jeudi 5 août 2010

Nice et la Savoie maltraitées, mais bientôt libérées selon le Canard Enchaîné du 04/08/2010

http://paisnissart.canalblog.com/archives/2010/08/04/18744015.html


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 Tous nos voisins peuvent aussi demander leur admission à la Suisse.

Plus de démocratie directe et de débats fondamentaux, pour alimenter la retraite de réflexion du Conseil fédéral du mois d'août.

La Suisse, c'est un processus historique continu de croissance par agrégations naturelles. Pourquoi l'interrompre alors que de nouvelles communautés frappent à notre porte de manière naturelle et démocratique ?

Pour la fête nationale, la présidente de la Confédération, Doris Leuthard, a invité la population à participer activement à l'avenir de la Suisse. Et a rendu hommage aux expatriés du pays, qui jouent un rôle important dans les relations entre la Suisse et l'étranger.


«Les derniers mois ont montré que les pressions venant de l'étranger ne faiblissaient pas; il nous faut donc tenir bon, tout en sachant faire preuve d'encore plus de souplesse là où la situation peut être améliorée. Nous devons en particulier soigner nos relations avec l'étranger. En tant qu'ambassadeurs de notre pays, vous nous soutenez directement à cet égard.» Ainsi s'est adressée Doris Leuthard aux presque 700'000 Suisses de l'étranger.

Au fil d'un discours qui a illustré les difficultés de la Suisse, mais aussi ses progrès, notamment le recul du chômage, la présidente de la Confédération a rappelé que les pressions ne se sont pas relâchées sur le pays.


Le devoir des citoyens

Inspirée par la devise «Un pour tous, tous pour un», gravée dans la coupole du Palais fédéral à Berne, Doris Leuthard a rappelé lors de son allocution radio-télévisée du 1er août, que la démocratie directe donne à tous les citoyens la possibilité de peser sur les décisions. «Ensemble, nous pouvons donner un nouvel élan à notre pays et montrer la voie à suivre.»

Depuis le sommet du Lindenberg ( la montagne des Tilleuls chère aux Nibelungen, 

Suisse. Le président ... sur ses terres Walsers.), 


elle a également exhorté la classe politique à revenir à des «débats constructifs», car les solutions s'élaborent de manière collective. Et l'ensemble de la société doit prendre part à la résolution des défis que rencontre la Suisse. Adaptation de la sécurité sociale aux changements démographiques, accroissement de la mobilité, protection de l'environnement et le maintien d'une haute qualité de vie, autant de thèmes qui appellent les citoyens à «participer activement à la discussion.»


Ouverture sur le monde

A l'exception d'Ueli Maurer, tous les membres du gouvernement ont célébré officiellement le 1er Août et ont prononcé des discours. Le ministre de l'intérieur Didier Burkhalter, qui s'est montré au brunch à la ferme à Posieux dans le canton de Fribourg, a appelé la Suisse à renouer avec l'art du consensus «sans lequel rien ne peut avancer». Et d'ajouter, que la Suisse a les cartes en main pour construire un «avenir radieux» et maintenir un haut niveau de vie ainsi qu'une forte cohésion sociale.

Hans-Rudolf Merz, ministre des finances a noté dans un discours publié sur Internet que la fête nationale est l'occasion de vanter les valeurs qui font la Suisse. «La démocratie, la liberté, l'ouverture au monde, la prospérité, le sens des responsabilités et la solidarité.»

La ministre des affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey s'est prononcée pour sa part en faveur d' une Suisse un peu plus fière d'elle-même. Dans son discours prononcé à Tourtemagne en Valais, elle demande moins d'autoflagellation et plus de confiance en soi. «En toute modestie, nous pouvons constater avec une certaine satisfaction que notre pays a bien maîtrisé de gros problèmes», a indiqué la ministre, en évoquant en particulier la crise libyenne et l'affaire de l'UBS.

