Nicolas de Flüe, provoquent les guerres, en fomentant le vice dans les coeurs des confédérés, et sont donc à dénoncer publiquement. La paix est à ce prix...
Il existe un capital privé et un capital appartenant à tout le monde, l'allmend territorial par exemple, les régies fédérales, cantonales, communales...contrôlés par des corps intermédiaires et sous le vrai principe de subsidiarité.
Les produits communs sont distribués selon une juste clé mutuellement définie (contrats de consortage, d'alpage, de fermages, baisses de prix, PTT, Swisscom, profits en milliards de la Banque Nationale Suisse, contrairement à la FED ou à la BCE qui restent en mains privées (sic…).
Les conflits sont réglés localement par arbitrage, sans juges étrangers…La bonne foi personnelle et la sécurité des contrats prime.
La notion des 7 sabbats festifs, des 7 jours (dimanche), des 7 semaines (vacances scolaires), des 7 mois (vacances patates), des 7 années ( année sabbatique et remise des dettes), des 3 fois 7 ans ( fête des vignerons) et des 7 fois 7 années ( 49 ans, Jubilé des 50 années avec remise des dettes et surtout hypothèque divine sur les propriétés agricoles et leur retour aux familles endettées, ou 10 lustres) et celui des 7 siècles après la mort et la résurrection de NSJC ( St Gall en Suisse, 732 Poitiers; 1432, St Nicolas de Flüe en Suisse, fin de la guerre de 100 ans, 2132 ?) est plus ou moins respecté en Suisse, à notre connaissance, le mieux au monde, surtout par les péréquations confédérales et les redistributions locales ( autonomie communale, Banque Nationale Suisse qui redistribue tous les profits de l'or après 50 ans, assurances mutuelles, banques cantonales, locales, Raiffeisen, Wir…).
Il est indispensable de définir socialement ces remises à zéro périodiques ( 7 périodes) des compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt pour 1'000 ans, mais qui a oublié la remise en cause des propriétés, au moins tous les 50 ans...
Il existe un système de création monétaire local communal ou cantonal ou fédéral sans taux d'intérêt (monnaies locales, cantonales, création par les crédits des banques cantonales et système wir)
La recherche de la paix prime, par convention collective. Les péchés publics, selon St Nicolas de Flüe, provoquent les guerres, en fomentant le vice dans les coeurs des confédérés, et sont donc à dénoncer publiquement. La paix est à ce prix...
Faiblesses suisses et internationales :
La monnaie est un bien commun, il est incroyable que les banquiers gagnent plus de US $ 15'000.- par heure...ou 18'000 $ ou même plus par bonus...?
Solutions pratiques rapides et immédiates (Vix, à peine...) :
Pourquoi ce lien entre Jubilé et "justice sociale" ? La réponse se trouve dans l'Ancien Testament, au chapitre 25 du livre du Lévitique. Nous y lisons que Dieu invite son peuple à célébrer, tous les 50 ans, une " année sainte"au cours de laquelle il doit libérer les esclaves, remettre les dettes, permettre à chacun de retrouver sa terre. Car il est impossible d'honorer Dieu sans rendre à chacun de ses fils leur dignité, sans restaurer entre les humains des relations justes. Le système actuel fait exactement le contraire, ce qui provoque notamment les hausses infernales de prix, de taxes, d'impôts, de primes...et les guerres, conflits...
Le pire vol, celui de la création monétaire par des banquiers sans scupules...Un autre forme d'usure dévorante...qui tue les plus faibles, par millions...
L'encyclique Vix pervenit doit être mise en pratique, avec en plus une remise en vigueur de toutes les régles jubilaires, ce qui manque dans le texte original, y compris sur les propriétés, qui ne sont qu'en gérance sous le regard de Dieu, et non des idoles absolues...: Le mot jubilé vient du latin jubilæus (de jubilare, « se réjouir »), traduction parJérôme de Stridon de l' hébreu yôbel qui désigne un cor en corne de chèvre. Dans la Bible, ce cor est utilisé pour annoncer le début d'une année spéciale qui a lieu tous les cinquante ans. Cette année-là, les terres devaient être redistribuées de façon équitable et les esclaves libérés. Le Lévitique (25:8–11) déclare ainsi :
- « Tu compteras sept semaines d'années, sept fois sept ans, c'est-à-dire le temps de sept semaines d'années, quarante-neuf ans. Le septième mois, le dixième jour du mois tu feras retentir l'appel de la trompe ; le jour des Expiations vous sonnerez de la trompe dans tout le pays. Vous déclarerez sainte cette cinquantième année et proclamerez l'affranchissement de tous les habitants du pays. Ce sera pour vous un jubilé : chacun de vous rentrera dans son patrimoine, chacun de vous retournera dans son clan. »
articles.php?lng=fr&pg=337
Texte en français pages 18 et 19 http://www.michaeljournal.org/maijuinjuillet2005.pdf
Projet d'initiative fédérale:
II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.
III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.
IV. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus.
Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux "jouets" utilisés par certaines forces obscures. Pour une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont les parasites de l'économie, de la justice et de la politique. Ce sont elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les guerres...
Texte en français pages 18 et 19 http://www.michaeljournal.org/maijuinjuillet2005.pdf
http://www.moneyasdebt.net/
www.bankster.tv
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Admiration.
http://www.union-ch.com/file/portrait.wmv
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