samedi 13 décembre 2008

Programmes de relances économiques et touristiques. Sauvegarde et achèvement de la Cathédrale de Lausanne ? Pourquoi pas un concours international d'architectes ?

L'image



Nous initions un grand concours international pour la sauvegarde et l' achèvement de la Cathédrale de Lausanne ?

Pourquoi pas un concours international d'architectes ?  Programmes de relances économiques et touristiques.

On souhaite aussi l'achèvement de la cathédrale de Lausanne, dont la tour sud-ouest n'est toujours pas terminée. Les fondations et plus du tiers de cette tour sont déjà construits. Nous cherchons aussi des privés prêts à financer ces travaux de finitions, qui tiennent compte des techniques les plus modernes ( par exemple une tour de cristal et âme trombe pour en améliorer le climat)  dans un respect de l'esprit des fondateurs de cette belle oeuvre.

Pourquoi un concours international ?


Les concours internationaux d'architecture et d'urbanisme
conformes à la règlementation UNESCO-UIA et approuvés par l'UIA

Le choix d'un architecte incombe au maître d'ouvrage responsable de la création d'un édifice. Il lui appartient d'en décider ou d'organiser un concours international d'architecture à l'issue duquel un jury composé d'une majorité d'architectes désignera souverainement le lauréat responsable de la maîtrise de l'oeuvre.



Ainsi en a-t-il été pour de nombreux édifices prestigieux ou aménagements territoriaux prestigieux tels que :

L'Opéra de Sydney (Australie)
Architecte : Jørn Utzon
Le Centre Georges Pompidou à Paris (France)
Architectes : Renzo Piano, Richard Rodgers
Le Ministère des Affaires étrangères à Riyad (Arabie Saoudite)
Architecte : Henning Larsen
Le Forum international de Tokyo (Japon)
Architecte : Rafael Viñoly
La grande Bibliothèque de France (Paris)
Architecte : Dominique Perrault
L'arche de la Défense (Paris)
Architecte : Johann Otto von Spreckelsen
La Bibliothèque d'Alexandrie (Égypte)
Architectes : Snøhetta

L'Union internationale des Architectes s'est vue confier par l'Unesco, le soin de veiller au respect des conditions du lancement et à celles du déroulement des concours internationaux d'architecture et d'urbanisme, tels qu'ils sont définis par le règlement UNESCO / UIA sur les concours internationaux d'architecture et d'urbanisme, adoptée par la Conférence générale de l'Organisation.

Ce document, assorti des modalités d'application est publié dans un guide en anglais ou en français disponible sur demande, auprès du Secrétariat général de l'UIA.

Pourquoi consulter l'UIA ?

L'UIA est devenue, sans conteste, le seul bureau d'études international dans ce domaine pour lequel elle jouit de l'autorité que lui confère son expérience.

Les concours doivent permettre d'ouvrir plus largement les horizons en faisant appel aux contributions internationales dans l'objectif de :


Témoigner d'une époque (Centre Georges Pompidou - Paris)
Symboliser une civilisation (Centre Indira Gandhi, New Delhi - Musée national de Corée)
Susciter l'intérêt de la collectivité internationale (Espaces de convivialité, Vivre en ville)
Répondre à des besoins nouveaux (Conception de maisons bioclimatiques à Ténérife, Espagne)
Valoriser des thèmes délaissés (Solutions aux problèmes des sans-abri CINTUS)
Susciter l'évolution créatrice
Révéler des talents
Sensibiliser l'opinion publique et les pouvoirs politiques
Stimuler la pédagogie
Mettre en lumière le rôle des architectes

Quelques éléments très actuels

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La conservation de la substance a la priorité sur toute autre mesure*


Saisi sur le vif, ce qui se pratique de longue date à la cathédrale de Lausanne. Un ouvrier attaque au marteau-piqueur un contrefort de Viollet-le-Duc. On démolit le patrimoine culturel bâti.**