Elle a ajouté que la Suisse devait s'ouvrir au monde, mais elle a également noté qu'il était inacceptable de devoir accepter la quasi totalité du droit européen sans avoir un mot à dire. «Je ne souhaite pas que notre pays soit de facto un membre sans droit de vote de l'Union Européenne.»


La Suisse et l'UE

L'Union européenne s'est retrouvée au cœur de plusieurs discours, pour ce jour de fête nationale.

Le socialiste Moritz Leuenberger, ministre des transports, de l'environnement, de l'énergie et de la communication, qui a annoncé sa démission en juillet dernier, a donné son discours à Uster dans le canton de Zurich. ....

Le Grütli, prairie tranquille

Sur la prairie du Grütli, «berceau de la Confédération», les festivités se sont déroulées dans le calme...


Pays multiculturel, fédéraliste, aux quatre langues nationales, la Suisse illustrera à Montreux son attachement aux valeurs de la Francophonie, de la démocratie directe et de la diversité.


swissinfo.ch et les agences.



1er août 2010 - plus de démocratie directe.




Mme Doris Leuthard, présidente de la Confédération helvétique, s'est inspirée de la devise "un pour tous, tous pour un" inscrite dans la coupole du Palais fédéral à Berne pour son allocution du 1er août 2010. 


Voir la photographie, avec les drapeaux des cantons. 


La devise est inscrite en latin Unus pro omnibus,  au-dessus et omnes pro uno au-dessous de la Croix fédérale.

"Revenons à des débats politiques constructifs", a lancé Doris Leuthard dans son discours enregistré à Horben (AG), car la démocratie directe donne la possibilité à tous les citoyens de peser sur les décisions. 

La présidente a prôné des solutions soutenues par tous. Selon elle, les défis du moment sont l'adaptation de la sécurité sociale aux changements démographiques et la protection de l'environnement, notamment.

Selon le texte écrit de son discours enregistré à Horben, sur le Lindenberg (AG). «Nos entreprises sont proches de nous», nous assurant un haut niveau de vie, et «le dynamisme de la recherche scientifique nous prépare idéalement aux nouveaux défis», a assuré la conseillère fédérale.
«Tournons le dos à l'égoïsme et réapprenons le respect de l'autre», a conclu Doris Leuthard. Par des «débats politiques constructifs», nous pourrons relever les défis du moment, soit l'adaptation de la sécurité sociale aux changements démographiques, l'accroissement de la mobilité, la protection de l'environnement et le maintien de notre haute qualité de vie.

2010 - Allocution de Madame Doris Leuthard présidente de la Confédération à l'occasion de la Fête nationale

1er août 2010 - Les paroles prononcées font foi



Démocratie directe: 

Les travaux notamment menés par les professeurs Feld et Kirchgässner ont montré en étudiant les résultats des référendums financiers aux USA et dans les cantons suisses que là où la démocratie directe existe, les impôts et les dépenses publiques sont un tiers plus bas que dans les pays où la démocratie est purement représentative. L'endettement est de moitié plus faible."...
La TVA n'est que de 7,6 %
On ne conduit plus de guerres depuis des siècles.
On respecte les minorités, leurs langues et leurs coutumes.
Les impôts restent sur place, localement.
Le franc reste une monnaie stable et sérieuse.
La banque nationale suisse répartit les profits à ses citoyens, contrairement à l'Europe qui le donne, sic, aux banquiers... sous forme d'intérêts obligatoires et stupides.


Entre 1946 et 1990, les intérêts nets ont augmentés dans une proportion de 1 à 259,5: Un vol "légal" colossal.


La folie des dettes publiques à intérêt: Entre 1946 et 1990, les intérêts nets ont augmentés dans une proportion de 1 à 259,5, c'est devenu insupportable aujourd'hui.


Entre 1946 et 1990, aux Etats-Unis, les revenus d'intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s'est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l'indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5.




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