A la fin des années 1980, un scandale éclate...Les autorités fédérales suisses ainsi que les polices cantonales avaient espionné environ 900.000 personnes...dont le Club de Lausanne, Katiouchka, les nouveaux mouvements sociaux, les groupes pacifistes, les groupes féministes, les groupes tiers-mondistes, les mouvements anti-atomique et des conseils d'étudiants qui étaient tous pris pour cible. Les activités sans contrôles concernaient également les domaines de l'espionnage économique, du blanchiment d'argent, du trafic de stupéfiants et du trafic d'armes. Interessieren Sie sich für die Tätigkeit des Staatsschutzes? Wollen Sie wissen, seit wann es in der Schweiz eine politische Polizei gibt?
Weitere Informationen Staatsschutz - Hintergrundinformationen 17.01.2007 | 50 kb | PDF Staatsschutz - Die Unterlagen im Bundesarchiv 17.01.2007 | 58 kb | PDF Staatsschutz - Tipps/Links zur weiteren Recherche 17.01.2007 | 50 kb | PDF Staatsschutz - Literatur 17.01.2007 | 52 kb | PDF
L'un des chefs de ces services secrets, Herbert Alboth, qui était un espion suisse à plein temps, a été assassiné en 1990. Son agresseur aurait signé son acte du mot "Amour". Je n'ai pas vérifié la véracité de l'histoire...Quant aux fiches, elles n'ont toujours pas été détruites.Les loges armées secrètes, notamment les P26 et P27, comprenaient plus de 400 personnes financées par des fonds publics secrets, effectifs appelés à doubler en cas d'urgence. La P2 avait MM. Berlusconi et Gelli comme dirigeants... En plus des actions de renseignement et de résistance en cas d'invasion, elle devaient mettre en œuvre notamment un plan d'évacuation du gouvernement suisse. Plusieurs immeubles en Irlande furent achetés dans cette optique. Parlamentary Investigation of the Swiss Defense Ministry's Secret Army P-26 17 Nov 1990 |
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