L'objet qui nous est confié ne doit pas être jugé. Il est à étudier d'abord, puis à transmettre aux générations à venir par des méthodes de conservation dont l'entretien est la mesure principale. Pour cela nous pouvons utiliser des produits qui nous permettent de prolonger la vie des pierres pour un temps déterminé et ce sera la tàche de la prochaine génération ou la nôtre de remettre à disposition du monument des mesures aptes à transmettre celui-ci dans l'état oû nous l'avons reçu aux générations à venir. Des techniques pour concrétiser ces procédés conservatoires sont connues et appliquées depuis des siècles et c'est ainsi que différentes réparations ponctuelles sont visibles sur la cathédrale.

Ce n'est que dans le cadre d'effondrements dûs à l'incurie et au manque d'entretien que certaines parties on été perdues. Démolir sciemment des parties historiques en se référant comme justification à des exceptions dans l'histoire, relève d'intérêts qui sont très éloignés du seul objectif acceptable à savoir la conservation du monument historique.

Aucun cadre légal, aucune charte, aucune directive n'admet que l'on puisse démolir un monument historique au nom de théories qui visent à donner des mandats à des corps de métier qui, avec les siècles se sont trés éloignés du monde des cathédrales.

La conservation des monuments ne fait pas appel aux mêmes disciplines que la construction. Faire appel à ce passé relève et manifeste d'intérêts qui s'éloignent du seul but acceptable pour un monument historique: la conservation dans son intégrité matérielle actuelle par le respect de son état et de son message.



*Commission fédérale des Monuments historiques, "Principes pour la conservation du patrimoine culturel bâti en Suisse", ETH, Zurich, 2007, article 3.8.,p45

**Dr. phil. Dieter Kimpel, o. Prof. em. Université de Stuttgart, Institut für Architektur-geschichte, document de juin 2007:

"[...] En 2001, il y eut un colloque international à Lausanne au sujet des façades nord et sud de la nef et des arcs-boutants en particulier. Ingénieurs, architectes, archéologues et historiens de l'art y furent invités, ainsi que moi-même. Le système de contrebutement et surtout de l'évacuation des eaux avait été établi par Viollet-le-Duc et achevé par son successeur Assinaire, probablement en remplaçant un contrebutement médiéval d'origine. [...] Donc, pas de problèmes statiques.

"Les problèmes résidaient ailleurs: la pierre (calcaire et surtout la molasse) ainsi que le jointage étaient en mauvais état. Au colloque, on était d'accord qu'il fallait sauvegarder le système butant de Viollet-le-Duc en réparant les dégâts qu'il avait subi: "Il est donc vivement recommandé de ne pas modifier, ni dans leur forme, ni dans leur comportement, les arcs de Lausanne." (Compte rendu du colloque, p.9)."[...]

"En dépit de ces nombreuses recommandations d'une conservation douce", l'architecte a choisi le chemin de refaire à neuf, ce qui m'a pour plusieurs raisons très choqué:

"1. L'authenticité de l'édifice est gravement atteinte."

"2. Ce procédé est beaucoup plus cher qu'une conservation."

"3. Il est accompagné (p.e. au nord-ouest du massif occidental) par une négligence apparente des soins d'entretien régulier. De cette façon, ces parties seront bientôt dans un état de dégradation qui justifiera leur réfection."

"4. Cui bono? La réponse me semble claire: ce sont l'architecte et son équipe qui en profitent."

"Je me rends compte que c'est un grave reproche.[...]"




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Les différentes parties de la cathédrale



Introduction


A. Le manque d'entretien
Chevet
Chevet, l'abside
Croisée du transept, flanc Nord
Flanc Nord, Grande travée
Tour Nord inachevée
Tour inachevée, copie du Portail Montfalcon
Tour du beffroi



B. Les parties neuves
Départ de la Tour lanterne
Tourelle d'escaliers Sud



C. Coexistence du neuf et de la maçonnerie historique
Flanc Sud, Rosace
Flanc Nord, croisillon Nord
Flanc Sud, fragments d'une figure monstrueuse décorative
Flanc Sud, Contrefort neuf
Départ de la Tour lanterne, flanc Nord



D. Conservation de la maçonnerie historique
Façade sud
Façade sud
Façade Nord


Conclusion






Introduction


Chaque monument effectue son propre voyage, à ses risques et périls, immobile dans le temps et dans l'histoire, à travers les multiples conceptions humaines.
Nous savons les lire au-delà des apparences, et souhaitons prolonger l'existence de ces précieux témoins.

Les élévations extérieures de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne conservent des éléments architecturaux qui remontent, pour certains, au premiers tiers du XIIIe siècle. Ces éléments, avec les autres interventions plus tardives, sont une source irremplaçable de lecture de l'histoire matérielle, sociale et historique de l'édifice.




Conservation, restauration


Les mesures de conservation détectent les facteurs dommageables dans l'environnement et en atténuent l'impact sur la matière du monument, afin de ralentir le processus d'altération. Car il faut conserver, si possible inchangés, la structure, l'aspect, et le contenu informatif des bâtiments historiques.

La restauration est une intervention directe qui vise à minimiser les dégâts. Les chartes internationales qui servent de base aux Principes pour la conservation du patrimoine culturel bâti en Suisse, de la Commission fédérale des monuments historiques (Zurich,2007), stipulent que la restauration constitue toujours une mesure d'exception. Ce type d'intervention - la restauration - disparaît si le but poursuivi est celui de la conservation. Car la conservation implique des opérations d'entretien, non de réfection.

Les Principes pour la conservation du patrimoine bâti en Suisse énoncent que: "L'entretien régulier d'un bâtiment est la mesure de conservation la plus adéquate."* Ce principe se retrouve dans toutes les chartes internationales auxquelles la Suisse a adhéré, y compris celles citées par le Département des infrastructures (voir Annexes, Cadre légal, Principes déontologiques à la pétition - document complet au format PDF). Il s'agit d'une évidence bien connue depuis des siècles.

Pour des raisons qui doivent être clarifiées, ces mesures de protection ne sont pas appliquées à la cathédrale Notre-Dame de Lausanne. L'incurie des responsables a provoqué, et provoque encore, des dégâts irréparables dont les conséquences sont facilement visibles sur l'ensemble du monument: les pierres se dégradent à une vitesse exponentielle, et leur état fait croire à une détérioration irrémédiable.

Bien que les pertes de substance historique subies par l'édifice soient effectivement importantes, lesdites pertes de substance sont devenues le prétexte, pour les responsables de la protection-conservation de la cathédrale pour poursuivre un cycle de démolition et de reconstruction. Citations: "La cathédrale est en fait un monument en mouvement qui se prend et se quitte en marche. - La cathédrale n'est jamais tout à historique, puisque jamais tout à fait terminée. - Cet effort est plus immédiat si la pierre est conservée et restaurée, alors qu'il est différé si la pierre est remplacée par une pierre neuve."

Malgré les budgets importants alloués pour l'entretien, les raisons de la démolition de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne résident aussi dans un souci d'économie. La démolition et le remplacement des maçonneries historiques par de la pierre neuve sont définis par les responsables comme "une intervention prudente", tandis que la conservation des maçonneries historiques est définie comme une intervention "expérimentale".
Ces affirmations vont à l'encontre du savoir le plus élémentaire.

Les reconstructions à neuf, ainsi que pratiqué à Notre-Dame de Lausanne vont, de plus, à l'encontre du droit des êtres humains d'hériter des témoins de leur passé spirituel, de la création artistique et de la vie sociale.**

"Les interventions sur le patrimoine culturel bâti doivent en assurer la pérennité [...] L'exigence de conservation de la substance originale d'un objet, en tant que ressource importante et non renouvelable, doit être considéré comme prioritaire par rapport aux exigences d'un développement durable envisagé sous l'angle économique ou écologique."***

Petit lexique:

Conservation préventive

Remédie aux causes de la détérioration.


Conservation intégrée

Résultat de l'action conjointe des techniques de restauration et de la recherche des fonctions appropriées.


Conservation
de remède

Renforce l'objet conservé


Restauration

Minimise les dégâts.



Sur la conservation du patrimoine, de la molasse, citations:


Bases pour la restauration, Office fédéral de la culture, Berne, 1995, p.10: "La question "Comment conservons-nous?" est encore plus importante car seuls les monuments historiques conservés dans "le respect total de leur authenticité" (Préambule de la Charte de Venise) nous fournissent les éléments qui nous permettent de continuer à questionner l'histoire."

ICOMOS 90, Conserver - Restaurer, Quelques aspects de la protection du patrimoine architectural en Suisse, Lausanne, 1990, Bernhard Furrer, "La vieille ville de Berne et la restauration de ses façades", p.22-26:

"Les principes [...] incitent à sauvegarder l'édifice autant que possible dans son état, à le protéger et à le consolider. Uniquement dans les parties irrémédiablement endommagées sont effectués des compléments en mortier ou, lors de lacunes majeures, en pierre de taille. Le but premier des nouvelles méthodes est en principe de ne "rien enlever" à la pierre, mais de lui "redonner quelque chose" sur la base d'une connaissance précise. [...] La conservation de la substance et le maintien de la valeur due à l'âge sont les buts centraux de toute intervention. [...] Les consolidations ont fait leurs preuves; on utilise avant tout des esters d'acide silicique."



*Commission fédérale des Monuments historiques, "Principes pour la conservation du patrimoine culturel bâti en Suisse",ETH, Zurich, 2007, article 3.3., p.44
**Declaration of Icomos marking the 50th anniversary of the universal declaration of human rights: "The right to have the authentic testimony of cultural heritage, respected as an expression of one's cultural identity within the human family."
***Commission fédérale des Monuments historiques, "Principes pour la conservation du patrimoine culturel bâti en Suisse",ETH, Zurich, 2007, article 3.1., p.43

Vers la page Pétition


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Conclusion



L'État de Vaud est le propriétaire de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne. C'est à lui qu'incombe le devoir de la conserver. Il déclare se donner les moyens de protéger le monument selon les normes nationales et internationales, "[...] en collaboration avec de nombreux spécialistes".*

Or, sur place, le constat est bien différent.

Les responsables de la conservation de la cathédrale connaissent les "Principes pour la conservation...": "Toute intervention de conservation doit être la plus réversible possible". à l'évidence, la démolition ne l'est pas.

Dès lors, on pose les questions suivantes:

  1. Qu'en est-il des crédits alloués à l'entretien?

  2. Pourquoi choisit-on de démolir et de reconstruire à neuf, sachant que, de plus, ces opérations sont bien plus coûteuses que la conservation?

  3. Quelles sont les raisons de l'aspect déplorable de la cathédrale?

  4. Où sont les recherches et les rapports d'études:

    1. qui ont justifié la démolition des arcs-boutants?

    2. qui ont défini le bien-fondé de l'utilisation des nouveaux matériaux?

    3. d'avant démolition?

  5. Pourquoi les normes cantonales et fédérales en matière de conservation n'ont-elles pas été respectées, bien que le mauvais état de la pierre (calcaire, molasse) et des joints ait été souligné, déjà par le colloque international de 2001 relatif aux façades Nord et Sud et aux arcs-boutants?**



À l'avenir, les interventions sur la cathédrale doivent être différentes de celles pratiquées depuis une vingtaine d'années, dont les photographies ci-dessus illustrent les conséquences.

La conservation restauration de la cathédrale doit se conformer au cadre légal et aux principes déontologiques cantonaux, ainsi qu'aux "Principes pour la conservation du patrimoine culturel bâti en Suisse", édités par la Commission fédérale des monuments historiques (Zurich, 2007).
En effet, ces principes sont basés sur les chartes et les conventions internationales auxquelles la Suisse a adhéré. Conformément à ces chartes internationales, "le respect total de l'authenticité des parties du monument"doit désormais être observé pour la conservation de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne.

Dominique Blattner             Pierre-Alain Mariaux             Robert Netz             Philippe Vuillemin
Avril 2008




*Voir annexes de la pétition, l'article du site Vaud.ch, "Une Cathédrale sous surveillance"

**Dr. phil. Dieter Kimpel, o. Prof. em. Université de Stuttgart, Institut für Architektur-geschichte, document de juin 2007:

"[...] En 2001, il y eut un colloque international à Lausanne au sujet des façades nord et sud de la nef et des arcs-boutants en particulier. Ingénieurs, architectes, archéologues et historiens de l'art y furent invités, ainsi que moi-même. Le système de contrebutement et surtout de l'évacuation des eaux avait été établi par Viollet-le-Duc et achevé par son successeur Assinaire, probablement en remplaçant un contrebutement médiéval d'origine. [...] Donc, pas de problèmes statiques.

"Les problèmes résidaient ailleurs: la pierre (calcaire et surtout la molasse) ainsi que le jointage étaient en mauvais état. Au colloque, on était d'accord qu'il fallait sauvegarder le système butant de Viollet-le-Duc en réparant les dégâts qu'il avait subi: "Il est donc vivement recommandé de ne pas modifier, ni dans leur forme, ni dans leur comportement, les arcs de Lausanne." (Compte rendu du colloque, p.9)."[...]

"En dépit de ces nombreuses recommandations d'une conservation douce", l'architecte a choisi le chemin de refaire à neuf, ce qui m'a pour plusieurs raisons très choqué:

"1. L'authenticité de l'édifice est gravement atteinte."

"2. Ce procédé est beaucoup plus cher qu'une conservation."

"3. Il est accompagné (p.e. au nord-ouest du massif occidental) par une négligence apparente des soins d'entretien régulier. De cette façon, ces parties seront bientôt dans un état de dégradation qui justifiera leur réfection."

"4. Cui bono? La réponse me semble claire: ce sont l'architecte et son équipe qui en profitent."

"Je me rends compte que c'est un grave reproche.[...]"




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La pétition


Dossier présenté au Conseil d'État le 20 août 2008 - Travaux d'entretien permanents imposés par l'édifice


Version augmentée, septembre 2008






Document à consulter:


  •   Terminologie de la conservation-restauration du patrimoine culturel matériel
      New Delhi, 22-26 Septembre 2008

Dossier de presse


Journal du Mouvement pour la Défense de Lausanne n°51, juillet - septembre 2008: Quel avenir pour le patrimoine?


Bonne Nouvelle, Lausanne, Septembre 2008: Au secours, la cathédrale se délite


24 Heures, lundi 16 juin 2008: Courrier des lecteurs - Cathédrale de Lausanne - Arrêtons le massacre


Le Matin Bleu, mercredi 11 juin 2008: Le canton a l'oeil sur la cathédrale


La Liberté, mercredi 11 juin 2008: Pétition transmise au gouvernement


Le Matin Bleu, mardi 10 juin 2008: Rénovation de la cathédrale: "Cela ressemble à Disneyland"


24 Heures, mardi 10 juin 2008: Restauration de la cathédrale de Lausanne critiquée


Le Courrier, mardi 10 juin 2008: Cathédrale de Lausanne "Comme à la boucherie"


www.20minutes.ch, mardi 10 juin 2008: "La cathédrale perd sa valeur historique"


24 Heures, mardi 10 juin 2008: Ils dénoncent une restauration "trop brutale" de la cathédrale


La Liberté, Fribourg, mercredi 4 juin 2008: La cathédrale est-elle entretenue ou changée en décor touristique?


Le Courrier, Genève, mercredi 4 juin 2008: La cathédrale est-elle entretenue ou changée en décor touristique?



--
Admiration.
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Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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